Le Réseau Éducation Sans Frontières ( RESF 63 ) auquel nous participons, est intervenu auprès du Préfet pour dénoncer la politique préfectorale et demander qu’un hébergement soit proposé aux familles à la rue ce début septembre.
La Place libre écologiste et féministe est un rassemblement d’associations/collectifs féministes et écologistes, ouverte au public toute la journée samedi 10 septembre. Chaque association/collectif présentera ses activités. Venez nous (re)découvrir ! On se retrouve Place de la Comédie, juste à côté du restaurant les Grandes Tables de la Comédie à Clermont-Ferrand ! Cette initiative est indépendante de tout parti politique et organisée par des associations locales qui souhaitent rendre leurs activités visibles. Avec Osez le féminisme 63, Alternatiba – Action Non Violente 63, Nous Toutes 63, Planning Familial 63, La Doume, Tous deux roues, Par ici la résilience, AMAP Bien Assis, My Girls’ Street, Ligue Cartonera, Touch pas ma bulle, Fresque du Climat et ATTAC 63
Elections législatives : un vote essentiel pour l’avenir démocratique du pays
Communiqué LDH
Dimanche prochain, les citoyennes et les citoyens de notre pays choisiront celles et ceux dont va dépendre l’orientation des politiques dans les prochaines années.
Favorable au débat démocratique, la LDH (Ligue des droits de l’Homme) se félicite de voir que la future Assemblée sera sans doute moins monolithique que l’Assemblée sortante.
Cependant, elle constate que le premier tour de ces élections législatives a malheureusement été marqué par une abstention massive, notamment des jeunes, et l’implantation géographique de plus en plus forte d’une extrême droite en mesure de disposer d’un groupe politique à l’Assemblée nationale.
La LDH rappelle que le Rassemblement national est un parti qui ne porte pas les valeurs républicaines et qu’aucune voix ne doit donc se porter sur les deux cent candidates et candidats de ce parti qualifiés pour le second tour. Elle appelle les électrices et électeurs à se mobiliser pour faire vivre la démocratie dans notre pays.
Elle souhaite que figurent dans les priorités de la future représentation nationale la protection des libertés et la lutte contre les inégalités.
L’exercice des droits et des libertés suppose aujourd’hui la préservation des écosystèmes, car il est de plus en plus affecté, directement et indirectement, par les dégâts causés à ce que les êtres humains voient comme leur environnement. …/…
La vigueur des mobilisations sociales, notamment de jeunes générations militantes, a permis d’installer la prise de conscience de ces dangers à l’échelle internationale, faisant prévaloir les constats scientifiques face aux idées climatosceptiques. Mais cette prise de conscience se heurte à l’inaction persistante des pouvoirs publics et aux failles dans la recherche d’un intérêt général intégrant l’urgence climatique et la donne environnementale, notamment face aux intérêts privés ou publics des grandes organisations exploitant sans frein des « ressources naturelles » finies, causant des dommages irréversibles aux milieux et portant souvent par la même occasion des atteintes répétées aux droits, en particulier en matière de santé. …/…
Dans ce contexte, la LDH affirme :
que le droit à un environnement sain – individuel et collectif – est indissociable des autres droits et que seul un environnement durable, c’est-à-dire préservé ou restauré dans le temps, ouvre une perspective d’exercice de tous les droits à tous leurs bénéficiaires actuels et futurs ;
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qu’il est de la plus haute urgence de maintenir des potentialités de bien-être et de santé communes à l’ensemble du vivant, notamment contre des appropriations marchandes croissantes, dans un équilibre entre l’humanité et son environnement, l’imbrication entre l’être humain et la biosphère étant rendue d’autant plus visible par la prévalence croissante des zoonoses et leurs conséquences épidémiques, potentiellement pandémiques …/…
que la reconnaissance de la responsabilité du modèle de croissance fondé sur l’exploitation effrénée des ressources, au mépris des équilibres de la biosphère, implique d’agir pour transformer nos sociétés dans le sens d’une plus grande sobriété ;
que les forces productives et marchandes doivent être régulées sur des bases d’intérêt général intégrant l’enjeu écologique, de façon à ce que les décisions qui s’imposent en matière de préservation de l’environnement aillent de pair avec l’exercice des droits économiques, sociaux et culturels de tous les êtres humains, notamment des plus fragiles …/…
La LDH s’engage en conséquence :
à prendre sa part de responsabilité en combattant directement les atteintes à l’environnement, notamment au climat et à la biodiversité ;
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à peser pour la préservation de la biosphère par toutes les instances compétentes, notamment politiques et judiciaires, du niveau local à l’échelle internationale, y compris contre les extinctions d’espèces ;
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à participer aux débats sur les atteintes aux droits résultant des liens entre exploitation de l’environnement et notamment les dominations économiques, les régimes autoritaires, le patriarcat, le racisme et l’héritage colonial ;
à inscrire pleinement son action en la matière dans l’indivisibilité et l’universalité des droits qui fondent son engagement.
Rassemblement en hommage à la journaliste palestinienne assassinée ce 11 mai
La LDH est intervenue lors du rassemblement du 17 mai en hommage à la journaliste palestinienne Shireen Abu Akleh assassinée par l’armée israélienne à Jénine.
Ce rassemblement était organisé devant les facs de lettre et de droit à Clermont-Ferrand par l’ AFPS 63 ( Association France Palestine Solidarité ) :