Les livreurs à vélo : un état de santé en danger



Le César du meilleur espoir est attribué à la régularisation des coursiers sans papiers.

Autoentrepreneurs hors normes, ils cravachent pour les grandes plateformes de livraison, telles qu’Uber Eat, Deliveroo, etc. Toujours hommes, âgés de 28 ans en moyenne, venant dans 90% des cas de l’étranger, très souvent en situation irrégulière, ils sont nombreux à sous-louer le compte d’une personne en règle sur le territoire et à verser en contrepartie près de 800 euros par mois. Pour survivre et servir, ils se mettent en selle 6 jours par semaine, 9 à 10 heures par jour, avec un sentiment d’excitation et d’amertume, faisant preuve d’un courage exemplaire et d’une ténacité aveugle.

Les livreurs à vélo en France obtiennent un revenu minimal horaire


Qualifiés « d’historiques » par la Fédération nationale des autoentrepreneurs, les accords signés, jeudi 20 avril, visent à protéger les livreurs indépendants à deux roues des grandes plateformes de livraison.

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Le business des sous-locations de comptes Stuart, UberEats et Deliveroo


Pour travailler, des centaines de sans-papiers sous-louent à prix d’or des comptes UberEats ou Deliveroo. Enquête sur ces forçats de la route, qui pédalent jour et nuit pour gagner de quoi tout juste se nourrir.

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France

Deliveroo à nouveau condamné pour travail dissimulé


Maître-chanteur, agents de renseignement, écoutes téléphoniques : les secrets de « l’opération LVMH »

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