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Le cinquantenaire de la Journée mondiale de l’environnement
Conduite par le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) et organisée chaque année le 5 juin depuis 1973, la Journée mondiale de l’environnement est la plus grande plateforme mondiale de sensibilisation du public à l’environnement et est célébrée par des millions de personnes à travers le monde. La Côte d’Ivoire accueille la Journée 2023.
Chaque jour, la menace se fait plus pressante : on ne cesse de nous parler de « relocalisation de l’économie » mais de partout s’exercent des forces pour finaliser et ratifier ce qui serait l’un des plus grands accords de libéralisation du commerce au monde, l’accord UE-Mercosur (Brésil, Argentine, Uruguay, Paraguay). Auxquels s’ajoutent les accords UE-Chili et UE-Mexique. N’ont-ils donc rien d’autre à proposer pour renforcer les liens entre l’UE et les pays d’Amérique latine, et plus largement entre les populations de ces pays, que de finaliser d’énièmes accords de libéralisation du commerce qui visent principalement à importer toujours plus de ressources naturelles en Europe (agricoles, minières et énergétiques) pour exporter des voitures thermiques et des pesticides ? Une alternative existe : elle est portée par la société civile qui propose de refonder nos relations commerciales sur d’autres principes que le dumping social, fiscal, écologique généralisé. A l’occasion de la réunion des ministres du commerce des États membres de l’UE des jeudi 24 et vendredi 25 mai, ces mêmes organisations de la société civile européenne, dont le collectif Stop CETA-Mercosur, appellent à une semaine d’actions pour s’opposer à ces accords de commerce. Rejoignez-nous !
Partager la publication "Appel européen à une semaine d’action (22 au 26 mai) contre les accords de libéralisation du commerce et d’investissement avec les pays d’Amérique latine !"
Sur les terres du Tarn, l’A69 qui doit relier Toulouse à Castres à travers champs suscite les polémiques depuis 30 ans. Face à l’Etat, aux élus de la Région et du département qui voient dans le projet une opportunité pour un territoire « enclavé », les opposants de plus en plus nombreux relèvent les omissions, les estimations gonflées, l’influence des laboratoires Fabre et au final un coût exorbitant, pour « racketter » l’usager. Ce weekend, soutenus par les Soulèvements de la Terre, ils donnent rendez-vous pour deux journées d’action qui risquent d’être tendues. Enquête les pieds dans un goudron brûlant.
ENQUÊTE Issue d’un travail inédit d’agrégation de données, cette carte permet de visualiser pour la première fois l’ampleur de la contamination de l’Europe par ces substances toxiques et persistantes.
Alors que s’ouvre à Paris le Salon de l’agriculture, rendez-vous traditionnel de légitimation d’un modèle agricole dévastateur, l’Atelier Paysan rend accessible en ligne son ouvrage Observations sur les technologies agricoles, publié il y a dix-huit mois. La coopérative entend ainsi rappeler le rôle, trop souvent occulté, de l’agro-équipement dans l’industrialisation de notre agriculture et de notre alimentation.
Dans une tribune publiée sur franceinfo, une dizaine d’auteurs du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) critiquent la stratégie du groupe pétrolier, qui a récemment utilisé leurs travaux pour justifier la poursuite de ses investissements dans les énergies fossiles.
Partager la publication "« TotalEnergies est très loin de prendre en compte les conclusions du Giec » : des scientifiques dénoncent l’instrumentalisation de leurs rapports par le géant pétrolier"
Les plaignants camerounais contre le groupe Bolloré dans l’affaire Socapalm s’exprimaient lors d’une conférence de presse à Kribi mercredi 14 décembre, deux semaines après leur succès judiciaire en France. La cour d’appel de Versailles a contraint l’entreprise à fournir les documents censés établir sa responsabilité dans les agissements de sa filiale camerounaise.
Une alouette des champs (Alauda arvensis) dans le Finistère. (Jean Mayet/Biosphoto via AFP)
Le gouvernement a de nouveau autorisé des formes traditionnelles de chasse de l’alouette des champs dans plusieurs départements du Sud-Ouest malgré une directive européenne. Le ministre de la Transition écologique assume sans convaincre.
Des manifestants pour le climat défilent à Lyon, le 26 mars. (Olivier Chassignole/AFP)
Après un été où le changement climatique a été palpable, notamment en France, une grève internationale de la jeunesse pour le climat est organisée ce vendredi. Les organisateurs attendent un regain de mobilisation.
En France, plusieurs millions de faisans et de perdrix — des animaux sauvages — sont élevés dans de petites cages dans le but d’être relâchés… et abattus pendant la saison de chasse.
Le barnum monté pour l’opération #MandatClimatBiodiversité, le 20 juin 2022 à Paris. (THOMAS BAIETTO / FRANCEINFO)
Lancée par un climatologue et un ancien député, l’opération #MandatClimatBiodiversité vise à former les nouveaux députés aux bases scientifiques du réchauffement climatique et de la crise de la biodiversité. Et pour le moment, les nouveaux élus ne se précipitent pas sous son chapiteau.
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Des marches sont organisées en France samedi 21 mai contre Monsanto-Bayer et les autres géants des pesticides. Un coup de semonce contre l’État, qui a «failli dans l’obligation de protection de ses citoyens».
Depuis 2019, l’Office français de la biodiversité octroie une enveloppe annuelle de 10 millions d’euros dédiée à « la protection et la reconquête de la biodiversité » aux fédérations de chasseurs. Selon le conseil scientifique de l’établissement public, ces fonds dépensés sans supervision dans des projets de qualité « très faible, voire mauvaise » sapent l’OFB et posent un risque juridique majeur. Malgré cette alerte, la convention-cadre signée entre l’OFB et la Fédération nationale des chasseurs a été renouvelée pour 5 ans. Nos révélations.