“joie et soulagement” après la libération d’Olivier Dubois


Après près de deux ans de mobilisation pour obtenir sa libération, RSF se réjouit de la libération du journaliste français Olivier Dubois, détenu pendant 711 jours par un groupe armé affilié à Al-Qaïda au Sahel.

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Arrestation d’un journaliste qui couvrait la vague d’empoisonnements des écolières iraniennes


Les autorités iraniennes ont arrêté Ali Pourtabatabaei, l’un des premiers journalistes à avoir couvert la mystérieuse vague d’empoisonnements des écolières iraniennes qui a débuté en novembre 2022. RSF dénonce cette arrestation et demande la libération immédiate du journaliste. 

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RSF appelle le régime iranien à cesser de cibler les journalistes à l’étranger


Alors qu’Iran International TV a fermé ses bureaux à Londres et émet désormais de Washington à la suite des menaces visant ses employés, Reporters sans frontières (RSF) dénonce le ciblage systématique de journalistes iraniens à l’étranger et appelle Téhéran à cesser immédiatement les pressions exercées sur les médias indépendants.

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« Paris Match » : une journaliste fait jouer sa clause de conscience et dénonce l’influence de Vincent Bolloré


Vivendi, le groupe de Vincent Bolloré, n’a toujours pas officiellement eu l’aval pour racheter le groupe Lagardère dont l’hebdomadaire « Paris Match » fait partie. Pour autant, une journaliste, qui a fait jouer sa clause de conscience, dénonce aujourd’hui l’influence du milliardaire au sein du magazine.

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Vingt-deux mois de captivité au Mali pour le journaliste français Olivier Dubois


22 mois jour pour jour sont passés depuis l’enlèvement d’Olivier Dubois, ce mercredi 8 février. Journaliste indépendant, notamment pour LibérationJeune Afrique ou Le Point, il était en reportage à Gao, dans le nord du Mali, lors de son enlèvement par le Jnim, le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans, dirigé par Iyad Ag Ghaly et allié d’al-Qaïda au Maghreb islamique.

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Deux ans de dictature militaire en Birmanie : la terreur contre les journalistes s’est durcie sur tous les plans


Deux ans après la prise de contrôle du pouvoir par la Tatmadaw, l’armée birmane, Reporters sans frontières (RSF) dresse un bilan chiffré accablant des atteintes contre la liberté de la presse commises par les militaires. Afin de cacher les massacres de civils et d’asseoir son autorité, la junte arrête, emprisonne, torture, voire élimine  les journalistes qui pourraient gêner son contrôle de l’information.

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D’ici et d’ailleurs



« C’est pire qu’au moment du confinement » : avec l’inflation, la précarité étudiante progresse et les associations n’arrivent plus à suivre la demande


Les soulèvements de la Terre : Darmanin peut-il dissoudre l’écologie ?


L’anniversaire du traité de l’Elysée entre Berlin et Paris aurait pu être propice à un geste fort en faveur de l’Ukraine


La France condamnée par le Comité contre la torture de l’ONU pour son refus de rapatrier des familles de Syrie


Tchad : Exigence de justice pour la répression d’octobre


Cameroun : mort d’un journaliste dans des circonstances troubles, accusations d’« assassinat » 

D’ici et d’ailleurs


La Suède ferme ses portes aux immigrés


Cédric Herrou, Philippe Simay: la solidarité au cœur


« C’est vraiment difficile d’acheter à manger » : une association met en relation des étudiants précaires et des particuliers donateurs


Brésil : RSF demande aux autorités de garantir la sécurité des journalistes lors des prochaines manifestations bolsonaristes

Détention d’Olivier Dubois: «En France, le souci des otages ne semble plus à l’ordre du jour»

Manifestation de soutien à Olivier Dubois le 8 juin 2021 à Paris. (LUCAS BARIOULET/AFP)


Spécialiste du terrorisme et auteur d’«Otages, une histoire» (Gallimard, 2020), l’historien Gilles Ferragu revient sur les particularités de la médiatisation de la détention du journaliste Olivier Dubois.

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Dernier espace médiatique libre en Algérie, le siège de Radio M a été mis sous scellés

Manifestation contre la censure, à Alger, le 15 avril 2019. RYAD KRAMDI / AFP


Ihsane El-Kadi, qui dirige le média, a été interpellé dans la nuit de vendredi à samedi, à une soixantaine de kilomètres à l’est d’Alger.

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Algérie: Reporters sans frontières appelle à la libération du fondateur de Radio M, Ihsane El Kadi

Nouveau record du nombre de journalistes emprisonnés dans le monde


Le bilan des exactions commises contre les journalistes dans le monde, publié chaque année par Reporters sans frontières (RSF), enregistre en 2022 un record de 533 journalistes en détention. Le nombre de journalistes tués dans le monde, 57, repart à la hausse. En outre, 65 journalistes sont otages et 49 portés disparus.

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LA NOUVELLE CONVOCATION DE JOURNALISTES PAR LA DGSI INQUIÈTE DES ORGANISATIONS DE DÉFENSE DES DROITS HUMAINS

Au Yémen, les Houthis exécutent leur sentence de mort à petit feu, en torturant les journalistes


Pendant 45 jours, le journaliste Tawfik al-Mansouri, détenu à Sanaa, a été torturé. Lui et deux des autres journalistes condamnés à mort en 2020 par les Houthis ont été mis à l’isolement et sévèrement maltraités durant plusieurs semaines. Reporters sans frontières (RSF) dénonce ces actes de torture et alerte le représentant spécial des Nations unies pour le Yémen, leur vie étant en réel danger.

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Affaire Shireen Abu Akleh: Al Jazeera remet à la CPI un dossier sur l’armée israélienne

Lina Abu Akleh, nièce de la journaliste d’Al Jazeera tuée par balle Shireen Abu Akleh, attend devant la CPI à La Haye, ce mardi 6 décembre 2022, après qu’Al Jazeera a présenté une lettre demandant une enquête officielle sur le meurtre. AP – Peter Dejong


La chaîne de télévision qatarie Al Jazeera a annoncé ce mardi 6 décembre qu’elle avait remis au bureau du procureur de la Cour pénale internationale (CPI) un dossier incriminant l’armée israélienne pour la mort de sa journaliste palestino-américaine Shireen Abu Akleh, tuée en mai. « Nous nous y opposons », a réagi Washington.

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La liberté d’informer attaquée


« Un journaliste de Reporterre est poursuivi pour avoir fait son métier : informer sur une action militante. Cette procédure menace tous les reporters. Médias et syndicats de journalistes se mobilisent contre cette atteinte à la liberté d’informer. » Acrimed est cosignataire de ce texte publié par Reporterre le 29 novembre 2022.

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La censure comme réponse à la presse ?

Quand le patron d’Altice vous invite… – Copie d’écran

Ce mercredi, Reflets sera devant le tribunal de Versailles tandis que Mediapart sera fixé sur son sort. Dans les deux cas, une censure préalable appliquée par des juges à la demande du même avocat.

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RSF et des dizaines d’organisations et de sociétés de journalistes condamnent la censure préalable d’une enquête de Mediapart

Gaël Perdriau, maire de Saint-Étienne


Avec au moins 13 autres organisations et associations de défense du droit à l’information et 29 sociétés de journalistes, Reporters sans frontières (RSF) dénonce une attaque flagrante contre la liberté de la presse après la censure préalable d’une enquête de Mediapart, prononcée par le tribunal judiciaire de Paris. Cette décision prise sans audience publique, ni débat contradictoire, est pour RSF un contournement dangereux de la loi du 29 juillet 1881.

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Droits de l’homme en Algérie

En Algérie, pour les militants des droits humains, l’exil ou la prison

Les militants Saïd Salhi, Aïssa Rahmoune et Salah Dabouz ont fui en France et en Belgique pour échapper à l’emprisonnement et sauver leur vie. Ils racontent ce qui les a poussés à partir alors que l’Algérie passe son Examen périodique universel au Conseil des droits de l’homme, à Genève.

Saïd Salhi chez lui en Belgique, le 8 novembre 2022.

Même lui est parti. Lui qui a été de toutes les manifs, de toutes les marches, de toutes les luttes. Lui qui prenait le micro pour dénoncer le système, les arrestations perpétuelles de militants, les tortures en prison… Saïd Salhi, emblématique vice-président de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme (LADDH) a fui son pays. « Je n’avais jamais pensé quitter l’Algérie », souffle-t-il.

Journalistes, magistrats, avocats et militants des droits humains partent ou tentent de partir. La fermeture et la répression sont telles que plus rien n’est faisable sans risquer l’arrestation, alors nous nous exilons pour parler et agir d’ailleurs. »

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Au Mali, les atteintes à la liberté de la presse se multiplient

Le président malien de transition, le colonel Assimi Goïta (à droite) lors de la fête nationale de l’armée, à Kati, au Mali, le 20 janvier 2022. FLORENT VERGNES


La Haute Autorité de la communication vient de suspendre Joliba TV News pour des « propos diffamatoires » contre la junte.

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Mali: la presse dénonce la suspension de Joliba TV et la restriction de la liberté d’expression

La page d’accueil du site de Joliba TV, chaîne malienne suspendue pour deux mois à compter du jeudi 3 novembre 2022. La page web indique « site en maintenance » depuis vendredi. © Jolibatv.com


L’inquiétude des journalistes grandit au Mali après la suspension pour deux mois de Joliba TV. La chaîne, très suivie, a été sanctionné pour un éditorial diffusé le 30 septembre et qui s’inquiétait, justement, des dangers menaçant la liberté d’expression au Mali. Plusieurs organisations de presse maliennes ont condamné cette décision.

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