« Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots. »Martin Luther King / Discours – 31 Mars 1968
Les « premiers de cordée » ont trop souvent oublié certains d’entre nous et ont tendance à s’enfermer sur un entre-soi qui exclut notamment les territoires ruraux. Pourtant le dynamisme est loin d’en être absent, tout comme les valeurs d’ouverture, de solidarité et de partage. En outre, en ces temps troublés, ne pas oublier la place fondamentale de la fraternité dans notre devise républicaine est une nécessité.
Toutes celles et tous ceux qui se reconnaissent dans ces valeurs sont invités à se rencontrer le vendredi 4 juillet 2025 à 18h30 à Epagne (1, rue Gabriel Bonvalot)
autour d’un apéritif afin de faire connaître les initiatives qui existent déjà, d’en développer d’autres, d’exprimer les besoins ou tout simplement de se rencontrer et d’échanger.
Cette rencontre, bien qu’organisée par un groupe de Socialistes de la première circonscription électorale de l’Aube, se veut transpartisane et surtout ouverte à toutes celles et tous ceux pour qui la fraternité entre habitants de nos territoires a encore un sens et qui veulent participer à la construction d’un avenir solidaire et tolérant.
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Frappes américaines en Iran : Guterres tire la sonnette d’alarme et dénonce « un tournant périlleux »
« Le régime de non-prolifération nucléaire, qui sous-tend la sécurité internationale depuis plus d’un demi-siècle, est en jeu », met en garde le chef de l’AIEA.
La « rhinocérite », ou comment le pouvoir banalise l’inacceptable
En revenant sur une multitude de faits accumulés ces derniers mois, une logique se dégage : celle de l’abandon des principes fondamentaux de notre République, des droits humains, du droit international. Sans fracas, l’affreuse contagion gagne.
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Le 18 mars Israël a violé le cessez-le-feu à Gaza, avec le soutien total des États-Unis, en décidant la reprise de bombardements massifs et des déplacements forcés de la population. Plus de 800 morts ont été comptabilisés en quelques jours, en majorité des femmes et des enfants ! Ce mercredi 11 juin, des tirs israéliens ont fait une trentaine de morts et 200 blessés près d’un centre d’aide humanitaire, annonce la Défense civile de de Gaza.
Depuis le début du mois de mars, l’État d’Israël a totalement fermé tous les accès à Gaza, c’est l’arrêt de l’aide humanitaire, la coupure de l’eau, de l’électricité et des médicaments, la famine qui s’installe.
La situation est catastrophique, la population s’entretue pour de l’eau et n’a désormais quasiment plus rien à manger. L’ONU a d’ailleurs dénoncé l’utilisation de la famine par Israël comme arme de guerre. D’après la Croix rouge la situation humanitaire est au bord de l’effondrement, chaque jour qui passe, les cas d’émaciation sévère augmentent. Le taux de malnutrition chez les enfants a ainsi bondi de « 172 % au premier trimestre de 2025 » par rapport à la même période l’an dernier. Pour couronner le tout, vendredi 2 mai un bateau de l’ONG la flottille de la liberté transportant des vivres pour les Gazaouis a été attaqué par des drones israéliens. Un Gazaoui sur cinq – risquent de mourir de faim dans les prochains mois, y compris des dizaines de milliers d’enfants. Plus de 2 700 enfants de moins de 5 ans ont été diagnostiqués comme souffrant d’une malnutrition aiguë à Gaza, selon l’UNRWA, tandis qu’il n’y a qu’« un seul point médical partiellement fonctionnel dans le nord de Gaza ».
Le 4 mai dernier, Netanyahou a confirmé son plan de déplacement massif de la population et sa volonté de conquête du territoire en expliquant qu’il compte « promouvoir le plan Trump ». « C’était la recommandation du chef d’état-major, pour détruire le Hamas. Il pense que cela nous aidera à libérer les otages, et je suis d’accord avec lui », a déclaré Benyamin Netanyahou précisant que ses troupes occuperaient le territoire et que la population gazaouie serait déplacée vers le sud.
En continuant ses agressions contre le Liban et la Syrie, c’est tout le Moyen-Orient qu’Israël cherche à embraser certains pays occidentaux, comme la France, ont condamné les bombardements de l’armée israélienne mais ce ne sont que des mots. Les paroles et les discours ne servent plus à rien. Israël veut enterrer tout espoir de cessez-le-feu permanent à Gaza en reprenant sa guerre génocidaire contre le peuple palestinien et en lui niant le droit à la vie.
Il faut prendre des sanctions contre Israël pour mettre fin aux massacres et au génocide en cours.
MB
Emmanuel Macron a d’ailleurs déclaré il y a quelques semaines que la reconnaissance de l’état de Palestine pour le France « pourrait » avoir lieu en juin, en se basant notamment sur la conférence de l’ONU. Mais qu’attend-il de plus pour agir ? L’urgence est là, la France doit prendre ses responsabilités. En plus de la reconnaissance de l’état, le président français doit agir pour débloquer l’arrivée de l’aide humanitaire et exiger que des sanctions soient prises à l’échelle européenne contre le gouvernement d’extrême-droite israélien. Mais visiblement les priorités du gouvernement français sont ailleurs ! Il préfère criminaliser celles et ceux qui se mobilisent en soutien au peuple palestinien notamment en demandant la dissolution d’Urgence Palestine. Le message est clair : faire taire les voix de la paix et s’en prendre à celles et ceux qui défendent la solidarité internationale. Le collectif pour la Paix s’oppose évidemment à cette dissolution.
Le collectif soutient également la flottille de la liberté et dénonce les agissements de l’armée israélienne qui a stoppé le bateau et interpellé ses occupants dans les eaux internationales au mépris encore une fois du droit international. Les militantes et militants présents à bord ont été envoyés en détention et y sont pour certains depuis des jours, cette situation est inacceptable et nous exigeons que le président Macron prenne ses responsabilités pour exiger la libération des ressortissants français détenus de manière arbitraire ainsi que de tous les autres militants.
Le gouvernement israélien les accuse d’avoir pénétré illégalement le territoire israélien, ce qui est faux puisqu’ils étaient dans les eaux internationales et de toute façon Gaza n’est pas le territoire israélien ! Gaza a le droit de recevoir de l’aide humanitaire !
En Cisjordanie, dont Jérusalem-Est, la population est assiégée, déplacée de force par les colons et l’armée israélienne, leurs habitations sont détruites. C’est un véritable nettoyage ethnique, mené sans interruption, qui fait craindre un scénario proche de celui de Gaza. C’est ouvertement un processus d’annexion de la Cisjordanie qui se met en place avec l’approbation de Trump.
Le mouvement de solidarité prend de l’ampleur en France et partout dans le monde. De nouvelles voix s’élèvent pour dénoncer et s’opposer aux massacres ; De plus en plus de personnalités, de structures prennent position et élargissent le mouvement. À Genève, lors de la 113e session de la Conférence internationale du travail, les membres ont voté largement en faveur d’un statut d’État observateur non-membre pour la Palestine. Une nouvelle victoire diplomatique, avant l’initiative française à l’ONU dans quelques semaines.
Ces prises de positions viennent opportunément rappeler la justesse de notre mobilisation face à tous ceux qui depuis des mois nous traitent d’antisémites et appellent à notre répression parce que nous manifestons notre solidarité avec le peuple palestinien massacrés par le colonialisme génocidaire du gouvernement israélien. Elles justifient notre exigence de l’abandon immédiat de la procédure de dissolution d’« Urgence Palestine » ainsi que de toutes les procédures disciplinaires et/ou de police en cours au fallacieux prétexte d’apologie du terrorisme.
En Israël également les mobilisations s’accentuent, le peuple israélien manifeste chaque semaine pour l’arrêt de la guerre et le retour des otages.
En France, le mouvement de solidarité perdure et se renforce et nous ne lâcherons rien. Plus de 4000 citoyens aubois se sont déjà prononcés pour que le gouvernement français interdise la livraison d’armes à Israël et prenne toute sanction pour imposer que l’aide humanitaire parvienne aux gazaouis affamés.
Le Collectif exige :
Arrêt de la guerre contre le peuple palestinien !
Levée durable du blocus de Gaza !
Protection du peuple palestinien à Gaza et en Cisjordanie ! Arrêt des livraisons d’armes à Israël !
Arrêt de toute coopération militaire et sécuritaire !
Sanctions contre Israël !
Reconnaissance d’un État Palestinien !
Arrêt de l’occupation/colonisation expansives par Israël des territoires palestiniens et voisins.
Lecture de poèmes gazaouis / MB
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La présidente de la LDH, Nathalie Tehio, appelle la communauté internationale à prendre ses responsabilités face à une politique israélienne qui tente d’imposer la loi du plus fort contre le droit & la justice. Aujourd’hui plus que jamais, il nous faut agir, nous mobiliser !
Hier le peuple palestinien a commémoré le 77ème anniversaire de la Nakba. La Nakba la catastrophe en arabe, c’est 800000 palestiniens qui furent chassés de leurs terres, de leurs maisons, de leur patrie par l’armée israélienne durant la période de 1947 à 1949. Un nettoyage ethnique, un crime colonial.
Aujourd’hui la Nakba continue sous nos yeux dans la mémoire et la douleur du peuple palestinien. Elle continue à travers les crimes perpétrés en ce moment et depuis 20 mois par de Netanyahu et son gouvernement.
Le 18 mars Israël a violé le cessez-le-feu à Gaza, avec le soutien total des États-Unis, en décidant la reprise de bombardements massifs et des déplacements forcés de la population. Plus de 800 morts ont été comptabilisés en quelques jours, en majorité des femmes et des enfants ! Depuis le début du mois de mars, l’État d’Israël a totalement fermé tous les accès à Gaza, c’est l’arrêt de l’aide humanitaire, la coupure de l’eau, de l’électricité et des médicaments, la famine qui s’installe.
La situation est catastrophique, la population s’entretue pour de l’eau et n’a désormais quasiment plus rien à manger. L’ONU a d’ailleurs dénoncé l’utilisation de la famine par Israël comme arme de guerre. D’après la Croix rouge la situation humanitaire est au bord de l’effondrement, chaque jour qui passe, les cas d’émaciation sévère augmentent. Le taux de malnutrition chez les enfants a ainsi bondi de « 172 % au premier trimestre de 2025 » par rapport à la même période l’an dernier. Pour couronner le tout, vendredi 2 mai un bateau de l’ONG la flottille de la liberté transportant des vivres pour les Gazaouis a été attaqué par des drones israéliens.
Le 4 mai dernier, Netanyahou a confirmé son plan de déplacement massif de la population et sa volonté de conquête du territoire en expliquant qu’il compte « promouvoir le plan Trump ». « C’était la recommandation du chef d’état-major, pour détruire le Hamas. Il pense que cela nous aidera à libérer les otages, et je suis d’accord avec lui », a déclaré Benyamin Netanyahou précisant que ses troupes occuperaient le territoire et que la population gazaouie serait déplacée vers le sud.
En continuant ses agressions contre le Liban et la Syrie, c’est tout le Moyen-Orient qu’Israël cherche à embraser certains pays occidentaux, comme la France, ont condamné les bombardements de l’armée israélienne mais ce ne sont que des mots. Les paroles et les discours ne servent plus à rien. Israël veut enterrer tout espoir de cessez-le-feu permanent à Gaza en reprenant sa guerre génocidaire contre le peuple palestinien et en lui niant le droit à la vie.
Il faut prendre des sanctions contre Israël pour mettre fin aux massacres et au génocide en cours.
Emmanuel Macron a déclaré il y a quelques semaines que la reconnaissance de l’état de Palestine pour le France « pourrait » avoir lieu en juin. Mais qu’attend il de plus pour agir ? L’urgence est là, la France doit prendre ses responsabilités. En plus de la reconnaissance de l’état, le président français doit agir pour débloquer l’arrivée de l’aide humanitaire et exiger que des sanctions soient prises à l’échelle européenne contre le gouvernement d’extrême droite israélien. Mais visiblement les priorités du gouvernement français sont ailleurs ! Il préfère criminaliser celles et ceux qui se mobilisent en soutien au peuple palestinien notamment en demandant la dissolution d’Urgence Palestine. Le message est clair : faire taire les voix de la paix et s’en prendre à celles et ceux qui défendent la solidarité internationale.
Le collectif pour la Paix s’oppose évidemment à cette dissolution. En Cisjordanie, dont Jérusalem-Est, la population est assiégée, déplacée de force par les colons et l’armée israélienne, leurs habitations sont détruites. C’est un véritable nettoyage ethnique, mené sans interruption, qui fait craindre un scénario proche de celui de Gaza. C’est ouvertement un processus d’annexion de la Cisjordanie qui se met en place avec l’approbation de Trump.
Le mouvement de solidarité prend de l’ampleur en France et partout dans le monde. De nouvelles voix s’élèvent pour dénoncer et s’opposer aux massacres ; la rabbin Delphine Horvilleur a publié un texte-manifeste dans lequel elle dit son « refus absolu de l’annihilation d’un peuple » pour réaliser « le rêve de survie » d’un autre peuple. Elle dénonce « la déroute politique et la faillite morale du gouvernement israélien » et parle de la « tragédie endurée par les gazaouis ». Son texte a été relayé par de nombreuses personnalités en France.
En Israël également les mobilisations s’accentuent, le peuple israélien manifeste chaque semaine pour l’arrêt de la guerre et le retour des otages.
En France, le mouvement de solidarité perdure et se renforce et nous ne lâcherons rien. Plus de 4000 citoyens aubois se sont déjà prononcés pour que le gouvernement français interdise la livraison d’armes à Israël et prenne toute sanction pour imposer que l’aide humanitaire parvienne aux gazaouis affamés.
Le Collectif exige :
– Arrêt de la guerre contre le peuple palestinien !
– Levée durable du blocus de Gaza !
– Protection du peuple palestinien à Gaza et en Cisjordanie !
– Arrêt des livraisons d’armes à Israël !
– Arrêt de toute coopération militaire et sécuritaire !
– Sanctions contre Israël !
– Reconnaissance d’un État Palestinien !
– Arrêt de l’occupation/colonisation expansives par Israël des territoires palestiniens et voisins.
Les frappes israéliennes ont fait 74 morts, selon un nouveau bilan de la défense civile palestinienne
« Ma façon de résister, c’est de rester en Palestine »
Comme vous le savez, environ 110 habitants de Gaza sont arrivés récemment en France, évacués fin avril grâce au consulat français de Jérusalem. Parmi eux, il y avait des regroupements familiaux, des gens qui ont reçu des bourses universitaires, des artistes, des gens qui ont des liens divers avec la France et qui voulaient sortir de Gaza. Tout de suite après, j’ai reçu beaucoup d’appels d’amis français, journalistes ou non. Avec la même question : « Pourquoi tu n’es pas parti ? » Certains me proposaient même d’appeler le consulat de France, croyant qu’il m’avait oublié dans la liste des candidats au départ. J’ai répondu que, depuis le premier jour de la guerre, le consulat me propose de me faire quitter Gaza, avec ma famille, et de m’accueillir en France. Mais je refuse.
Le CRIF « signaleur de confiance » de l’Arcom, une menace pour la liberté d’expression
UJFP L’Arcom (Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique) vient d’agréer le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) comme « signaleur de confiance ». Ce statut permet à une organisation de signaler des contenus jugés illicites ou problématiques, en bénéficiant d’un traitement prioritaire. L’Union juive française pour la paix (UJFP) dénonce cette décision grave et lourde de conséquences.
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Nous sommes en 2025, soit 80 ans après le 8 mai 1945, les âmes des victimes appellent à nous souvenir de cette date où eut lieu un crime d’Etat. Malika Fecih, autrice.
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Israël a complètement rasé Rafah, transformant un cinquième du territoire de Gaza en une zone tampon géante. Cela fait partie du plan d’Israël pour rester définitivement à Gaza et faciliter le nettoyage ethnique de sa population.
Cisjordanie au jour le jour : Les colons et les forces israéliennes assassinent ensemble
Notre point sur la situation cette semaine en Cisjordanie, où l’armée israélienne poursuit sa brutale opération « mur de fer », assassinant au moins sept Palestinien·nes dont un enfant de 12 ans.
La destruction d’engins lourds essentiels, mardi, suite à des frappes aériennes israéliennes, a paralysé les opérations de secours, rendant encore plus difficile l’accès aux quelque 11.000 corps encore emprisonnés sous les décombres.
Selon les autorités locales, ces frappes ont mis un terme à toutes les opérations d’enlèvement des déchets solides et des débris, a déclaré le porte-parole du Secrétaire général de l’ONU, Stéphane Dujarric, aux journalistes lors d’un point de presse à New York.
Jusqu’à récemment, des bulldozers et autres engins d’excavation étaient utilisés dans les efforts laborieux pour extraire les corps des décombres.
Un bulldozer conduit par Atif Nasr – qui travaillait avant la guerre à la construction et à la réparation de routes – était devenu indispensable pour extraire les restes de proches des décombres.
Deux employés de l’ONU ont été tués dans une frappe à Gaza (source onusienne)
Deux employés des Nations unies ont été tués lors d’une frappe qui a touché un bâtiment de l’ONU à Deir el-Balah, dans le centre de la bande de Gaza, a fait savoir, mercredi 19 mars, une source onusienne à l’AFP. Les deux morts sont des employés du Bureau des services des projets de l’ONU (Unops) et du Service de la lutte antimines (Unmas), a précisé cette source.(RFI)
Frappes israéliennes: à Gaza comme dans la région, la rupture de la trêve signe le retour du chaos
Invités par Israël avec leurs homologues européens pour une conférence « contre l’antisémitisme » les deux figures de l’extrême droite seront en pays de connaissance.
Golfe d’Amérique, Mont McKinley, Fort Bragg : Trump et sa manie de rebaptiser tout ce qui l’entoure
Depuis son retour au pouvoir en janvier, Donald Trump a multiplié les signatures de décrets, certaines visant à faire changer de nom des lieux emblématiques comme le golfe du Mexique ou le Denali en Alaska. Des annonces qui ont suscité quelques polémiques voire des moqueries.
Donald Trump veut le retour des pailles en plastique
Gaza : Donald Trump déclare que les Palestiniens n’auraient pas de droit au retour dans le cadre de son plan pour le territoire
Le président américain, Donald Trump, a affirmé que les Palestiniens n’auraient pas le droit au retour dans le cadre de son plan pour Gaza, dans un extrait d’interview dévoilé lundi 10 février. Au journaliste de la chaîne Fox News Bret Baier qui lui demande si les Palestiniens auraient « le droit au retour » dans le territoire ravagé par la guerre, Donald Trump a répondu : « Non, ils n’en auraient pas car ils auront des logements bien meilleurs. »
Côte d’Azur à Gaza : selon le projet de Trump, les Palestiniens n’auraient pas le droit de retourner chez eux
Ce samedi matin, place Jean Jaurès à Troyes, une cinquantaine de manifestants se sont rassemblés pour appeler à la paix en Palestine. Bien qu’un accord de cessez-le-feu entre le Hamas et le gouvernement israélien ait été annoncé le dimanche 19 janvier, le Collectif aubois pour la paix en Palestine reste vigilant : « Certes, on se réjouit du cessez-le-feu qu’il y a depuis quelques jours, mais on craint que ce soit un cessez-le-feu très court. Du coup, il faut qu’on maintienne la pression, qu’on se fasse entendre, pour que ce cessez-le-feu dure le plus longtemps possible. », explique David Durlot, membre du collectif.
Le collectif, composé de diverses associations et syndicats (la CGT, la Ligue des Droits de l’Homme, La France insoumise, La Libre Pensée, le MRAP, Greenpeace, AGUI, le collectif Louise-Michel, le Parti communiste, le Parti ouvrier indépendant, Génération.s, Solidaires et la FSU), entend poursuivre son action et diffuser un message de paix : « Ça peut paraître être une goutte d’eau dans l’océan, mais pour citer Pierre Rabhi, c’est le colibri qui fait son travail. », affirme Sylvie Garet, membre du collectif.
Pour rappel, 15 mois après le début du conflit, l’Unicef dresse un bilan provisoire de 47 161 morts, dont plus de 14 500 enfants et 111 166 blessés.
« On ne veut pas la paix à n’importe quel prix », assure le commandant du bataillon qui défend la ville de Pokrovsk
Alors que Donald Trump menace la Russie de sanctions douanières si elle ne conclut pas un accord avec l’Ukraine, les combats continuent de faire rage. Dans l’est du pays, les troupes ukrainiennes sont en difficulté et la chute de Pokrovsk semble imminente. Les combats y font rage, avec une intensité qui témoigne d’une situation désespérée.
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Le ministre israélien d’extrême droite Bezalel Smotrich a dit lundi s’opposer à l’accord qui mettrait fin à la guerre dans la bande de Gaza en échange de la libération des otages alors que les négociations se sont intensifiées ces derniers jours.
« Nous ne participerons pas à un accord de reddition qui inclurait la libération d’hyper-terroristes, l’arrêt de la guerre, et la perte de ce qui a été acquis au prix de beaucoup de sang versé et de l’abandon d’un grand nombre d’otages« , a écrit le ministre des Finances sur son compte X.
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