Autoroute A69 : l’intérêt public majeur, c’est d’arrêter immédiatement ce chantier



Alors que le tribunal administratif de Toulouse doit rendre dans les prochains jours une décision très attendue sur la construction de l’A69, les membres de l’Atécopol, un collectif de scientifiques de la région, expliquent dans cette tribune pourquoi rien ne justifie la poursuite de ce projet.



Pour sauver l’A69, le « chantage à l’emploi » du groupe Pierre Fabre


Le groupe pharmaceutique basé à Castres a annoncé qu’il pourrait « remettre en cause » son développement local si la construction de l’autoroute A69 était annulée.

Les laboratoires Pierre Fabre continuent de peser de tout leur poids dans le dossier de l’autoroute A69. Le 29 novembre, Pierre-Yves Revol, président de la Fondation Pierre Fabre, actionnaire majoritaire du groupe pharmaceutique basé à Castres (Tarn), a déclaré dans une interview au journal La Dépêche que « si l’autoroute n’est pas finalisée, le premier employeur du Tarn remettra en cause sa politique d’implantation locale ».

Conflit d’intérêts, opacité financière… Dans les coulisses du projet controversé de l’A69


Nous avons fait ce qui était en notre pouvoir auprès des ministres successifs pour arriver à cette décision. » En septembre 2010, le patron du groupe pharmaceutique et dermo-cosmétique Pierre Fabre crie victoire dans les colonnes du journal interne de l’entreprise.

La cellule investigation de Radio France a enquêté sur les zones d’ombre du contrat de concession de l’autoroute A69 qui reliera Castres à Toulouse.

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