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Pétition · Non à la participation d’Israël au Salon du Bourget 2025 – France · Change.org
La France et les organisateurs du Salon s’apprêtent à offrir à un État accusé de génocide l’opportunité d’acheter les armes qui alimenteront ses offensives en cours et à venir, mais également de vendre ses propres produits « testés au combat » sur les populations civiles palestiniennes lors de l’offensive meurtrière qui continue aujourd’hui.
Autoriser Israël à participer à la 55e édition du salon du Bourget, c’est continuer d’alimenter la machine de guerre, mais aussi légitimer et récompenser les exactions commises par l’armée israélienne à Gaza, en Cisjordanie, au Liban et ailleurs.
La France doit cesser de favoriser le commerce d’armement avec Israël, sous quelque forme que ce soit. Exigeons l’interdiction de toute participation israélienne au salon du Bourget en juin 2025.
Communiqué LDH
https://www.ldh-france.org/gaza-face-a-lhorreur-en-cours-trois-priorites/
A Gaza, chaque jour qui passe ajoute de l’horreur à l’horreur, des bombes aux bombes, des morts aux morts. La famine, froidement décrétée contre un peuple acculé à survivre dans un monde de gravats et de déchets, contribue elle aussi, avec le chaos qui l’accompagne, à éliminer les femmes, les enfants, les malades… L’ONU ne cesse de le clamer : la situation a atteint son pire niveau depuis octobre 2023.
L’action des humanitaires est empêchée ; celle des soignants, pris pour cible. Les journalistes, quand ils ne sont pas délibérément assassinés, sont interdits d’entrée.
La gravité et la systématicité des crimes de guerre commis à Gaza permettent de caractériser la volonté de destruction génocidaire en cours dont la famine constitue un acte d’aboutissement, malgré les demandes de la Cour internationale de justice (CIJ), malgré la réprobation internationale, malgré les interventions de nombreux Etats, dont celui de la France.
La folie meurtrière qui guide le gouvernement d’extrême droite d’Israël met en péril la démocratie et précipite son pays et la région dans une guerre sans limites ni objectifs autres qu’un gigantesque nettoyage ethnique à Gaza comme en Cisjordanie occupée. Qui pourrait croire qu’un tel programme, confirmé par la décision de « conquérir » la bande de Gaza quand bien même il réussirait, pourrait être porteur de sécurité, voire de paix ?
Face à cette plongée dans une horreur sans fin, il faut prioritairement réaffirmer une triple urgence : la libération des otages encore détenus par le Hamas, l’arrêt immédiat des bombardements et des opérations militaires, l’ouverture du territoire à l’aide humanitaire, bloquée depuis plus de deux mois, et à la presse.
La reconnaissance de l’Etat palestinien par le gouvernement de la France constituerait un important point d’appui à ces trois demandes mais elle ne saurait suffire face à des menées aussi froidement meurtrières.
Il est plus que jamais indispensable que la France et l’Union européenne (UE) affichent une attitude de fermeté contre le génocide en cours à Gaza et qu’elles rappellent Israël au respect du droit international qui s’applique à tous les Etats.
Paris, le 5 mai 2025
Samedi 5 avril 15h
Les massacres à grande échelle ont repris à Gaza, l’élimination ethnique se poursuit en Cisjordanie
L’AFPS 63 appelle à un rassemblement jeudi à 18h Place de Jaude à Clermont-Ferrand
Les forces israéliennes, pleinement soutenues et armées par les États-Unis et d’autres puissances occidentales, massacrent des centaines de Palestiniens, y compris pendant leur sommeil.
Dans une grave escalade de leur génocide contre 2,3 millions de Gazaouis, le 17 mars, elles ont brisé le récent cessez-le-feu, déjà fragile, en bombardant la bande de Gaza, illégalement occupée et assiégée.
Des familles entières ont été décimées. Les hôpitaux sont débordés. Gaza brûle à nouveau. La situation humanitaire est désastreuse.
Partout en Cisjordanie, ainsi qu’au Liban, en Syrie et au Yémen, l’axe génocidaire israélo-étatsunien intensifie ses crimes et sa destruction simultanée du droit international.
Les personnes de conscience du monde entier doivent agir et exiger de leurs gouvernements des sanctions contre l’État d’Israël !
Lien vers le site LDH France :
Pétition à l’initiative de la LDH, la FIDH et l’Association France Palestine Solidarité
Le 18 septembre 2024, l’Assemblée générale des Nations unies adoptait par 124 voix, dont celle de la France, une résolution de la plus haute importance concernant l’occupation et la colonisation israélienne de la Palestine.
Conformément à l’avis de la Cour internationale de Justice, la résolution affirme que l’occupation du territoire palestinien par Israël est illégale et rappelle que la colonisation est un crime de guerre et qu’Israël doit y mettre fin dans un délai d’un an, soit le 18 septembre 2025 au plus tard.
Elle réaffirme le droit à l’autodétermination du peuple palestinien, y compris son droit à un État indépendant et souverain sur l’intégralité du territoire palestinien occupé (Cisjordanie dont Jérusalem-Est, et bande de Gaza).
Au-delà des obligations à caractère général qui incombent aux États, ils doivent également respecter des prescriptions précises, à savoir :
– d’enjoindre aux acteurs économiques, financiers, d’empêcher toute activité et investissement, toute relation économique ou commerciale avec Israël qui seraient de nature à renforcer sa présence illicite dans le territoire palestinien occupé ;
– d’interdire l’importation de tout produit issu des colonies israéliennes en Cisjordanie occupée ;
– d’interdire toute exportation d’armes ou de matériels connexes en direction d’Israël ;
– d’enjoindre aux colons franco-israéliens de quitter leurs résidences dans les colonies ;
– de prendre des mesures contre les militaires franco-israéliens qui interviennent dans le territoire palestinien occupé.
Plus de cinq mois après le vote de cette résolution, la France n’a toujours pas pris la moindre mesure pour se conformer à cette résolution.
Nous demandons au gouvernement français de prendre des mesures visant les acteurs français responsables de ces agissements illicites, pour empêcher tout ce qui permet à l’occupation et la colonisation de perdurer. Ces acteurs peuvent être des citoyens, des entreprises, des institutions publiques dont des collectivités locales ou des organisations privées.
Samedi 8 février 15h
Place de Jaude Clermont-Ferrand