« La précarité vécue en France ajoute un traumatisme aux migrantes victimes de violence durant leur parcours »

Une migrante originaire d’Afrique de l’Ouest ayant témoigné de sa mutilation sexuelle auprès d’InfoMigrants. Crédit : DR (Archive)


D’après les professionnels du Centre Primo Levi, les services sociaux ne sont pas assurés à l’arrivée en France des migrantes victimes de violences sexuelles durant la route de l’exil. Ce défaut de prise en charge aggrave leurs traumatismes. Parallèlement, le système d’asile français peine à prendre en compte ce qu’elles ont subi durant leur parcours migratoire.

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