12 ans après la mort de Wissam El Yamni une reconstitution tronquée est prévue.

30 janvier 2024 Sur X, selon Maître Henri Braun, avocat de la famille :

 » 12 ans après la mort de Wissam EL YAMNI, la justice organise une reconstitution mais refuse, entre autres, la convocation des 3 témoins présents au commissariat et celle du médecin anesthésiste qui a pris Wissam en charge. Le combat pour la vérité continue. « 

Voir sur Mediacoop :

Affaire Wissam : Une nouvelle reconstitution pour la bonne conscience ?

https://mediacoop.fr/18/03/2022/affaire-wissam-une-nouvelle-reconstitution-pour-la-bonne-conscience/


Voir aussi

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La LDH appelle aux mobilisations du 23 septembre contre les violences policières, le racisme et les discriminations sociales et territoriales

Lien vers le communiqué LDH complet :
https://www.ldh-france.org/la-ldh-appelle-aux-mobilisations-du-23-septembre-contre-les-violences-policieres-le-racisme-et-les-discriminations-sociales-et-territoriales/

Extraits :

…/… La seule rencontre avec un policier peut aujourd’hui entraîner des abus et violences, qui s’intègrent à un dispositif politique de contrôle intrinsèquement lié à la situation économique et sociale.

…/… Ce dispositif de contrôle s’exerce plus intensément sur les populations vivant dans les quartiers populaires, qui font face à une précarité économique croissante, en raison de l’accélération sans précédent des inégalités …

…/… Phénomène récent, le nombre de personnes tuées au volant de leur véhicule par armes à feu de policiers connaît une croissance sans précédent, en lien avec l’adoption en 2017 de l’article L. 435-1 du Code de la sécurité intérieure (CSI) assouplissant les règles en matière d’usage des armes, sans améliorer la sécurité des interventions des agents.
Ce texte, imposé par le mouvement de « policiers en colère », puis relayé par la grande majorité des syndicats de police, a fait apparaître une relation de dépendance du pouvoir politique soumis aux desiderata de la corporation policière.

../… Les émeutes que le pays a connues sont avant tout l’expression de cette situation, qui reste taboue pour une large partie de la classe politique, alors que de nombreuses voix du monde associatif et syndical ont appelé à revoir les modes d’intervention de la police et à lutter contre le racisme qui s’y manifeste trop souvent.