La rapporteuse spéciale sur les droits de l’Homme et la lutte antiterroriste de l’ONU, qui a eu accès à la prison militaire de Guantanamo, a dénoncé, dans un rapport publié lundi, le traitement « cruel, inhumain et dégradant » des 30 derniers détenus. Les États-Unis, eux, ont exprimé leur « désaccord » avec « de nombreuses affirmations » d’un document qui « ne reflète pas la position officielle des Nations unies ».