Ils s’appellent Amadou, Adama ou encore Alassane. Ils n’ont pas 18 ans et sont venus en France dans l’espoir d’une vie meilleure. Mais après le rejet de leur minorité par l’État, ils n’ont bénéficié d’aucune prise en charge. Depuis deux mois voire plus, ils vivent dans un tunnel, sous le périphérique parisien, dans des conditions insupportables.