VENTE D’ARMES : L’ÉTAT FRANÇAIS TRAQUE NOS SOURCES



Depuis mardi 19 septembre, notre journaliste Ariane Lavrilleux est privée de liberté. Les services de renseignement intérieur l’ont placée en garde à vue parce qu’elle a signé, pour Disclose, une série d’articles basés sur des informations « confidentiel-défense ». Une procédure d’exception dont le seul but est de traquer nos sources.

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Journaliste placée en garde à vue : « Ce sont des procédures destinées à intimider 



Cinq questions sur la garde à vue de la journaliste d’investigation Ariane Lavrilleux

Affaire Benalla: l’Etat condamné pour la tentative de perquisition de Mediapart

Selon les juges, cette perquisition «constituait donc une ingérence dans la liberté d’expression […] d’autant plus sérieuse qu’un risque d’atteinte au secret des sources ne peut se concevoir que dans des circonstances exceptionnelles». (Lionel Bonaventure/AFP)


En janvier 2019, le site avait publié des extraits d’une conversation entre l’ex-chargé de mission de l’Élysée et l’ancien employé de la République en marche Vincent Crase après leur mise en examen dans l’affaire des violences du 1er mai 2018 et en violation de leur contrôle judiciaire.

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