Aux États-Unis, Facebook a transmis à la police les messages d’une adolescente poursuivie pour avortement

Après la décision de la Cour Suprême, le patron de Facebook (Meta) avait assuré que des efforts seraient faits pour protéger ces données sensibles © AFP – JOAN CROS / NURPHOTO


Ces messages ont révélé des échanges avec sa mère, où celle-ci lui donne des pilules abortives et lui explique comment les prendre, passés les délais légaux. Facebook s’est défendu dans un communiqué, arguant que le mandat judiciaire portait sur une enquête pour « fausse-couche » et non « avortement ».

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