Le risque d’embrasement au Proche-Orient


« Depuis l’attaque inédite, dans la nuit de samedi à dimanche, de l’Iran contre Israël, en riposte au bombardement du consulat iranien à Damas, le Hezbollah intensifie la bataille sur le front sud ». C’est ce que relève L’Orient Le Jour à Beyrouth. « Ainsi, poursuit le journal, aux côtés des opérations routinières qu’elle mène depuis le 8 octobre, la milice chiite lance désormais des opérations plus qualitatives. Certaines consistent à miner la région frontalière […]. D’autres reposent sur les drones d’attaque, de plus en utilisés par la formation pro-iranienne. »

En tout cas, multiplier les fronts serait une grave erreur pour Israël, prévient Haaretz.



Six mois de tragédie pour les enfants


Les images et les récits sont sans équivoque. Les enfants sont les premières victimes de ce conflit. Et pour les survivants, une vie bouleversée à jamais. Ils sont confrontés à la violence la plus extrême, à des scènes d’horreurs, à la perte de leurs proches. Des états de traumatismes profonds qui affectent leur développement et leur avenir.

Plus de 180 jours après l’escalade des hostilités, la bande de Gaza est sans aucun doute un des endroits les plus dangereux au monde pour un enfant.



La pétition est toujours en ligne

Plus de 1100 signatures avaient déjà été collectées le 13 avril par les membres du Collectif de l’Aube pour une paix juste et durable.

Vous pourrez également encore la signer lors du rassemblement du 27 avril et le 1er Mai.