un film de Claire Vasseur présenté par sa réalisatrice
autres renseignements et contact : <paris.10.11@ldh-france.org>
Section Paris 10/11Fédération de Paris de la Ligue des Droits de l’HommeLigue des Droits de l’Homme
un film de Claire Vasseur présenté par sa réalisatrice
autres renseignements et contact : <paris.10.11@ldh-france.org>
Section Paris 10/11Fédération de Paris de la Ligue des Droits de l’HommeLigue des Droits de l’Homme
Comme beaucoup d’autres, y compris la défenseure des droits, le projet de loi présenté dans les jours qui viennent à de quoi inquiéter sur la possibilité d’exercer ses droits dans l’espace public notamment.
« Sécurité globale », mais Libertés minimales ! Mobilisons-nous massivement avant le 17 novembre contre cette proposition de loi liberticide. Une fois de plus, le Parlement examine une proposition de loi présentée par des députés de la majorité gouvernementale « relative à la sécurité globale » qui s’inscrit dans le sillage sécuritaire des abondantes réformes des dernières années et des recours successifs à l’état d’urgence. Lire ici le communiqué de presse |
Alors que cette proposition de loi porte lourdement atteinte à des libertés et droits fondamentaux, elle est l’objet d’une procédure accélérée qui évince, de fait, le rôle législatif des parlementaires. Ce texte prévoit d’étendre aux polices municipales, sous le seul contrôle des maires, des compétences de la police nationale sur des missions de police judiciaire pour la constatation d’un nombre accru de contraventions (notamment au Code de la route, avec possibilité de demande de mise à la fourrière) et même de délits. Ils pourront aussi procéder à des contrôles d’identité et à des saisies au risque d’amplifier les abus et détournements déjà dénoncés.De plus, il organise une privatisation de la police en contradiction flagrante avec les normes constitutionnelles en déléguant aux agents privés de sécurité des pouvoirs réservés à la police judiciaire comme la verbalisation d’infractions et le relevé d’identité pouvant conduire à la rétention de la personne contrôlée.Allant encore plus loin dans la surenchère sécuritaire, la proposition de loi prévoit d’instaurer une surveillance généralisée de l’espace public, en autorisant l’Etat à utiliser des drones avec caméras, visant explicitement le contrôle de tous les manifestants. Alors que depuis 2016 les images des « caméras mobiles » portées par les policiers étaient uniquement utilisées a posteriori pour éclairer des faits contestés, l’article 21 de la loi « sécurité globale » permettrait leur utilisation immédiate et une analyse automatisée pour reconnaître en temps réel l’identité de tous les manifestants (reconnaissance faciale) avec le risque d’arbitraire par des gardes à vue préventives ou l’empêchement de se joindre au cortège au mépris de la liberté de manifestation.Enfin, le texte prévoit la pénalisation de la diffusion d’images de policiers ou de gendarmes agissant dans le cadre de leurs missions d’ordre public, portant atteinte à la nécessaire transparence de ces opérations. Une telle mesure, si elle était adoptée, avec des sanctions très lourdes (1 an d’emprisonnement et 45 000 € d’amende) empêcherait tout contrôle citoyen, voire le travail des journalistes, en favorisant l’impunité d’auteurs de violences policières.La Ligue des droits de l’Homme (LDH) appelle les parlementaires à rejeter cette proposition de loi liberticide et de fuite en avant sécuritaire qui menace gravement les principes fondamentaux de notre démocratie et l’Etat de droit. |
Rassemblements prévus
samedi 21 novembre à 11h Parvis des droits de l’Homme, Trocadéro ; le mardi 17 novembre de 16h à 20h place Place Edouard-Herriot, à Paris (derrière l’Assemblée nationale).
Vois pouvez retrouver ci dessous des interventions de membres juristes de la LDH sur ce sujet.
Vidéos
:Mme Nathalie Tehio, avocate (Saf) membre du bureau national de la LDH, et de l’Observatoire parisien des libertés publiques explique une des raisons pour laquelle il faut se mobiliser contre la proposition de loi Sécurité globale :
https://youtu.be/f0etbnW9QfY
M. Arié Alimi, avocat, membre du bureau national de la LDH, s’engage contre la proposition de loi Sécurité globale :https://www.youtube.com/watch?v=-LbjOxVnftA
Vous pouvez vous exprimer sur le sujet en signant la pétition en ligne.
Pétition à signer :https://www.change.org/p/gérald-darmanin-nous-disons-non-à-la-loi-sécuritaire-qui-punit-la-diffusion-des-visages-des-forces-de-l-ordre
Rassemblements à Paris
programme complet cliquer ici :
aux Grands Voisins (salle la Pouponnière)
74 avenue Denfert-Rochereau 75014 Paris
Métro : Denfert-Rochereau – Bus : 38, 68, 88
Le souci de la protection et de l’amélioration des droits de l’Homme et des libertés fondamentales n’a jamais semblé aussi absent des politiques publiques menées ces dernières décennies. Dans un contexte de tensions multiples (menace terroriste, contestation sociale, flux migratoires…), chaque réforme ou évènement d’ampleur donne prétexte à un durcissement législatif et gouvernemental sur ces sujets.
Mercredi 30 janvier 2019 de 20h00 à 22h00
Comment expliquer ce mouvement général ? Les explications sont sans doute multiples, mais des éléments de langage devenus récurrents, sinon systématiques, dans le discours des gouvernants, fournissent une piste d’analyse : l’ « efficacité » et la « rapidité » des procédures sont en effet devenus des maître-mots dans la justification des réformes et actions gouvernementales.
Confrontée à des baisses de moyens (budgets, effectifs…) et libérée d’un Parlement défaillant dans ses missions de contrôle, l’administration parvient désormais à imprégner les réformes successives de ses attentes et raisonnements, au détriment des grands principes. Les récentes réformes de la justice ou des politiques migratoires semblent n’être que les dernières illustrations de ces dérives.
Pour enrichir notre réflexion sur ce sujet nous avons invité Michel Tubiana.
La réunion se terminera par un pot amical, vous pourrez également à l’occasion de cette soirée rejoindre la section LDH Paris 14-6 ou renouveler votre adhésion pour 2019.
N’hésitez pas à diffuser l’invitation, nous comptons sur votre présence
Entrée libre dans la limite des places disponibles.
Les liguers parisiens vous convient à une après-midi de débats sur le thème de l’accueil des mineurs et jeunes majeurs isolés étrangers (MIE-JM) – L’accueil des mineurs et jeunes majeurs isolés étrangers (MIE-JM) : que faire ?
La France a ratifié la Convention Internationale des droits de l’enfant. Son application devrait garantir sur le sol français à tout mineur un accueil, une protection lui permettant notamment l’accès à l’éducation. Et pourtant :
Pour trouver des réponses à ces question, nous vous convions à écouter et débattre avec les intervenants :
Quand ? Dimanche 8 février 2015, de 13h30 à 18h30
Où ? au Point Ephémère, 200, quai de Valmy – Paris 10è – M° Jaurès/L.Blanc
Entrée libre
Possibilité de se restaurer sur place à partir de 12h30
http://www.pointephemere.org/wp-content/uploads/2011/03/menu5_A5_def_web.pdf
Aujourd’hui, la France, c’est encore :
• 8,5 millions de personnes sous le seuil de pauvreté,
• 3,5 millions de personnes mal logées dont 142 000 personnes sans domicile fixe.
Pourtant, leurs voix ne sont pas assez prises en compte dans le débat public. Les choix politiques sont toujours en deçà des défis à relever. Ne nous laissons pas gagner par l’indifférence. Face à la tentation de stigmatiser les exclus, d’opposer les populations entre elles, choisissons le juste combat : attaquons-nous aux causes de l’exclusion, non aux exclus !
Nous qui nous reconnaissons pleinement dans les valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité, engageons-nous à tendre la main aux plus fragiles. Exigeons une politique de solidarité ambitieuse qui redonne à chacune et à chacun des perspectives et contribue à rendre effectif le « vivre ensemble » qui fait la fierté de notre République. Appelons l’Etat et l’ensemble des collectivités locales à assumer leurs responsabilités pour mettre fin à la pauvreté et à l’exclusion, pour lutter contre les inégalités sociales et assurer à toutes et à tous un réel accès aux droits fondamentaux parmi lesquels le logement occupe une place déterminante. Aujourd’hui plus que jamais, cette politique doit être mise en œuvre en urgence dans notre pays.
RETROUVONS-NOUS À LA NUIT SOLIDAIRE POUR LE LOGEMENT : JEUDI 12 FEVRIER À PARTIR DE 18H – PLACE DE LA REPUBLIQUE À PARIS
GRAND CONCERT / FORUM ASSOCIATIF /SOUPE POPULAIRE / NUIT SUR PLACE + PETIT-DÉJEUNER /SOYONS NOMBREUX !
Face à la situation d’extrême urgence et de détresse des jeunes collégiens et lycéens qui dorment dans la rue – une cinquantaine de situations connues dans les établissements parisiens (dont 3 nouveaux élèves du lycée Hector Guimard, 5 élèves du lycée Étienne Dolet, 2 de l’EREA Édith Piaf mais également dans les lycées Dorian, Poiret …), la mairie de Paris prépare une table ronde. Cette réunion prévue le 19 janvier portera sur les problèmes de non-prise en charge des mineurs et jeunes majeurs isolés à la rue
Cette réunion représente une chance de voir se parler les institutions qui se renvoient la balle sur cette question depuis trop longtemps : les services de l’État, la Région, le département et la ville de Paris. Nous soutenons les parents, lycéens, personnels des établissements et appelons à un rassemblement Place du Chatelet le 16 janvier à 16 :00 pour qu’une réelle solution soit proposée
Nous exigeons :
Quand ? Vendredi 16 Janvier à 16h
Où ? Place du Châtelet
Communiqué de Presse - Actions Guimard - Lycéens sans-abri épisode 3
Résumé des épisodes précédents :
- pendant les vacances de la Toussaint, le syndicat lycéen la FIDL décide d'héberger les lycéens à la rue dans leur bureaux du 19ème arrondissement de Paris. Cette action pousse la Mairie de Paris à faire loger plusieurs lycéens à la Mie de Pain (foyer d'accueil pour SDF du 13ème arrondissement).
- à la rentrée des vacances de Noël,le lycée Hector Guimard menace d'héberger 9 lycéens sans-abri dans le gymnase du lycée (19ème). Cette action pousse le Rectorat de Paris et la Préfecture de Police de Paris à loger ces 9 élèves (dont 7 dans de bonnes conditions) NB : vous trouverez une revue de presse sur nos Facebook et Twitter : Actions Guimard
- dix jours plus tard, le lycée Louis Armand (15ème) rejoint le mouvement et se joint à l'appel (signé par Actions Guimard, la FIDL Paris, la FCPE Paris, le RESF, le DAL, les associations du collectif JIE...) au rassemblement Place du Châtelet, vendredi 16 janvier 2015 à 16h (tracts en pj).
Pour ce qui est du lycée Hector Guimard, 3 élèves sont encore à la rue en ce moment, dont 1 qui va dormir dehors cette nuit, pour palier à l'urgence et par solidarité Alex Adamopoulos, membre du collectif, dormira dehors avec lui ce soir. Puis, le collectif Actions Guimard ouvrira son gymnase lundi soir pour accueillir ces 3 élèves.
Collectif Actions Guimard
Les ligueurs parisiens vous invitent à la projection du film « Les Marcheurs, chronique des années beurs », un film documentaire de Samia Chala, Naïma Yahi et Thierry Leclère (France,2013, 59 min.).
La projection du film se poursuivra par une rencontre avec :
La séance aura lieu dans le magnifique cadre du Carreau du Temple (Auditorium), 4 rue Eugène Spuller, Paris (Métro : M3 Temple)
Au tarif unique de 5€.
Voici deux liens permettant la réservation de places :
Les ligueurs parisiens avec les associations ACTISCE et « Les Amies et Amis de la Commune de Paris-1871 », « les Amis de Jules Vallès » organisent une conférence sur le thème de Jules Vallès, journaliste, écrivain et homme politique.
Alors que le nouveau Patronage Laïque situé au 72 avenue Félix Faure dans le 15ème arrondissement de Paris, porte son nom, il semble opportun de rappeler qui était Jules Vallès et le contexte artistique, politique et sociétal dans lequel il a évolué.
La conférence sera ponctuée et agrémentée de textes de Jules Vallès ainsi que d’extraits musicaux de son époque. Nous vous invitons à venir échanger avec :
La chanteuse Marlène, accompagnée à l’accordéon, interprètera des chansons de la Commune de Paris et le comédien Loïc Pichon déclamera des textes empruntés à l’œuvre de Jules Vallès.
Quand ?Mercredi 1er octobre à 19h30
Où ? 72, Avenue Felix Faure (L8, BOUCICAUT ou T3a, Balard)