Les abandons d’enfants ont fortement augmenté ces deux dernières années en Afrique du Sud. Pandémie et crise économique ont malheureusement accentué ce phénomène.
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PEGASUS, RÉVÉLATIONS SUR UN SYSTÈME MONDIAL DE SURVEILLANCE
Discriminations : les Français n’ont jamais été aussi nombreux à revendiquer leur tolérance, selon un rapport
Hanouna, « TPMP » et les médias
Mohamed, « passé à tabac » par des gardiens de prison
El Salvador : Les personnes transgenres privées de l’égalité des droits
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Grand Paris Express : «Les accidents du travail sont invisibilisés»
La société française Eutelsat doit cesser de collaborer avec la machine de propagande de guerre russe
Égalité femmes-hommes: et maintenant, agir
Sauvons l’édition indépendante et engagée !
Des associations luttant contre l’homophobie déposent plainte contre la ministre Caroline Cayeux après ses propos sur le mariage pour tous, « un dessein qui va contre la “nature” »
Afghanistan : Les filles durement touchées par l’interdiction de suivre des études secondaires
Afghanistan : des fillettes vendues pour survivre
Chine : cinq ans après la mort de Liu Xiaobo, au moins 15 défenseurs de la liberté de la presse en danger de mort dans les geôles chinoises
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Santé : l’Anses alerte sur des substances chimiques dangereuses dans des fournitures scolaires
Bélarus : RSF est choquée par les méthodes humiliantes utilisées contre les journalistes
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La rédaction de « Paris Match » dénonce sa « une » sur un cardinal ultra-conservateur
Frédéric Boccaletti, le député voyou du Rassemblement National
Covid-19 : 62% des 18-24 ans disent avoir eu des pensées suicidaires depuis septembre 2021, selon une étude
Selon l’ONU, 71 millions de personnes sont tombées dans la pauvreté à cause de la flambée des prix
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« Je vis sous le seuil de pauvreté »
TÉMOIGNAGES. Droit à l’avortement : « J’ai avorté en 1969 sur une table de cuisine, curetage a vif… »
« N’importe qui peut être arrêté » : à Hong Kong, la Chine a réduit la société civile au silence
France : les fantômes de l’Algérie française s’invitent à l’Assemblée nationale
Interdiction de l’IVG aux États-Unis : des Américaines vont avorter au Mexique
Égypte : ces présentateurs à la solde du pouvoir qui mènent campagne contre les journalistes
Yaël Braun-Pivet : la fossoyeuse de la commission Benalla au perchoir de l’Assemblée nationale
16 organisations alertent la Défenseure des droits sur la « chasse » aux personnes sans-abri
L’écrivain public aide illettrés et précaires à faire face au charabia administratif

Les personnes analphabètes sont souvent étrangères et précaires. Donc souvent confrontées à l’administration : demandes de minimas sociaux, logements, titres de séjour, maladies… À Saint-Denis, des écrivains publics bénévoles leur viennent en aide.
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Pouvoir d’achat : « Je gagne 1500 euros et je viens au Secours populaire », ces familles « dépitées » par la hausse des prix
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Face à la flambée des prix des produits de la vie quotidienne, de plus en plus de familles se tournent vers des associations pour s’en sortir. Illustration dans un local du Secours populaire à Colomiers, près de Toulouse.
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« Je stresse pour les acquis sociaux » : cinq manifestants nous racontent pourquoi ils ont défilé pour le 1er-Mai à Paris
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Résignées, inquiètes ou en colère, plus de 20 000 personnes ont défilé dimanche après-midi à Paris, dont certaines pour la première fois. Franceinfo leur donne la parole.
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Pouvoir d’achat : ces Français qui cumulent plusieurs emplois afin de boucler les fins de mois

Jeudi 24 mars, les retraités étaient dans la rue afin de réclamer une augmentation de leur pension. Certains ne s’en sortent plus et sont obligés de reprendre un travail, tout comme des salariés qui sont contraints de cumuler plusieurs emplois.
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Pour assister l’éducation, la précarité n’est plus tolérable

« Il est nécessaire que la place des AED aux côtés des équipes éducatives soit enfin pérennisée et reconnue d’égal à égal. En janvier 2022, un premier pas a été franchi au Parlement. Ne manque plus désormais que le décret, qui tarde à arriver. »
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Au moins dix milliards d’euros d’aides sociales ne seraient pas réclamés chaque année en France

De nombreux Français ne réclament pas les aides sociales auxquelles ils ont pourtant droit.
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Les fumées toxiques, un poison de plus dans l’enfer que vivent les migrants

Pour affronter le froid, les demandeurs d’asile et sans-papiers allument dans leurs camps de misère des feux de fortune. Ceux-ci dégagent des fumées toxiques créant de fréquentes maladies.
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Week-end de collecte pour les banques alimentaires, soumises à une demande en hausse
Au troisième trimestre 2021, le nombre de bénéficiaires a bondi de 12 %, dont plus d’étudiants précarisés.
Les stocks sont au plus bas et les 79 banques alimentaires, sorte de grossistes qui approvisionnent plus de 6 000 associations d’aide locales, comptent sur les trois jours de collecte organisés des 26 au 28 novembre pour regarnir les rayons. Comme à chaque début d’hiver, elles sollicitent les clients de 9 000 supermarchés pour qu’ils achètent et donnent des denrées.
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En Ile-de-France, les campements ont disparu, pas les migrants

José a beau tenir sa main pour l’empêcher de trembler, il peine à masquer sa nervosité. Depuis un mois, il a un toit. Mais dans le squat de banlieue parisienne qu’il partage avec 250 autres migrants africains, il parvient tout juste à « ne pas devenir fou ».
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Les Restos du cœur lancent leur 37e campagne d’hiver, marquée par « l’aggravation de la précarité »

Selon Patrice Douret, le président de l’association d’aide alimentaire, plus que de fabriquer de « nouveaux pauvres », l’épidémie de Covid-19 a surtout touché ceux qui étaient déjà fragilisés.
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A Madagascar, un million de victimes de la première famine climatique
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Dans le sud de l’île, où plus de neuf personnes sur dix vit sous le seuil de pauvreté, une sécheresse historique, aggravée par la crise climatique mondiale, fait des ravages. Amnesty International tire la sonnette d’alarme.
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Les accompagnants d’élèves en situation de handicap en grève : « C’est un superbe métier mais on est mal considérés »
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Ils réclament des hausses de salaire et un vrai statut de fonctionnaire.
Les accompagnants d’élèves en situation de handicap (AESH), chargés d’assister en classe les enfants handicapés, sont en grève ce mardi 19 octobre, à l’appel de l’intersyndicale. Ils dénoncent la précarité de leurs conditions de travail et réclament des hausses de salaire et un vrai statut de fonctionnaire.
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Afghanistan: à Kaboul, le marché aux puces surgi du désespoir
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Dans la capitale, bon nombre d’habitants vendent leurs biens les plus essentiels pour se nourrir, un stigmate qui témoigne du drame humain et économique vécu en Afghanistan.
S’il est un endroit où se font sentir les dégâts économiques causés par la montée au pouvoir des talibans , c’est bien le marché de l’occasion qui a vu le jour à côté du pont Khishti dans le quartier Chaman-e Hozori de Kaboul. On y trouve des ustensiles de cuisine, des fers à repasser, de vieilles télévisions et surtout des tapis ; de nombreux tapis et grands coussins qui sont des articles essentiels dans toute maison afghane, où il est courant de s’asseoir par terre. Le fait que de nombreuses familles soient obligées de mettre leurs biens en vente de cette manière souligne la grave crise humaine à laquelle l’Afghanistan est confronté .
PLUS D’INFORMATIONS
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Assis sur un grand tapis rouge et bleu, Ahmad Khalid attend un acheteur. « Je vends le tapis et les coussins parce que depuis la chute du gouvernement précédent, je n’ai pas reçu mon salaire et chez nous, nous n’avons pas de nourriture », dit-il en baissant les yeux. Sa famille ne fait pas partie des milliers d’échappés des combats entre les talibans et les forces de sécurité qui se sont réfugiés dans les parcs de la capitale . Il y a un mois et demi, Khalid, 20 ans, était dans l’armée. Son salaire et la retraite de son père, ancien militaire, faisaient vivre toute la famille. Il est l’aîné de neuf frères et sœurs. Ils vivaient sans excès, mais sans besoins.
« Lorsque les talibans sont entrés à Kaboul, tout le monde dans la caserne est rentré chez lui », explique-t-il. Deux semaines plus tard, la famille n’avait plus de revenus et l’argent commençait à manquer. « Chaque jour, je vends quelque chose et avec ce que j’obtiens, j’achète de la nourriture », dit-il. Il espère aujourd’hui toucher 3 000 Afghans (environ 30 euros) pour le tapis qui lui a coûté le double. « Je travaillerais n’importe quoi, mais il n’y a pas de travail », ajoute-t-il avec résignation.
Environ 30 % de la main-d’œuvre afghane travaillait dans le secteur public et le principal employeur était les forces de sécurité (armée, police et services de renseignement). L’interruption de l’aide internationale a laissé l’État sans ressources pour faire face aux salaires et autres dépenses courantes. 40 % de leurs revenus provenaient de donateurs. Le secteur privé est très faible et la plupart des emplois sont informels et à faible productivité, principalement dans l’agriculture.
Le marché aux puces de Chaman-e Hozori a vu le jour au cours des trois dernières semaines, sur une terre aride à côté de la rivière Kaboul. C’est un bazar informel où particuliers et brocantes posent leurs étals. Certains juste un chiffon sur le sol ou un petit tabouret. D’autres, plus professionnels, installent des comptoirs de fortune sur des tréteaux. Il y a ceux qui classent les produits et ceux qui les proposent dans un méli-mélo.
ANGÈLE ESPINOSA Kabul (Enviada Especial, EL PAIS) – 15 SEPT 2021 – 05:44 CEST
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