À Gaza, deux mois d’une guerre meurtrière viennent de s’écouler. Les civils le disent : « Chaque jour est plus épouvantable que la veille. » La bande de Gaza n’est toujours pas ouverte aux journalistes étrangers, mais des témoignages de civils nous parviennent tout de même par téléphone ou via des messages vocaux.
Lire ICI
Israël-Palestine: les enfants, victimes de l’horreur
Poste-frontière de Rafah à Gaza : “pour que des journalistes puissent sortir et d’autres entrer, ouvrez les portes !”
Troyes: retour sur le rassemblement et la marche du 2 décembre