La LDH communique



L’AVORTEMENT : LIBRE ET GRATUIT ? DÉFENDRE ET GARANTIR UN DROIT FONDAMENTAL

 

EN STIGMATISANT LES CONSOMMATEURS ET CONSOMMATRICES, LE MINISTRE DE L’INTÉRIEUR TENTE DE CACHER L’ÉCHEC DE SA POLITIQUE DES DROGUES


POUR UN ACCÈS À INTERNET EN PRISON : UNE MOBILISATION PLUS NÉCESSAIRE QUE JAMAIS


LA LOI SUR L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE DOIT PROTÉGER L’ETAT DE DROIT

«Empêcher les détenus d’avoir Internet est un frein majeur à leur réinsertion»

A la prison de Villefranche-sur-Saône, en 2021. (Olivier Chassignol/AFP)


Plus de 600 personnes ont réclamé mercredi dans une lettre ouverte à la Première ministre la mise en place d’un accès à Internet dans les prisons françaises, pour faciliter la réinsertion des détenus et réduire la «fracture numérique».

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Régulation européenne des plateformes numériques : de grâce, encore un effort pour protéger le droit à l’information !


Le projet européen de législation sur les services numériques est entré dans la dernière phase de discussion entre les institutions européennes. Reporters sans frontières (RSF) appelle les négociateurs à s’entendre sur un texte ambitieux, à même de garantir, autant qu’il est encore possible, le droit à l’information des citoyens.

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Les brèves de Jean

L’actu à travers la loupe de Jean Camus


Aux États -Unis, la réforme de la législation d’Internet est lancée: le Safe Tech Act


L’impunité dont jouissent les plates-formes  numériques à la suite de l’attaque du Capitole (largement coordonnée par Facebook) a fait réagir les démocrates.

71 % des Américains sont favorables à cette réforme.

Le projet ne vise pas un article particulier de la « section 230 » (la décence dans les communications, pas de poursuite pénale), il propose d’augmenter les cas où l’immunité serait levée. En 2018 déjà,  le congrès avait éliminé l’immunité des plates-formes dans le cas de trafic sexuel et de pornographie infantile.


Si cette proposition voit le jour, les plates-formes ne seraient plus à l’abri de poursuites. Acte  fort. Les Rohingyas de Birmanie pourraient par exemple porter plainte aux USA  contre Facebook  qui a reconnu en 2018 s’être laissé instrumentaliser dans le génocide.

« Chacun a le droit de dire ce qu’il veut, mais cela ne veut pas dire qu’il y a un droit à ce  que la parole soit répercutée à 2 milliards d’individus. La parole et l’amplification sont deux choses séparées ».

Clivage droite gauche, démocrates républicains, plutôt passé futur ?

« Les enjeux sont plus grands,  la coalition [des réformateurs] est plus large et la question est devenue encore plus centrale dans nos sociétés ».

En France et en Europe le sujet est largement débattu, notamment l’aspect financier, mais d’autres voix s’élèvent pour demander une réflexion sur les impacts nocifs.