Mineurs non accompagnés
« Vivre à l’hôtel, c’est terrifiant » : Fatima, ancienne mineure isolée, a passé plus d’un an dans des chambres d’hôtels
Le secrétaire d’État chargé de l’Enfance et des familles, Adrien Taquet, a annoncé mercredi 27 janvier une future « interdiction du placement des enfants dans les hôtels ». Aujourd’hui, 95% des jeunes pris en charge par l’Aide sociale à l’enfance (ASE) et placés à l’hôtel sont des mineurs non-accompagnés étrangers. Fatima, aujourd’hui majeure, se souvient de ses séjours à l’hôtel. Elle raconte.
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ROYAUME-UNI : UNE PORTE SE FERME POUR LES MINEURS ISOLÉS ÉTRANGERS
Alors que les rares voies légales d’accès vers le Royaume-Uni, notamment au titre du règlement « Dublin III », ont cessé de s’appliquer au 1er janvier suite à l’entrée en vigueur du Brexit – les autorités britanniques n’envisagent aucune alternative sûre pour les mineurs isolés étrangers.
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La justice européenne impose un encadrement plus strict des décisions de renvoi des mineurs non accompagnés devenus majeurs
Il n’est pas possible pour les États membres de renvoyer un mineur. Mais certains pays contournent cette règle. La Cour de justice de l’Union européenne a donc rappelé que les décisions de renvoi étaient impossibles si « un accueil adéquat » n’est pas garanti à leur retour. Fait nouveau : cette règle s’applique aux jeunes qui ont eu un parcours de mineur isolé et se retrouvent expulsables dès leur majorité.
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Accueil des mineurs non-accompagnés en France : le point sur leur prise en charge
Les débats se sont multipliés ces derniers jours sur les mineurs non-accompagnés, ces jeunes étrangers de moins de 18 ans, arrivés seuls en France et qui n’ont pas de représentant légal. Le débat sur leur prise en charge a été relancé après l’agression de deux personnes près des anciens locaux de Charlie Hebdo par un jeune Pakistanais qui s’était déclaré mineur à son arrivée en France. InfoMigrants fait le point sur la prise en charge de ces jeunes.