LA Grèce n’aime pas les migrants ni les ONG


En Grèce, une justice chaotique pour contrer les arrivées de migrants (1/2)

Un accusé arrive au tribunal de Mytilène, à Lesbos, lundi 9 janvier. Crédit : InfoMigrants


Le procès en appel de Mohammad Hanad, un migrant somalien condamné à 142 ans de prison en 2021 pour « facilitation d’entrées illégales » en Grèce, s’est tenu, lundi, sur l’île de Lesbos. Le lendemain, 24 bénévoles et travailleurs humanitaires, eux aussi accusés d’être des passeurs, ont comparu devant le même tribunal. Symboles de la criminalisation des migrants et de ceux qui leur viennent en aide, ces procès sont aussi la preuve criante d’une justice désorganisée. Reportages.

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En Grèce, le procès « grotesque » de ceux qui aident les migrants 2/2

Un groupe de personnes, venues soutenir les 24 humanitaires jugés à Lesbos, brandissent une pancarte mardi 10 janvier à l’extérieur du tribunal de Mytilène. Crédit : InfoMigrants


Mardi, 24 humanitaires, accusés d’être des passeurs, ont comparu devant le tribunal de Mytilène, sur l’île grecque de Lesbos. La veille, le jugement en appel de Mohammad Hanad, un migrant somalien condamné à 142 ans de prison en 2021 pour « facilitation d’entrées illégales » en Grèce, s’était déjà tenu au même endroit. Reportages.

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