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Retrouvez ici les interventions de l’Université d’automne de la LDH,
sur la thématique Ecologie et droits fondamentaux
25e Université d’automne : écologie, justice et droits fondamentaux
samedi 18 janvier 2020 de 9h à 17h au siège national (138 rue Marcadet 75018 Paris).
Plusieurs enjeux seront traités, décortiqués et débattus (formes de mal-logement, exercice des droits, modes de mobilisation, etc).
Pour déjeuner sur place, envoyer un mail à Christine
christine39@wanadoo.fr |
Nous marcherons pour la ratification par la France de la « convention internationale sur la protection des droits de tous les travailleurs migrants et des membres de leur famille » adoptée par l’ONU le 18 décembre 1990 et qui vise à garantir l’égalité de traitement entre travailleurs et travailleuses françaisEs et immigréEs.
Nous marcherons pour stopper la montée des nationalismes, le développement du fascisme et de toutes les formes de racisme.
Nous proposons à touTEs les participantEs de venir avec de quoi faire de la lumière (lampes frontales, bougies, etc.).
Au début de la manifestation (sur 100 premiers mètres sur le boulevard St Martin) nous tenterons une marche silencieuse en hommage à touTEs nos frères et sœurs victimes des routes de la migration, de la détention, du racisme et des conditions inhumaines.
Parcours : la manifestation qui partira de la place de la République à 18H00 et finira à Gare du Nord. République – Boulevard St Martin – Boulevard St Denis – Strasbourg St Denis – Boulevard de Strasbourg – Gare de l’est – Rue du 8 mai 1945 – Rue du Faubourg St Denis – Gare du Nord
Nous marcherons en mémoire des dizaines de milliers de femmes, d’enfants et d’hommes mortEs sur les routes de la migration, victimes des frontières et des politiques meurtrières des gouvernements des pays les plus riches de la planète et de leurs complices.
Nous marcherons pour la liberté de circulation, pour la fin du système de Dublin, l’abandon de la Directive retour et la fermeture des centres de rétention.
Nous marcherons contre l’idée fausse que l’immigration crée du dumping social, pour la régularisation des sans-papiers et pour l’égalité des droits de toutes et tous.
Nous marcherons pour soutenir et amplifier les grèves et luttes des Sans-Papiers pour obtenir leur régularisation et la justice sociale.
A l’heure où le gouvernement annonce des mesures sans précédent : immigration « choisie », privation – pour les demandeurs d’asile – d’accès à la protection maladie pendant les trois premiers mois après le dépôt de leur demande, durcissement des conditions d’accès à l’Aide Médicale d’État (AME), nous marcherons pour affirmer que l’égalité ne se discute pas, elle doit être mise en œuvre, maintenant.
C’est la précarisation générale et la remise en cause des acquis sociaux par les politiques répressives et d’austérité menées par les gouvernements successifs, spécialement celui d’Emmanuel Macron, qui exacerbent les discours de haine, accroissent la pauvreté et le repli sur soi dans la population.
C’est en luttant ensemble que nous pourrons nous battre efficacement pour une société meilleure, solidaire et égalitaire.
CISPM, CSP 75, CSP 93, CSP 95, CSP Paris 1, CSP Paris 20, CSP Schaeffer d’Aubervilliers, CTSP Vitry, Droits Devant, Gilets Noirs en lutte, Syndicat des travailleurs-euses sans-papiers de Rennes
CGT, CNT, CNT-SO, Emancipation tendance intersyndicale, FSU, SAF, Union Syndicale Solidaires,
autres signataires ; https://paris.demosphere.net/rv/74886
Si certains militants sont sortis le 18 février pour exprimer leur ras-lebol
en brandissant des pancartes contre le cinquième mandat
consécutif du président Abdelaziz Bouteflika, aucun observateur averti
ne s’attendait à voir, quelques jours après, une marée humaine braver
la peur et investir les rues à travers tout le territoire algérien. Très vite
ce soulèvement populaire s’est transformé en un rejet radical d’un
système politique fortement corrompu.
En Algérie, depuis le 22 février, chaque vendredi est un rendez-vous
pour des millions de manifestantes et de manifestants qui revendiquent
inlassablement un Etat de droit et exigent le changement radical du
système politique actuel.
Face à une crise politique inédite dans l’histoire récente de l’Algérie,
dans un climat de tension extrême et dans un fort rejet populaire de
l’élection présidentielle dans l’état actuel du système, le chef des
armées persiste à vouloir l’imposer en date du 12 décembre prochain.
Malgré le climat festif et pacifique qui caractérise les manifestations,
depuis quelques mois des arrestations massives font ressurgir des
pratiques anciennes très éloignées de l’Etat de droit revendiqué par les
manifestantes et les manifestants.
Parce que le combat des Algériennes et des Algériens nous concerne tous
La Ligue des droits de l’Homme de Paris 10e, 11e, 12e et 20e vous invite
à un débat sur la situation politique et l’Etat de droit en Algérie.
Samedi 23 novembre, RDV national à Paris pour marcher contre les violences sexistes et sexuelles
Nous appelons toutes celles et tous ceux qui veulent en finir avec les violences sexistes et sexuelles et avec les féminicides à marcher le samedi 23 novembre, à Paris.
Chaque jour, dans notre pays, des femmes sont victimes de violences psychologiques, verbales, économiques, médicales, physiques ou sexuelles. Une femme meurt tous les 2 jours assassinée par son compagnon ou son ex-compagnon. Qu’elles aient lieu à la maison, au travail ou dans la rue, les violences ne sont pas une fatalité. Jamais.
Avec cette marche, nous dirons notre exigence d’un monde dans lequel les violences n’ont pas leur place. Les femmes et les enfants, aujourd’hui victimes de violences, peuvent être protégé·e·s. Les femmes et les enfants en danger peuvent être mis·es en sécurité. Les criminels doivent être sanctionnés.
Avec cette marche, nous rappellerons que c’est notre droit fondamental de vivre à l’abri des violences. Ce droit est chaque jour bafoué dans une indifférence qui nous sidère.
Avec cette marche, nous ferons entendre nos voix dans chaque famille, entreprise, administration, quartier, école, hôpital et association. Dans tous les espaces de vie, la question des violences doit être posée. Et traitée.
Avec cette marche, nous porterons la voix de toutes celles qui, parmi nous, cumulent les violences en raison de leur situation de handicap, de vulnérabilité, de leur âge, de leur origine sociale, de leur statut de migrantes, de leur orientation sexuelle, de leur identité de genre ou parce qu’elles sont racisées.
Avec cette marche, nous porterons la voix des milliers d’enfants victimes ou co-victimes de violences. Nous dénoncerons les décisions de justice qui relaxent des pédocriminels en bafouant les droits les plus élémentaires des enfants.
Avec cette marche, nous porterons la voix de celles qui ne peuvent plus parler. Celles qui ont été assassinées parce qu’elles étaient des femmes. Nous n’arrivons plus à compter les cas où les féminicides auraient pu être évités. Nous proclamerons notre colère de voir que les pouvoirs publics leur ont tourné le dos, classant leurs plaintes, refusant d’entendre leurs appels à l’aide.
Avec cette marche, nous ferons en sorte que les pouvoirs publics prennent enfin des mesures à la hauteur. Les demi-solutions ressassées depuis des décennies ne fonctionnent pas. Un Grenelle ne suffira pas. Le gouvernement doit passer à la vitesse supérieure et débloquer un milliard d’euros pour financer des politiques publiques qui touchent l’ensemble de la population. La société est prête à se mettre en mouvement contre les violences. Il manque aujourd’hui la volonté politique et les moyens.
Les solutions pour faire sortir la France des violences existent. Mieux, elles sont connues et reconnues. Les associations de terrain en parlent. Sans cesse. Parmi elles : formation des professionnel·le·s à détecter les violences et à réagir de manière efficace, ouverture de places pérennes d’hébergement dans des lieux dédiés, démultiplication des ordonnances de protection et systématisation des bracelets électroniques pour les compagnons violents condamnés, campagnes de communication continues et nationales sur le modèle de celles que l’on a connues pour la sécurité routière, prévention obligatoire et systématique à l’école, obligation faite aux entreprises de prévenir effectivement les violences sexistes et sexuelles au travail et de protéger les femmes victimes de violences conjugales.
Le 23 novembre nous marcherons. Nous exprimerons notre force, notre colère et notre détermination. Nous sommes déjà des milliers. Et nous allons en finir avec les violences sexistes et sexuelles.
Rejoignez-nous.
Rassemblement entre 12h et 14h à Port-Royal, pour un départ à 14h
Trajet / parcours: Départ 14h de Port-Royal
destination et trajet en cours de négociation avec la préfecture
13h30: Rv Comité hôpitaux 91 nord – angle Av observatoire / bd Montparnasse
Rendez Vous LDH Devant le restaurant « le bal bullier »
angle Avenue de l’Observatoire Bd du Montparnasse, face gare du RER Port Royal.
La Ldh soutient cette manifestation
Ensemble pour défendre
notre hôpital, notre système de santé et d’action sociale
AMUF, APH, CFE-CGC, CFTC, SFDT, SGT, CIB, Coord. Nat., Ψ, SUD, UNSA
Depuis le printemps, les personnels des urgences se mobilisent dénonçant la dégradation de leurs conditions de travail et revendiquant des effectifs, une augmentation de salaire et l’ouverture de lits pour accueillir les patients en sécurité et dans la dignité. Ces revendications se sont étendues depuis à l’ensemble des professionnel.le.s de nos différents secteurs d’activités parce qu’il y urgence à obtenir des moyens supplémentaires pour l’hôpital et l’ensemble des établissements de Santé et d’Action Sociale.
Les député.e.s n’en ont pas tenu compte, en votant en première lecture le Projet de Loi de Financement de la Sécurité Sociale proposé par le gouvernement. Ils ne font qu’amplifier la colère et la détermination des personnels et des usager.e.s
Réuni.e.s à la bourse du travail ce lundi 4 novembre 2019, les collectifs : Inter blocs, Inter Hôpitaux , Inter Urgences et le printemps de la psychiatrie, et les organisations syndicales représentatives médicales ainsi que paramédicales AMUF, APH, CFE- CGC, CFTC, CFDT, CGT, SNPHARE, SUD, UNSA et la Coordination Nationale des Comités de Défense des Hôpitaux et Maternités de Proximité appellent à la mobilisation des salarié.e.s et des usager.e.s pour défendre notre hôpital, notre système de Santé et d’Action Sociale.
Nous exigeons d’être reçus par le Premier ministre pour engager des négociations urgentes en particulier sur les thèmes suivants :
Recrutement de professionnel.le.s supplémentaires immédiatement et plan de formation pluridisciplinaire
Revalorisation générale des salaires pour rattraper les 10 ans de blocage, et reconnaissance des qualifications des professionnel.le.s
Renforcement des moyens financiers significatifs pour les établissements, ce qui passe par une revalorisation de l’ONDAM à au moins 5% dans le Projet de Loi de Financement de la Sécurité Sociale
L’arrêt de toutes les fermetures d’établissements, de services et de lits et la réouverture de lits là où c’est nécessaire
De réelles mesures qui garantissent l’accès, la proximité et une prise en charge optimale en terme de qualité et de sécurité des soins pour toutes et tous partout.
Toutes et tous ensemble le 14 novembre 2019 pour une journée nationale de grève et de manifestations !
Manifestation à Paris :
Rassemblement entre 12h00 et 14h00 à Port-Royal,
pour un départ à 14h en direction du Sénat, de l’Assemblée Nationale et de l’hôtel Matignon.
Le dimanche 17 novembre à 17h30 au Lieu-Dit, 6 rue SORBIER
A l’image des observatoires de Toulouse, Montpellier ou Bordeaux, la Ligue des droits de l’Homme en partenariat avec le Syndicat des Avocats de France a créé sur Paris un observatoire des libertés publiques se donnant pour mission de rendre compte des stratégies actuelles de maintien de l’ordre par une présence concrète sur le terrain des manifestations. Nous vous proposons d’échanger avec : ● Arié Alimi, avocat, membre du Bureau national de la LDH ● Des membres de l’Observatoire parisien des libertés publiques
Si comme nous, vous constatez que le bilan des manifestations n’est plus dressé en termes de revendications mais se chiffre en nombre de blessés, de bonbonnes de gaz tirées et d’interpellations effectuées, si comme nous, les limitations du droit de manifester institutionnalisées dernièrement par la loi du 10 avril 2019 ou des arrêtés préfectoraux d’interdictions de manifester vous inquiètent, si, tant la judiciarisation du droit de manifester que l’évolution du maintien de l’ordre vous interpellent,
venez en parler lors de notre réunion d’information dimanche 17 novembre 2019 à 17 h 30 au Lieu-Dit, 6 rue Sorbier, 75020 Paris. Entrée libre et gratuite https://www.facebook.com/pg/LDHParis20/events/
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