Le 21 mars, via une tribune parue dans Libération, plusieurs syndicats et collectifs de journalistes [1] ainsi qu’une centaine de professionnels venus de différentes rédactions officialisaient le lancement de l’AJAR (Association des journalistes antiracistes et racisé-e-s), avec pour objectif de « s’attaquer au racisme dans le journalisme ». Acrimed a assisté à la soirée de lancement puis interviewé deux de ses porte-parole, Rémi-Kenzo Pagès et Estelle Ndjandjo.