“Les images d’enfants et de familles qui s’échappent des tentes bombardées à Rafah nous bouleversent tous. Depuis plus de sept mois, nous assistons à cette tragédie, qui fait des milliers de morts et de blessés, dont des enfants. Nous appelons à un cessez-le-feu immédiat, à la libération inconditionnelle de tous les otages et à la fin du massacre des enfants.”
Catherine Russell, directrice générale de l’UNICEF
Beau succès du rassemblement de ce 9 août devant l’hôtel de ville de Troyes. Après les prises de paroles, nous étions une centaine (en plein mois d’août !) à entonner : arrêt, arrêt des livraisons d’armes ! cessez-le-feu immédiat ! 173 nouvelles signatures ont alors été recueillies sur la place. Elles viennent s’ajouter aux 4000 déjà recueillies.
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A l’appel du Collectif aubois pour la Paix (MRAP, LDH, Greenpeace, AGUI, La Libre Pensée, Collectif Louise-Michel, LFI, POI, PCF, Génération.s, CGT, Solidaires et FSU), 80 personnes se sont rassemblées place de la Libération hier en fin d’après-midi, alors que les vacances d’été ont déjà vu s’envoler nombre d’entre nous vers d’autres contrées.
Un communiqué a été lu à 6 voix devant une assistance très complète dans sa diversité et dans son unité.
N’oublions pas, ne les oublions pas
CESSEZ LE FEU IMMEDIAT et DEFINITIF !
STOP AU MASSACRE A GAZA !
L’horreur se poursuit à Gaza.
Depuis plus de neuf mois, le peuple palestinien est en proie à un massacre organisé consciemment par le gouvernement israélien et qui menace son existence même. Les massacres massifs de populations civiles, 40 000 victimes – plus de 186 000 morts selon The Lancet – dont une majorité de femmes et d’enfants, des milliers de disparus et pour ceux qui sont encore vivants, 2 millions de déplacés de force livrés aux maladies (la quasi-totalité des centres de soins ont été détruits par l’armée israélienne), à la famine (accès à l’eau potable et aux aides alimentaires réduit à néant) amènent des organisations internationales, telles que la Cour Internationale de justice des Nations Unis, à reconnaître un « risque génocidaire » à Gaza.
Le 11 juin, lors d’un sommet international pour l’aide humanitaire aux Palestiniens, Antonio Guterres, le secrétaire général de l’ONU, a estimé qu’il était « grand temps d’instaurer un cessez-le-feu et de libérer les otages sans conditions». Il a déclaré que « L’horreur doit cesser », alors que les Nations Unis s’inquiètent des risques de famine dans le territoire assiégé.
Le procureur général de la Cour pénale internationale – une juridiction distincte également basée à La Haye – a déposé le 20 mai une demande de mandats d’arrêt à l’encontre du 1er ministre israélien M. Netanyahu et du ministre de la Défense Yoav Gallant, ainsi que contre trois dirigeants du Hamas. Cette décision du procureur de la CPI envoie un message important à toutes les parties au conflit à Gaza et ailleurs : elles auront à rendre des comptes pour la dévastation infligée aux populations de Gaza et d’Israël. Quelle que soit la cause défendue, nul ne peut être responsable de massacre et de crime contre l’humanité.
La demande de mandats d’arrêt formulée par le procureur de la CPI dans la situation dans l’État de Palestine est aussi l’occasion qui n’a que trop tardé de mettre un terme au cycle d’impunité qui dure depuis des décennies en Israël et dans les territoires palestiniens occupés et de rétablir la crédibilité du système de justice internationale dans son ensemble.
Tous les États doivent respecter la légitimité de la Cour et s’abstenir de toute tentative visant à intimider ou faire pression sur celle-ci, afin de permettre aux juges de faire leur travail en toute indépendance et impartialité.
13 pays de l’Union européenne reconnaissent officiellement l’existence d’un État palestinien. 146 pays mondialement. Cela représente plus de 70% des 193 pays membres de l’ONU.
Il est dommage que la France n’ait pas été à la tête de ce mouvement, alors même qu’Emmanuel Macron a dit à de nombreuses reprises défendre « les deux États », et que les deux chambres ont adopté des résolutions le demandant.
Depuis le 10juillet, L’armée israélienne multiplie les ordres d’évacuation, contraignant les deux millions d’habitants de l’enclave palestinienne à vivre dans le chaos et l’incertitude. Elle a largué des tracts sur toute la métropole de Gaza, ordonnant aux « présents » à Gaza – et non plus aux « habitants », comme par le passé – d’évacuer la cité et de se diriger vers le sud. « Des passages ouverts vous permettent de passer rapidement et sans fouille », promet l’armée, avant de menacer : « La ville de Gaza va rester une zone de combats dangereuse. »
Des millions de personnes à travers le monde, se rejoignent pour exiger un Cessez-le-feu immédiat ! Saluons tous les mouvements qui se dressent à travers le monde pour que cessent les massacres en cours du peuple palestinien.
Nous nous opposons et condamnons toutes les intimidations en cours orchestrées par notre gouvernement contre toutes celles et ceux qui cherchent à imposer le cessez le feu immédiat en Palestine. Cela indique que La France, à travers son gouvernement, continue de soutenir les massacres en cours en Palestine.
Le peuple palestinien a le droit de vivre en paix sur sa terre !
Une paix juste durable ne sera possible que dans le cadre de la reconnaissance de tous les droits du peuple palestinien, notamment de son droit à l’autodétermination et de son droit au retour. Cela implique le démantèlement des colonies, la fin de l’occupation israélienne ainsi que le respect de toutes les résolutions des Nations unies.
Ensemble continuons à nous mobiliser pour exiger :
– que la France et l’Union européenne s’associent à la démarche de l’Afrique du Sud afin de contraindre Israël à respecter l’ordonnance de la CIJ.
– un cessez-le-feu immédiat, total et permanent pour la bande de Gaza
– l’arrêt des bombardements et des déplacements forcés des populations.
– l’entrée sans restriction de l’aide humanitaire et la levée du blocus de Gaza.
– la libération de tous les prisonniers politiques palestiniens. C’est aussi dans le cadre d’un cessez-le-feu que les otages civils israéliens et binationaux pourront être libérés.
– que la France et l’Union européenne arrêtent toute coopération militaire et sécuritaire avec Israël et imposent des sanctions politiques, économiques et commerciales contre Israël.
– la reconnaissance d’un état palestinien.
La parole a pu circuler ensuite avec des interventions variées de la part de participantes et participants qui tenaient à partager chanson (merci à Pascal Genneret et à sa choriste; on peut l’écouter dans la 3 ème colonne de cette page), poèmes, textes, extraits d’écrits, libelles dont émanait une forte émotion envers le peuple palestinien et également pour toutes les victimes des colonisations actuelles, en particulier ceux de Nouvelle-Calédonie.
Il n’était pas question d’en rester là et les échanges se sont poursuivis autour de boissons et d’aliments proposés par les participantes et participants heureux d’apporter un morceau de leur pays d’origine et de ses saveurs,contribuant encore davantage à la circulation et au partage de la parole.
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Au dixième mois de guerre entre Israël et le Hamas à Gaza, les ONG tirent une fois de plus la sonnette d’alarme. Les Palestiniens, déplacés à plusieurs reprises dans l’enclave sur ordre de l’armée israélienne, s’entassent dans des zones surpeuplées où l’aide humanitaire n’entre plus.
Le G7 condamne l’annonce du gouvernement israélien de légaliser cinq avant-postes de colonies en Cisjordanie occupée
Les ministres des Affaires étrangères du G7 ont condamné ce jeudi 11 juillet l’annonce par le gouvernement israélien de son intention de légaliser cinq avant-postes de colonies et de saisir 1270 hectares de terres en Cisjordanie occupée.
Dans un communiqué transmis par la présidence italienne du « Groupe des 7 », ils condamnent également « la décision d’étendre les colonies existantes en Cisjordanie occupée en autorisant 5295 nouvelles unités de logement et trois nouvelles colonies ».
Au moins 29 Palestiniens ont été tués mardi 9 juillet dans une frappe contre une école abritant des déplacés dans le sud de Gaza. C’est ce qu’a indiqué le mouvement palestinien Hamas en accusant Israël, au moment où les troupes israéliennes sont engagées dans une offensive majeure dans le nord du territoire.
L’armée israélienne a annoncé ce jeudi 6 juin au matin avoir pris pour cible un établissement de l’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens qui servait selon elle de «base» au mouvement islamiste.
L’armée israélienne a revendiqué tôt ce jeudi 6 juin une frappe aérienne contre une école de l’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) dans la bande de Gaza, abritant selon elle «une base du Hamas». L’attaque a fait au moins 37 morts, selon un hôpital gazaoui. L’armée israélienne, elle, a fait état de «plusieurs terroristes tués». «Des avions de combat de l’armée […] ont mené une frappe précise sur une base du Hamas placée à l’intérieur d’une école de l’Unrwa dans la région de Nousseirat», a-t-elle précisé dans un communiqué.
Une marche nationaliste israélienne ravive les tensions à Jérusalem
Des dizaines de milliers de juifs israéliens se sont rassemblés mercredi soir devant le mur des Lamentations à l’issue d’une marche nationaliste dans la partie occupée et annexée de Jérusalem, sur fond de tensions exacerbées par la guerre à Gaza.
Les organisations, membre du Collectif Aubois pour la Paix, condamnent toutes les atteintes à la liberté d’expression des ces derniers mois qui ont utilisé le faux prétexte de l’antisémitisme ou de l’apologie du terrorisme pour justifier des interdictions de manifestation voire de réunions, mais également pour engager des poursuites judiciaires, des convocations voire des condamnations.
Ces mesures répressives visent à intimider les militants pour les museler.
Dans la continuité des déclarations du Président de la Ligue des Droits de l’Homme, les organisations du Collectif Aubois pour la Paix exigent :
– Le plein rétablissement du droit de manifester et de se réunir,
– L’abandon de toutes les procédures policières voire judiciaires en cours.
Les organisations membres du Collectif Aubois pour la Paix demandent l’abandon de toutes les procédures à l’encontre de tous les militants associatifs, politique et syndicaux.
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Le rassemblement devant la préfecture est maintenu ce jour à 18h bien que le rendez-vous, prévu ce jour, avec la Préfète pour la remise de la pétition par une délégation du Collectif Aubois pour la Paix, soit annulé.
Ce rassemblement est porté par LFI, les associations et les citoyens qui entendent apporter leur soutien pour demander l’arrêt des bombardements, un cessez-le-feu immédiat, l’arrêt des ventes d’armes et l’acheminement de l’aide humanitaire aux Gazaouis.
Le rendez-vous est fixé ce jour à 18h et non 17h comme initialement prévu, devant la préfecture.
Nous invitons celles et ceux qui le souhaitent à s’associer au rassemblement à titre individuel.
D’autres actions seront prochainement organisées au nom du Collectif. Nous vous tiendrons informés dès que possible.
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L’armée israélienne bombarde ce mercredi 29 mai Rafah, grande ville du sud de la bande de Gaza où elle a déployé ses chars, tandis qu’à l’ONU un projet de résolution se prépare pour tenter « d’arrêter » les violences sur place après un bombardement qui a suscité une vague mondiale d’indignation.
« Aujourd’hui, il n’y a plus d’hôpital fonctionnel à Rafah », s’inquiètent des humanitaires
Des chars israéliens sont entrés dans différents secteurs de cette ville, devenue le nouveau point de mire de la guerre entre Israël et le Hamas. De quoi faire craindre le pire aux ONG que franceinfo a pu joindre sur place.
« La CIJ n’est pas suffisante pour mettre fin aux violations du droit international humanitaire »
INTERVIEW Alors que les frappes israéliennes à Rafah interviennent quelques jours après une décision de la Cour internationale de Justice, le droit international est-il devenu impuissant ? Entretien avec le juriste Pascal Turlan, ex-conseiller à la Cour pénale internationale.
sraël poursuit ce mercredi 29 mai son offensive à Rafah, malgré les condamnations internationales, après le bombardement meurtrier d’un camp de réfugiés de la ville du sud de la bande de Gaza dans la nuit de dimanche à lundi. Une frappe qui a fait 45 morts et 249 blessés, selon le ministère de la Santé du territoire palestinien. Mardi, une nouvelle frappe israélienne sur un autre camp de réfugiés de Rafah a tué 21 personnes, d’après la Défense civile de Gaza.
150 personnes ont défilé aujourd’hui à Troyes pour une paix juste et durable, en apportant leur soutien aux étudiants, militants et acteurs du débat public qui subissent, en France comme aux Etats-Unis, la répression et l’intimidation politique , en raison de leur positionnement sur le conflit israélo-palestinien.
Le 1er Maià10h Place Jean-Jaurèsà Troyes, le Collectif de l’Aube pour une paix juste et durable sera présent au rassemblement et proposera une vente de tee-shirts au profit des victimes palestiniennes ainsi que la pétition qui est toujours ouverte et que vous pourrez encore signer si ce n’est déjà fait.
160 personnes auxquelles s’étaient joints une vingtaine d’enfants ont manifesté ce matin à Troyes avec pour mots d’ordre:
Cessez-le-feu total et permanent !
Arrêt de la guerre contre le peuple palestinien ! Levée durable du blocus de Gaza !
Protection du peuple palestinien à Gaza et en Cisjordanie !
Arrêt des livraisons d’armes à Israël, de toute coopération militaire et sécuritaire !
Sanctions contre Israël !
Reconnaissance d’un Etat Palestinien !
228 signatures supplémentaires de la pétition ont été collectées aujourd’hui, ce qui porte le nombre de signataires à 1100. Elles seront prochainement remises à Mme la Préfète de l’ Aube.
La présence de la presse aurait été la bienvenue….
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Comment sortir de l’horreur de Gaza, tout en évitant un campisme absurde ? C’est au fond ce que propose l’avocat, dans une articulation de l’intime et du politique, autour de valeurs « toutes simples » : la vie, la paix.
Depuis plusieurs jours, les combats qui opposent l’armée israélienne au Hamas dans l’enclave palestinienne se cristallisent autour des complexes hospitaliers. Notamment ceux des villes de Gaza et de Khan Younès. Il faut dire que l’intensité des affrontements n’a pas baissé, malgré le vote, lundi, d’une résolution du Conseil de sécurité de l’ONU appelant à un « cessez-le-feu immédiat ». Et l’état du système de santé de Gaza est aujourd’hui proche du néant. Dans le nord de l’enclave, RFI a pu joindre par téléphone un médecin. Il raconte comment, même pour soigner des patients, il ne lui reste que le système D.
Arrêt de la guerre contre le peuple palestinien ! Levée durable du blocus de Gaza !
Protection du peuple palestinien à Gaza et en Cisjordanie !
Arrêt des livraisons d’armes à Israël, de toute coopération militaire et sécuritaire ! Sanctions contre Israël !
Reconnaissance d’un Etat Palestinien !
Manifestation le 30 mars à 10h30 place Jean-Jaurès à l’appel du collectif aubois pour la paix (MRAP, LDH, GREENPEACE, AGUI, LIBRE PENSEE, COLLECTIF LOUISE MICHEL, LFI, POI, PCF, GENERATION.S, CGT, SOLIDAIRES, FSU)
Partager la publication "Gaza: «Certains sont morts sous nos yeux, parfois car il ne manquait qu’un simple outil médical»"
Ils ont manifesté ce samedi matin à Troyes pour dénoncer « le génocide en Palestine » suite à l’appel du collectif aubois pour la paix et l’arrêt des massacres à Gaza.
Stop aux massacres ! Cessez le feu immédiat ! Pour une paix juste et durable !
Depuis plus de quatre mois, les habitants de Gaza sont sous le feu des bombardements de l’armée israélienne. Plusieurs dizaines de milliers personnes sont déjà mortes, blessées ou disparues dont une grande majorité de femmes et d’enfants. Ces massacres de la population palestinienne ne font que s’accentuer chaque jour.
Les hôpitaux sont bombardés, ceux qui ne sont pas encore détruits sont exsangues et submergés par les blessés. Les soins sont quasiment impossibles et les amputations sont réalisées sans anesthésie. Près de deux millions de personnes ont été obligées de quitter leur logement dans l’urgence et la peur. Mais le sud de Gaza où se réfugient les habitants du Nord de l’enclave est aussi bombardé, alors que la densité de population au km carré y a dépassé les 10 000 habitants.
Le massacre et les actes de terreur perpétrés par le Hamas le 7 octobre contre des civils israéliens ne justifient en rien les massacres actuellement à l’oeuvre contre le peuple palestinien tout entier.
La poursuite de cette offensive est en flagrante violation des ordonnances de la Cour Internationale de Justice, qui pointe des signes concordants d’un génocide en cours.
Le gouvernement israélien bafoue à nouveau le droit international après l’avoir fait depuis des décennies avec l’occupation des territoires palestiniens par les colons israéliens. Ce gouvernement dominé par l’extrême-droite mène ouvertement une politique d’apartheid et poursuit inexorablement la colonisation de la Cisjordanie et de Jérusalem Est, au mépris de toutes les décisions internationales.
Comme seule réponse à la décision de la Cour internationale de justice du 26 janvier dernier qui lui ordonne de tout mettre en oeuvre pour prévenir le génocide, Benyamin Netanyahou et son cabinet de guerre entament une nouvelle phase de son offensive en ciblant Rafah, où plus de la moitié de la population de la Bande de Gaza se trouve concentrée à la suite de déplacements forcés. Cela va plonger cette population dans une horreur absolue.
Nous saluons l’Afrique du Sud qui vient de déposer une nouvelle requête auprès de la Cour Internationale de Justice.
Nous interpellons les autorités françaises qui ont encouragé, l’offensive israélienne. Il ne suffit pas d’exprimer « sa plus vive préoccupation », il faut passer aux actes. Il faut suspendre toute coopération militaire avec Israël et prendre des sanctions diplomatiques et économiques contre l’État criminel tant qu’il ne se conforme pas aux aux ordonnances de la Cour Internationale de Justice.
Une paix juste et durable ne sera possible que dans le cadre de la reconnaissance des droits du peuple palestinien, de l’arrêt de la colonisation et de la fin de l’occupation israélienne des terres palestiniennes, d’un état Palestinien indépendant, dans le respect de l’ensemble des résolutions de l’ONU.
Dans cette situation, nous appelons à poursuivre la mobilisation
le 2 mars à 10H30 Place de l’Hôtel de Ville à Troyes
pour exiger :
– Un cessez-le-feu immédiat.
– La levée immédiate du blocus inhumain qui affame la population de Gaza.
– L’acheminement de médicaments et de moyens matériels et et humains pour les hôpitaux.
– L’arrêt des déplacements forcés de la population.
– La protection du peuple palestinien à Gaza et en Cisjordanie.
– La libération des otages du Hamas et des prisonniers palestiniens.
– La fin de l’occupation des territoires palestiniens.
– La reconnaissance par la France de l’Etat Palestinien.
– L’arrêt des ventes d’armes à Israël.
À l’appel dans l’Aube des organisations : MRAP, LDH, GREENPEACE, AGUI, LIBRE PENSEE, COLLECTIF LOUISE MICHEL, LFI, POI, PCF, GENERATION.S, CGT, collectif LOUISE MICHEL,
Partager la publication "Manifestation ce samedi matin à Troyes pour « la paix en Palestine »"
Le premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou, a réitéré son intention de mener une opération militaire à Rafah, où plus d’un million de Palestiniens sont réfugiés. Aux États-Unis, le président, Joe Biden, a suspendu l’expulsion des Palestiniens du territoire américain.
L’Ukraine envoie des renforts dans «l’enfer d’Avdiïvka» face à une situation «extrêmement critique»
Ce jeudi 15 février, l’armée ukrainienne a déployé des renforts à Avdiïvka, actuel épicentre des combats à l’est du pays, pour contrer les assauts russes, alors que 26 missiles ont été tirés dans la nuit par la Russie.