
D’autres policiers « sont également convoqués ce jour afin d’être entendus en qualité de témoins », précise le parquet de Marseille, mardi, dans un communiqué.
D’autres policiers « sont également convoqués ce jour afin d’être entendus en qualité de témoins », précise le parquet de Marseille, mardi, dans un communiqué.
Pour l’inspection générale de la gendarmerie nationale, ces tirs, normalement proscrits, sont intervenus dans une « situation de péril avéré » pour les gendarmes. « Aucune faute » ne peut donc être relevée à leur encontre.
« Les conclusions, peut-être un peu rapides, de l’IGGN risquent de contribuer au discrédit qui pèse souvent sur les corps d’inspection, que ce soit l’IGGN ou l’IGPN », craint Patrick Baudouin président de la Ligue des droits de l’Homme