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Des manifestantes pour le droit à l’avortement défilaient à Miami, en Floride, le 24 juin dernier. (Marco Bello/Reuters)
La demande d’une jeune femme de 16 ans d’accéder à l’IVG a été refusée par la justice de cet Etat américain, où la pratique reste pourtant légale. Une décision scandaleuse et incohérente qui a suscité l’indignation dans la sphère politique américaine.
Ces messages ont révélé des échanges avec sa mère, où celle-ci lui donne des pilules abortives et lui explique comment les prendre, passés les délais légaux. Facebook s’est défendu dans un communiqué, arguant que le mandat judiciaire portait sur une enquête pour « fausse-couche » et non « avortement ».
Un homme vote à Wichita (Kansas), le 2 août 2022. (NATHAN POSNER / ANADOLU AGENCY / AFP)
Ils ont rejeté un amendement qui aurait supprimé le texte garantissant le droit à l’avortement dans la Constitution de l’État. Cela aurait pu ouvrir la voie à une réglementation plus stricte ou à une interdiction.
Une manifestation pour le droit à l’avortement, à Washington DC, le 26 juin 2022. (NATHAN HOWARD / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / AFP)
Des batailles juridiques ont été engagées dans tout le pays pour empêcher les États d’interdire ou de limiter davantage l’avortement, après la décision de la Cour suprême de révoquer le droit constitutionnel à l’IVG.
Fin du droit constitutionnel à l’avortement aux États-Unis : « C’est ridicule que neuf individus puissent déterminer nos droits humains fondamentaux »
Le 24 juin 2022, des manifestants pro-IVG à Washington entre colère et désespoir aprèsla décision de la cour suprême de révoquer ce droit constitutionnel. (ALEX KENT / AFP)
La Cour suprême des États-Unis a abrogé vendredi le droit constitutionnel à l’IVG. Les États américains décideront désormais individuellement d’autoriser ou pas l’avortement. Face à cette situation, des manifestants se sont rassemblés à Washington pour crier leur colère.
Des personnes tiennent une pancarte sur laquelle est écrit « Légaliser l’avortement sans compromis », sur la place principale de Cracovie, en Pologne, le 1er décembre 2021. (BEATA ZAWRZEL / NURPHOTO / AFP)
Les interruptions volontaires de grossesse (IVG) demeurent interdites en Pologne, sauf en cas de viol et d’inceste, ou si la vie ou la santé de la mère sont en danger.
États-Unis : quatre marches géantes organisées pour défendre le droit à l’avortement, la Californie veut être une « lueur d’espoir »
Des manifestantes défendent le droit à l’avortement à Los Angeles, le 3 mai 2022. (FREDERIC J. BROWN / AFP)
Washington, New York, Chicago et Los Angeles… Aux États-Unis, quatre grandes marches sont organisées samedi ainsi que des centaines d’autres rassemblements, aux quatre coins du pays, pour défendre le droit à l’avortement. De son côté, la Californie légifère pour protéger les femmes.
Mobilisation massive en Croatie pour défendre le droit à l’avortement
Des milliers de personnes ont manifesté, jeudi 12 mai à Zagreb comme dans d’autres villes croates, en faveur du droit à la santé des femmes. La raison de leur indignation ? Le cas d’une femme enceinte d’un enfant gravement malade qui s’est vu refuser sa demande d’interrompre sa grossesse par quatre hôpitaux. « Assez » était le mot d’ordre de cette mobilisation qui demande au système de santé de respecter les femmes.
IVG : Le débat sur le droit à l’avortement ravivé également au Canada
IVG : Comme aux Etats-Unis, le droit à l’avortement au Canada n’est pas protégé par une loi, mais par la jurisprudence.
Les « évangéliques » ont le vent en poupe avec environ 665 millions de fidèles dans le monde. Dans certains pays, comme aux Etats-Unis, cette frange du christianisme protestant dispose de puissants relais. Ils ont investi la scène politique pour contrecarrer des avancées sur le plan des droits humains. Et leur influence politique est grandissante. En témoigne le possible réexamen par la Cour suprême américaine de l’arrêt Roe vs. Wade, reconnaissant le droit des femmes à avorter dans le pays depuis 1973.
Des manifestantes devant la Cour suprême américaine, à Washington DC, le 2 mai 2022. (KEVIN DIETSCH / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / AFP)
D’après le site d’information Politico, la plus haute juridiction du pays a rédigé une décision qui renverserait le fameux arrêt Roe contre Wade, qui a fait de l’avortement un droit constitutionnel en 1973. Ce revirement, s’il entrait en vigueur, serait une victoire pour les États conservateurs qui multiplient les restrictions contre l’IVG.
Antisémites, fascistes, identitaires : les radicaux avec Le Pen
StreetPress
Antisémites, identitaires, catho tradi’ au RN de Marine Le Pen on trouve encore toutes les familles les plus radicales de l’extrême droite. Et c’est sans compter ceux qui la soutiennent de l’extérieur. Revue des troupes.
Derrière la « dédiabolisation » de Marine Le Pen, le véritable danger du RN pour les LGBTI+
Marine Le Pen a réussi à faire oublier le programme et les sorties homophobes de son père. Mais derrière sa façade « gay-friendly », les positions, les votes et les soutiens du Rassemblement national représentent un vrai danger.
Aux États-Unis, le droit à l’avortement est menacé. De nombreux États en ont limité l’accès, le rendant quasiment impossible. C’est le cas au Texas, où une loi anti-avortement a récemment été adoptée.
Le Parlement français a définitivement adopté mercredi la proposition de loi pour allonger la durée légale de l’IVG de 12 à 14 semaines. Fait rare, ce texte concocté par une élue de l’opposition a été soutenue par la majorité.
Le dernier mot revient aux députés ce mercredi sur la proposition de loi visant à « renforcer le droit à l’avortement ». (Archives Lionel Le Saux/Le Télégramme)
Une dernière réforme de société et un signal envoyé aux électeurs de gauche… Les députés votent une ultime fois ce mercredi pour passer de douze à quatorze semaines le délai légal pour pratiquer une IVG. Le chemin a été semé d’embûches pour les promoteurs de cette proposition de loi.