le 4 février une émission de radio pour le rapatriement des enfants français détenus en Syrie

Vendredi 4 février, de 19 à 21 heures, l’émission de Radio Libertaire (FM 89.4)
« Des gens et des droits » sera animée par la section LDH de Paris 20. 

Pour le rapatriement des enfants français et de leurs mères détenus dans les camps de prisonniers du nord-est syrien Avec la participation de- Un responsable du collectif famillesunies.fr– Marie Dosé, avocate- Françoise Dumont, présidente d’honneur de la LDH
Aujourd’hui, plus de deux cents enfants français sont détenus avec leurs mères dans les camps de prisonniers du Nord Est syrien. Beaucoup souffrent de maladies chroniques, de malnutrition, d’infections pulmonaires, de dysenterie, de maladies de peau, mais dans ces camps, ils n’ont pas accès aux soins les plus basiques. Ils sont également privés d’école et vivent sans protection, dans la peur et le danger.
Depuis 2019, plusieurs pays d’Europe ont les uns après les autres rapatrié des centaines d’enfants. Les autorités françaises qui s’obstinent à agir au cas par cas se sont, elles, limitées à en rapatrier 35. En maintenant prisonniers ces enfants qui ne sont pas responsables des agissements de leurs parents, la France viole délibérément ses engagements internationaux, le droit international humanitaire, la Convention internationale des droits de l’enfant.
Lire le communiqué de la LDH et de la FIDH :https://www.ldh-france.org/journee-internationale-des-droits-de-lenfant-quattend-le-gouvernement-francais/
Des personnalités, des artistes,  se mobilisent pour être le porte-voix de ces enfants :https://www.youtube.com/watch?v=FJjtI3wW2V8

5 et 6 mars: tous au théâtre « tu viens d’où toi… »

La LDH soutient la pièce:
“Tu viens d’où toi ? Histoires de racisme structurel”
de la compagnie Naje
Spectacle de théâtre de l’opprimé (théâtre forum)
A la Maison des métallos, 94, rue Jean-Pierre Timbaud, 75011 Paris
Tarifs Normal : 10€ ; RSA : 2€ ; SMIC : 5€ ; Soutien : 20€
Samedi 5 mars 20h
Cliquez pour réserver
Dimanche 6 mars 15h
Cliquez pour réserver
« Tu viens d’où toi ? » a été pensé par la compagnie de théâtre Naje et la LDH Paris 10/11. Notre troupe est 50% blanche et 50% racisée. Nous venons de différents milieux sociaux ; nous sommes jeunes, nous sommes retraités.
Notre question c’est : comment agir face au racisme structurel et comment s’allier, entre blancs et racisés, dans la lutte décoloniale et antiraciste.



Scénario écrit par Fabienne Brugel, Farida Aouissi et Jean Paul Ramat de la compagnie Naje
Nous sommes partis de nos propres histoires pour nous questionner, et questionner notre public. Le spectacle relate notre atelier, les questions qui l’ont traversé, les écueils sur la route, les situations difficiles dans lesquelles se sont parfois retrouvés certaines et certains d’entre nous. 
Nos scènes disent des réalités qui ne nous conviennent pas et en dévoilent les enjeux. Elles posent la question : comment faire pour changer cela ? Le forum engagera le public à trouver des stratégies et comportements alternatifs avec nous.

invitation de Attac à un ciné-débat: »Migrations forcées, discriminations et exclusions » le 20 janvier

  • Jeudi 20 janvier à 19 h au Centre d’animation Ken Saro Wiwa: une invitation de Attac 19 20

Venez débattre des vrais chiffres de l’immigration, de son impact sur l’économie des pays d’accueil, et du coût humain et économique de la politique de la France et de l’Europe.

Débat avec :

– Claude Calame et Alain Fabart, ;ces deux invités ont écrit un ouvrage qui a fait l’objet d’une note de lecture dans la revue de la LDH Hommes et Libertés (aujourd’hui Droits et Libertés) de septembre 2020 :
https://www.ldh-france.org/wp-content/uploads/2021/01/HL191-Notes-de-lecture-5.-Migrations-forcees-discriminations-et-exclusions.pdf

– un·e représentant·e de l’association Utopia 56.

Ce débat sera précédé de la projection d’un film.

Centre d’animation Ken Saro Wiwa

63 rue Buzenval, 75020 Paris

Métros : Buzenval, Avron

ENTRÉE LIBRE

Passe sanitaire de rigueur

Vanité et dangers des «Devoirs de l’Homme»

Dans les discours d’Emmanuel Macron en fin d’année, ses interviews et lors des discussions comme lors de la prise de présidence de l’Europe, certaines affirmations apparemment frappées au coin du bon sens sont de fait contraires à la Déclaration des droits de l’Homme et au processus qui a permis son élaboration.
Il s’agit d’assertions liant droits et devoirs comme les deux faces d’une même médaille, sur l’air : vous avez des droits mais aussi des devoirs. Allant jusqu’à affirmer : « Les devoirs valent avant les droits » (vœux du 31 décembre) en allusion plus ou moins explicite au « devoir » de vaccination anti-Covid.
Vous trouverez ici en lien un article de Politis sur ce sujet qui reprend explicitement un texte d’Henri Leclerc, que Médiapart a ressorti à bon escient. L’article de Henri Leclerc est aussi en pièce jointe.
https://www.politis.fr/articles/2022/01/droits-et-devoirs-selon-macron-43929/

UN ÉCRAN DES DROITS : HACKING JUSTICE

UN ECRAN DES DROITS : HACKING JUSTICE

Dimanche 12 décembre à 11h au Majestic Bastille

HACKING JUSTICE de Clara Lopez Rubio et Juan Pancorbo, 

séance suivie d’un débat avec Maryse Artiguelong, vice-présidente de la LDH et Jean-Philippe Foegle, juriste membre de la Maison des Lanceurs d’Alerte.

« Voici l’histoire glorieuse et bouleversante de Julian Assange et de sa traque menée par les États-Unis et leurs vassaux dans une nouvelle version de l’éternel combat de Spartacus contre l’Empire. Suivant pas à pas la défense du fondateur de WikiLeaks, coordonnée par l’avocat espagnol Baltasar Garzón, mondialement connu pour avoir fait interpeller l’ancien dictateur chilien Augusto Pinochet, les réalisateurs ont parcouru le monde pendant neuf ans pour retisser cette histoire aux implications politiques profondes. Dans une démocratie, la liberté d’informer est un minimum vital et ne peut être une option, quelles que soient nos opinions politiques. Cette histoire concerne chacun d’entre nous. »

https://mail.google.com/mail/u/0?ui=2&ik=1449eff058&attid=0.1&permmsgid=msg-f:1717228778513471066&th=17d4d279cd5f965a&view=fimg&fur=ip&sz=s0-l75-ft&attbid=ANGjdJ8TLiTbUBNOIvi_giUcZ_K0xrYOLjFC844uWqXsGJnj7kUs49PCz78avRmr8RIW5YYmkB83A1bQBjRfEJl3TjfqmgiCQ7ZNhhWqA95ZPY-MWU3W6p3XJggSigE&disp=emb&realattid=ii_kwc69ofa1

j’envoie une carte en faveur des droits de l’enfant

Anniversaire de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant

Campagne d’envoi de cartes postales (autour du 20 novembre) A L’ECOLE, PAS à LA RUE ! REGULARISATION des jeunes étrangers

Chaque année, l’anniversaire de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant, ratifiée notamment par la France en 1990, est l’occasion pour le Resf de rappeler que les enfants de sans papiers, comme les mineurs isolés, sont avant tout des enfants, que l’Etat français a le devoir de protéger.

Nous constatons pourtant tous les jours que c’est loin d’être le cas pour tous.

Aussi, comme chaque année, collectifs, associations, citoyens, tous ceux qui ont à coeur de rappeler cet engagement aux décideurs et aux acteurs de la protection de l’enfance sont invités à se joindre à cette campagne.

Il est proposé d’envoyer des cartes postales (à télécharger en PJ ci-dessous) à tous les protagonistes de l’application de cette Convention, à tous les échelons de l’état, de la présidence de la république (sans timbre) jusqu’aux divers élus locaux (députés, sénateurs, maires, préfets…).

L’envoi massif de ces cartes aux alentours du 20 novembre (du 18 au 27 novembre), en forme de rappel à nos dirigeants de leur engagement de protection, sera l’occasion de réitérer notre attachement indéfectible à l’engagement du Resf, qu’on peut exprimer ainsi à cette occasion :

A L’ECOLE, PAS à LA RUE !
REGULARISATION DES JEUNES ETRANGERS

MODALITES PRATIQUES :
Les fichiers PDF des cartes en HD pour impression grand format sont en PJ en bas de page

Les cartes postales sont à envoyer, par courrier postal ou par mail, entre le 18 et le 27 novembre, en indiquant l’adresse au verso de celle-ci, dans l’espace prévu à cet effet (voir adresses ci-dessous) .
N’hésitez pas à les distribuer et à les faire circuler afin de multiplier les destinataires, le message en sera d’autant plus visible !

A l’Élysée,
Adresse postale (rappel, pas besoin de timbre pour le courrier adressé au Président de la République) 55 rue du Faubourg St Honoré, 75008 PARIS
Pour écrire par mail au président  : http://www.elysee.fr/ecrire-au-president-de-la-republique/
Directeur de cabinet Patrick.strzoda@elysee.fr

Matignon,
Adresse postale : 57 rue de Varenne, 75007 PARIS
Pour écrire par mail au premier ministre : sec.jean.castex@pm.gouv.fr
http://www.gouvernement.fr/contact/ecrire-au-premier-ministre


Ministère de l’Intérieur

Adresse postale : Place Beauvau, 75008 PARIS
Pour écrire par mail au ministre de l’Intérieur :
https://www.interieur.gouv.fr/Contact/Ecrire-au-ministre-de-l-Interieur
Autres adresses mail :
Directeur du cabinet :pierre.de-bousquet-de-florian@interieur.gouv.fr
Directeur adjoint du cabinet francois-xavier.lauch@interieur.gouv.fr _
Directeur adjoint du cabinet sebastien.jallet@interieur.gouv.fr
Directrice adjointe du cabinet emmanuelle.dubee@interieur.gouv.fr
Chef de cabinet mathieu.lefevre@interieur.gouv.fr
Conseiller immigration louis-xavier.thirode@interieur.gouv.fr
sec.dircabadj@interieur.gouv.fr
sec.immigration@interieur.gouv.fr


Ministère de l’Education nationale

_ Adresse postale : 110 rue de Grenelle – 75007 Paris

Pour écrire à un.e député.e : Dans les permanences locales ou à l’Assemblée Nationale
Adresse postale de l’Assemblée nationale : 126 rue de l’Université 75007 Paris
Pour écrire par mail : Trouvez votre député.e ici https://www2.assemblee-nationale.fr/deputes/liste/alphabetique

Pour écrire à un.e sénateur.trice :
Adresse postale du Sénat : Casier de la Poste – 15, rue de Vaugirard
75006 PARIS
Pour écrire par mail : Trouvez votre sénateur.trice ici http://www.senat.fr/trombinoaga/

Pour trouver les coordonnées postales et mail des mairies :
https://lannuaire.service-public.fr/navigation/mairie

Pour trouver les coordonnées des préfectures :
https://www.mairie.net/departements/prefectures-de-departement.htm

Parrainage le 24 novembre

La LDH fait partie du RESF (Réseau Education Sans Frontières) qui apporte une aide aux familles sans-papiers et aux mineurs isolés ou jeunes majeurs
Dans ce cadre, le RESF organise avec la Mairie du 20ème une cérémonie de parrainages républicains et nous recherchons des parrains.marraines civil.es pour seconder les élus qui parraineront officiellement ces jeunes. 

Le statut de parrain ou marraine – même si la cérémonie se passe en mairie-  n’implique aucune responsabilité officielle, juridique, financière ou pénale. Etre parrain-marraine, c’est suivre le jeune ou la famille, l’accompagner dans ses démarches administratives, alerter le réseau en cas de difficulté. C’est surtout l’aider et le soutenir comme on peut, en fonction de ce qu’on peut chacun apporter : un coup de main en maths, un repas à la maison, une lettre de motivation à rédiger, des conseils pour s’orienter dans Paris, une séance au ciné…
Cet engagement est aussi une façon d’affirmer publiquement que le jeune ou la famille crée réellement des liens et tisse des réseaux d’amitié au sein de notre société. Pour la majorité d’entre eux, c’est souvent la première fois qu’ils sont invités chez des « français » ou chez des personnes régularisées et intégrées ; les parrains-marraines sont un appui psychologique et social concret, un soutien vraiment important quand on se retrouve à 17 ou 18 ans tout seul dans une France dont on n’a pas les codes, qu’on croyait accueillante et où l’on espérait se construire une vie meilleure.
Si vous êtes intéressé pour jouer ce rôle, contactez-nous en répondant à  l’adresse ci-dessous. La cérémonie de parrainage aura lieu le mercredi 24 novembre prochain, à 18h à la Mairie du 20ème arrondissement.
faniconv@yahoo.fr Ou RESF Paris 20 : resfparis20@gmail.com

Un écran des droits : PARIS STALINGRAD

en partenariat avec la LDH, Amnesty Int., L’OIP et Autour du 1er mai

LE DIMANCHE 10 OCTOBRE à 11H AU MAJESTIC BASTILLE
En présence de la réalisatrice Hind Meddeb,
et d’ Agathe Nadimi, créatrice de Les Midis du Mie (Collectif solidaire avec les mineurs isolés étrangers) »Ce film est un portrait de Paris vu par Souleymane, 18 ans, réfugié du Darfour. Arrivé en France après un périple traumatisant de cinq longues années, la  » ville lumière  » dont il avait rêvé, loin de répondre à ses attentes, lui inflige de nouvelles épreuves. À la dureté des situations, répond sa poésie douce- amère. En suivant Souleymane, le film retrace le parcours des migrants dans Paris : les campements de rue, les interminables files d’attente devant les administrations, les descentes de police et la mobilisation des habitants du quartier pour venir en aide aux réfugiés. La caméra témoigne d’une métamorphose d’une ville et nous montre l’émergence de nouvelles frontières intérieures : des kilomètres de grillages pour rendre inaccessibles les allées sous le pont du métro aérien, des pierres pour empêcher les migrants de s’allonger, des rondes de vigiles pour les déloger. »

Ne laissons pas le gouvernement démanteler les principes de la République

Le gouvernement justifie la loi « confortant les principes de la République » par la nécessité au nom de la laïcité de renforcer l’arsenal juridique pour faire face à « l’islamisme radical » et à « tous les séparatismes ». Ces deux notions, restant vagues dans le projet de loi, risquent de renforcer l’amalgame entre musulmans et terrorisme et il est à craindre une mise en œuvre discriminatoire du projet de loi une fois celui-ci adopté. En voulant modifier le cadre de la loi de 1905, c’est l’équilibre entre la laïcité d’une part et la liberté de culte et de conscience d’autre part qui est menacé. Kidnapping de la laïcité Dans le même temps le gouvernement a dissout l’Observatoire de la laïcité après huit ans d’existence. Organisme indépendant, l’Observatoire avait pour mission d’éclairer les décisions des pouvoirs publics, de lutter contre des idées fausses et de proposer des actions. L’Observatoire offrait un cadre démocratique de discussion entre toutes les parties prenantes. Faire disparaître l’Observatoire et simultanément lancer un débat sur la laïcité directement aux mais du président de la République n’est-il pas significatif du peu de cas que le gouvernement accorde à la vie démocratique ? La loi «Sécurité Globale» nous met sous surveillance. Le projet de loi « confortant les principes de la République » ne répond pas à l’ambition que porte son titre. Bien au contraire, il repose sur des dispositions à caractère répressif et discriminatoire, il est porteur d’un modèle de société basé sur la division et la méfiance. En s’attaquant à nos libertés fondamentales ce sont les principes de la République qui sont bafoués. Il est urgent que toutes les personnes et les associations attachées à la démocratie et aux valeurs de la République fassent entendre leur voix Nous appelons […] à une démocratie vivante et pacifiée, à un dialogue social et civil riche de notre diversité, restant tous profondément attachés aux principes fondamentaux de notre République solidaire, démocratique et sociale, et à des libertés publiques égales pour toutes et tous. [Extrait de l’appel signé de plusieurs d
A l’heure ou nous sortons lentement d’une grave crise sanitaire, la raison voudrait que les valeurs de la République, la démocratie et la solidarité soient le moteur de l’action gouvernementale, le ciment de notre société. Or, il n’en est rien, le gouvernement choisit de profiter de l’état d’urgence sanitaire et de l’inquiétude de la population pour imposer, dans la précipitation et la confusion, des projets de lois liberticides. Le projet sur « la sécurité globale » et celui confortant « les principes de la République » sont des offensives contre nos droits fondamentaux.
Il est urgent que toutes les personnes attachées à la démocratie et aux valeurs de la République fassent entendre leurs voix.
Nous serons présents Le dimanche 6 juin au marché de la Réunion  de 10h 30 à 12h 30: Le samedi 12 juin au  marché Belgrand            de 10h 30 à 12h 30: Le dimanche 13 juin au marché Pyrénées        de 10h 30 à 12h 30: et le samedi 19 juin à la fête de quartier, 5 rue de Tourtille de 11h à 17h.

Dimanche 30 mai à 11h « Douce France »au Cinéma Majestic Bastille

la LDH, Amnesty International, L’Observatoire International des Prisons et Autour du 1er mai proposent, comme chaque dernier dimanche du mois : Un Ecran-Des Droits, cette semaine c’est: « DOUCE FRANCE « de Geoffrey Couanon (1h35)

La Séance est suivie d’un débat avec le réalisateur Geoffrey Couanon et Dominique Picard présidente de CARMA (projet pour une transition écologique sur le Triangle de Gonesse)

« Amina, Sami et Jennyfer sont lycéens en banlieue parisienne, dans le 93. Avec leur classe, ils se lancent dans une enquête inattendue sur un gigantesque projet de parc de loisirs qui implique d’urbaniser les terres agricoles proches de chez eux. Mais a-t-on le pouvoir d’agir sur son territoire quand on a 17 ans ? Drôles et intrépides, ces jeunes citoyens nous emmènent à la rencontre d’habitants de leur quartier, de promoteurs immobiliers, d’agriculteurs et même d’élus de l’Assemblée Nationale. Une quête réjouissante qui bouscule les idées reçues et ravive notre lien à la terre ! »

réservation conseillée http://www.lesecransdeparis.fr/cinema/2736/majestic-bastille/article/101193/un-ecran-des-droits-douce-france