Il y a 50 ans


Les 343 signataires du Manifeste dans le Nouvel Observateur du 5 avril 1971

Le 5 avril 1971, en déclarant « Je me suis fait avorter » en une du « Nouvel Observateur », célébrités et anonymes défient la loi. Parmi les audacieuses, Delphine Seyrig, Catherine Deneuve, Françoise Fabian, Marguerite Duras, Jeanne Moreau, Françoise Sagan, Gisèle Halimi… Comment une bande de pétroleuses, avec leur marraine Simone de Beauvoir, ont-elles accompli cet acte fondateur pour le droit d’accès à l’IVG ?

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Le gouvernement renouvelle l’agrément d’Anticor après six mois de suspense


Elise Van Beneden, la fondatrice d’Anticor, à son domicile d’Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), le 4 mars. EDOUARD JACQUINET POUR M LE MAGAZINE DU MONDE


L’association anticorruption pourra continuer à intenter des actions en justice. Le renouvellement n’allait pas de soi, en raison de plusieurs polémiques.


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Myanmar : Des centaines de personnes disparues de force

© 2021 AP Photo


Il faut fournir des informations sur les figures politiques, les activistes et les autres personnes confrontées au risque de torture ou de décès. La junte militaire du Myanmar a fait disparaître de force des centaines de personnes depuis le coup d’État du 1er février 2021, a déclaré Human Rights Watch hier. 

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Les oeufs de Pâques ont un goût amer pour les paysans du cacao


En Côte d’Ivoire, les gros acheteurs ont obtenu une baisse de 25% du prix minimum garanti aux producteurs de cacao alors que le pays avait annoncé depuis plusieurs mois vouloir l’augmenter. Pourtant, la rémunération des petits producteurs est la clé pour rendre le cacao plus durable.


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Cédric Herrou, enfin la relaxe définitive !

Le HCR appelle les pays voisins du Myanmar à protéger les personnes fuyant les violences


Des pneus sont brûlés dans les rues à Mandalay au Myanmar, alors que les manifestations se poursuivent contre le coup d’Etat. 27 mars 2021.  © REUTERS


Le HCR, l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés, est horrifié par l’escalade de la violence au Myanmar, les souffrances humaines et le déplacement qui en rés
ultent.


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Communiqués


LA COMMISSION EUROPÉENNE DOIT INTERDIRE LES PRATIQUES DE SURVEILLANCE DE MASSE BIOMÉTRIQUE

Lettre ouverte de 51 organisations, dont la LDH, adressée au commissaire européen Didier Reynders.

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Sécurité globale : le nouvel article 24 de la proposition de loi « est encore plus grave » que le précédent, dénonce l’avocat Arié Alimi

« On va avoir en même temps dans le droit trois délits qui sanctionnent très exactement le même comportement, ça commence à ressembler à vraiment du n’importe quoi », se fâche l’avocat et membre de la Ligue des droits de l’Homme.

« L’article 24 de la proposition de loi sécurité globale vient d’être réécrit par les parlementaires pour créer un nouveau délit de « provocation à l’identification dans le but manifeste de porter atteinte à l’intégrité physique ou psychique des policiers, des gendarmes ou des agents des douanes », qui sera puni de cinq ans d’emprisonnement.

Pour Arié Alimi, cette formulation « ne veut pas dire grand-chose juridiquement et va donner lieu à un certain nombre de problèmes d’interprétation ». Il annonce qu’une saisine du Conseil constitutionnel « est en cours de préparation ».

L’ancien article 24 prévu par l’Assemblée nationale ne parlait que de l’image du fonctionnaire de police ou du gendarme. Là en l’occurrence l’identification ça peut être n’importe quoi. Ça peut être un élément d’adresse, ça peut être le nom, ça peut être le visage, donc c’est encore beaucoup plus large. Et c’est réprimé encore plus lourdement que le précédent article.

La notion de « but manifeste à porter atteinte à l’intégrité physique » est floue… On verra avec les tribunaux, si ce texte passe le seuil du Conseil constitutionnel parce qu’une saisine est en cours de préparation.

Et puis surtout, il y a une autre problématique c’est que la provocation à la commission d’un délit est déjà prévue par la loi de 1881. Une autre provocation à l’identification de tout fonctionnaire est en préparation dans la loi séparatismes. On va avoir en même temps dans le droit trois délits qui sanctionnent très exactement le même comportement. 

En voulant protéger les fonctionnaires de police, finalement on crée une multitude de textes. Le procureur de la République, quand il va vouloir saisir un tribunal et poursuivre quelqu’un pour un comportement, va être complètement perdu. Ça va créer des problématiques de jurisprudence. Alors qu’on cherche une simplification du droit, on est dans une complexification du droit, et je doute que cela puisse entraîner une protection des fonctionnaires de police. Avec une telle rédaction, je dois vous avouer que moi-même, je ne comprends pas l’article.Il y a un véritable problème de sécurité juridique parce que normalement c’est un article qui va permettre de renvoyer quelqu’un devant un tribunal parce qu’il aura permis éventuellement l’identification d’un fonctionnaire de police. Encore faut-il que cette personne comprenne pourquoi elle va être renvoyée devant le tribunal, pour éviter justement d’avoir à commettre le comportement qui est sanctionné pénalement.

Ce texte autorise également l’utilisation des drones… Jusqu’à maintenant, les drones sont illégaux. Le Conseil d’État l’a dit par deux fois et il a même dû le rappeler au préfet Lallement en lui disant qu’il n’avait pas le droit d’utiliser des drones sans garanties fondamentales. Aujourd’hui, avec cette loi, on instaure un système de drones. Mais évidemment ça pose problème parce qu’avec ces drones qui vont nous survoler, on instaure une société de surveillance généralisée où l’on va pouvoir déterminer, pour chaque personne, où il est, qui il est.. Alors certes, apparemment, il y aurait eu quelques restrictions qui ont été apportées au texte par les sénateurs pour apporter quelques garanties fondamentales, et notamment les lieux où les drones vont pouvoir être utilisés. Je demande à voir le texte, on attend encore la version définitive de la commission mixte paritaire. Il faudra surtout déterminer si la reconnaissance faciale automatisée à un moment ou à un autre ne pourra pas être utilisée pour ces images. »

70 personnes enfermées à Roissy : bientôt un cluster dans la zone d’attente ?

Communiqué de l’Observatoire de l’enfermement des étrangers (OEE) dont la LDH est membre

Aujourd’hui, 70 personnes (dont 12 enfants et 46 demandeurs d’asile) sont enfermées dans la zone d’attente de l’aéroport de Roissy dans des conditions sanitaires inquiétantes, largement en-deçà des standards minimums exigés dans le cadre de la lutte contre la crise sanitaire liée au covid-19.

C’est la première fois, depuis le début de la crise sanitaire, qu’autant de personnes sont enfermées en même temps dans la zone d’attente de Roissy (la plus grande de France). Depuis le début de la semaine, leur nombre a largement augmenté, atteignant jusqu’à 85 personnes hier, 30 mars 2021. 

Les conditions dans lesquelles elles sont enfermées sont préoccupantes d’un point de vue sanitaire. En effet, les locaux de la zone d’attente ne sont pas aérés. Le gel hydroalcoolique n’est pas en accès libre. Les chambres, en principe individuelles, sont parfois partagées faute de place, ce qui rend la nécessaire distanciation impossible.

Jonathan, demandeur d’asile sri-lankais, est obligé de partager sa chambre depuis 9 jours avec une autre personne car il y a plus de personnes en zone d’attente que de chambres disponibles.

Aucune désinfection, notamment des téléphones et des couloirs exigus, n’est – a priori – mise en œuvre alors que ceux-ci sont très largement utilisés par les personnes enfermées. Certaines personnes portent le masque avec lequel elles ont voyagé pendant plusieurs jours.

Gisèle, reconnue réfugiée en Grèce, est arrivée à Roissy il y a 3 jours. Ce n’est qu’hier qu’elle a pu changer son masque, ignorant qu’elle avait la possibilité de s’en procurer avant.  

Il semble que les autorités fassent fi des règles qui permettent de protéger les personnes en dehors de la zone d’attente. Apparemment ces règles ne s’appliquent pas en zone d’attente, alors que des personnes qui ont été testées positives ont pu y être enfermées.

Après deux jours en zone d’attente, et afin de le renvoyer vers le Burkina-Faso, Ali, résident italien, a été soumis à un test PCR. En raison d’un résultat positif, il est admis sur le territoire et isolé chez son frère. Les autres personnes maintenues en zone d’attente en même temps que lui n’ont pas été testées.

Depuis le début de la pandémie du covid-19, l’Observatoire de l’enfermement des étrangers suit l’évolution de la situation juridique et sanitaire des personnes bloquées aux frontières et notamment à l’aéroport de Roissy, dénonce les conditions dans lesquelles les personnes sont enfermées sans respect des conditions sanitaires, milite auprès des autorités pour la fermeture de ces lieux où les conditions sanitaires ne peuvent être respectées et alerte les instances de protection des droits humains.

L’Observatoire de l’enfermement des étrangers s’indigne donc à nouveau du traitement réservé aux personnes étrangères dans les zones d’attente par le ministère de l’intérieur qui privilégie le contrôle, l’enfermement et le renvoi, au détriment de leur santé, et de la protection de toutes et tous contre le covid-19.

Cette situation rappelle que la seule solution est la fin de l’enfermement des personnes.

Organisations signataires : ACAT-France, Avocats pour la défense des droits des étrangers, Anafé, Comede, Droits d’urgence, Fasti, Genepi, Gisti, La Cimade, Le Paria, Ligue des droits de l’Homme, MRAP, Observatoire Citoyen du CRA de Palaiseau, réseau de visiteurs et l’observatoire citoyen du CRA de Oissel, Syndicat des avocats de France, Syndicat de la magistrature.

Paris, le 31 mars 2021

Lettre ouverte du Collectif Alerte, dont la LDH est membre, adressée à Olivier Véran, ministre des Solidarités et de la Santé

Monsieur le Ministre des Solidarités et de la Santé,

Alors que la crise sanitaire qui touche notre pays ne faiblit pas, les associations de lutte contre la pauvreté et l’exclusion réunies au sein du Collectif ALERTE souhaitent vous saisir concernant leur étonnement et formuler une proposition quant à la conduite du plan de soutien exceptionnel en direction des associations de lutte contre la pauvreté.

Annoncé dans le cadre de « France Relance » en juillet dernier, cette enveloppe de 100 millions d’euros devait servir à financer des projets portés par des associations aux niveaux national et régional contribuant à la lutte contre la pauvreté. A cette date et jusqu’aujourd’hui, les financements devaient se ventiler en deux appels à projets engageant 50 millions d’euros chacun, l’un pour 2020‐2021, l’autre pour 2021‐2022. Nous avons salué ces annonces, et nos membres ont été nombreux à se mobiliser pour répondre au premier appel à projets, et sont encore nombreux à préparer une réponse au second. Toutefois, nous avons eu la surprise d’apprendre lors de différents échanges avec notamment la Direction Générale de la Cohésion Sociale qu’au vu du nombre et de la qualité des candidatures déposées lors de la première vague d’appels à projets, ces modalités étaient susceptibles d’avoir changé : l’ensemble des 100 millions d’euros seraient dépensés dès la première vague, ne laissant pas de place à une seconde vague d’appel à projets.

Les membres du Collectif estimeraient regrettable que les règles changent ainsi en cours de route, pénalisant de nombreuses associations, tant nationales que régionales, qui ont prévu de répondre lors de la deuxième vague d’appels à projets. Cela serait d’autant plus dommageable que les délais annoncés pour la première vague de réponse étaient très contraints (présentation du cahier des charges au niveau national le 24 novembre 2020 pour une date limite de dépôt au 15 janvier 2021), et ont donc empêché de nombreux acteurs de construire des projets ambitieux, à la hauteur des besoins et de l’exigence nécessaire pour lutter contre la pauvreté. Nous souhaitons donc vous alerter sur le risque de très forte déception d’acteurs qui verraient subitement disparaître l’opportunité de financer des projets sur lesquels ils travaillent depuis des mois.

Le succès du premier appel à projets et cette mobilisation pour un second démontrent par ailleurs l’ampleur des situations et des risques de grande pauvreté, dans cette période de crise violente et à l’issue incertaine ; ils démontrent aussi la capacité des acteurs associatifs à construire rapidement des solutions innovantes et qualitatives. Le gouvernement a su revaloriser ses engagements budgétaires au fil de la crise, y compris depuis l’annonce du plan de relance. Au vu de ces éléments, nous considérons que le Gouvernement a une opportunité non seulement d’éviter la déception du secteur associatif mais aussi, surtout, de renforcer l’impact de son action contre la pauvreté, en augmentant son soutien aux associations dans leurs actions de lutte contre la pauvreté et en s’appuyant sur leur force de proposition.

C’est pourquoi, le Collectif ALERTE demande au Gouvernement d’ouvrir des crédits supplémentaires aux 100 millions annoncés pour financer un grand nombre de projets retenus dans le cadre de la première vague, tout en lançant comme prévu un deuxième appel à projet dans le courant du deuxième semestre de l’année 2021.

Nous restons à votre disposition pour travailler ensemble à construire des réponses adaptées dans ce combat contre la précarité des personnes.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Ministre des Solidarités et de la Santé, l’assurance de notre haute considération.

Paris, le 30 mars 2021

Signataires :

Christophe Devys, Président du Collectif ALERTE

Marie-Aleth Grard, Présidente d’ATD Quart Monde

Annick Berthier, Présidente d’Emmaüs France

Pascal Brice, Président de la Fédération des Acteurs de la Solidarité

Thierry le Roy, Président de France Terre d’Asile

Bernard Devert, Président d’Habitat et Humanisme

Malik Salemkour, Président de la Ligue des droits de l’Homme

Alain Villez, Président des Petits Frères des Pauvres

Véronique Fayet, Présidente du Secours Catholique

Patrick Doutreligne, Président de l’Uniopss

Télécharger la lettre ouverte en pdf.

Le Collectif Alerte : 35 fédérations et associations nationales de lutte contre la pauvreté et l’exclusion membres de la Commission lutte contre la pauvreté de l’Uniopss et des collectifs inter-associatifs locaux présents dans 10 régions (Uriopss)

Association Aurore-Foyer Aubois: « accompagner les personnes dont la vie, la dignité, la santé et les droits sont mis à mal par une situation d’exclusion ».

Dans l’Aube, le Foyer Aubois est une véritable institution du secteur associatif.

Depuis 2015, le Foyer Aubois a rejoint l’association Aurore, alliant actions d’hébergement, de soin et d’insertion, avec la même mission : la lutte contre l’exclusion.

Il comprend plusieurs services, axés sur l’hébergement, le soin et/ou l’insertion.

https://www.aurore.asso.fr/pole-accueils-sante-precarite/le-foyer-aubois-rejoint-aurore

Tous répondent à une seule et même logique : « accompagner les personnes dont la vie, la dignité, la santé et les droits sont mis à mal par une situation d’exclusion ».

https://aurore.asso.fr/

Les fondamentaux:
Tout d’abord, la dynamique associative et engagée, qui constitue un véritable creuset où se forge la solidarité de proximité.

Ensuite, la volonté forte d’associer étroitement les personnes accueillies, de les faire participer activement à leur accompagnement, en tant que citoyens, responsables. La prise en considération et la mise en valeur, également, de leur potentiel.

La mobilisation de publics variés, aussi, permettant de susciter des partenariats au sens large. L’inclusion de toutes les personnalités, tous les talents, toutes les énergies dans des projets communs pour freiner la machine à exclusion. Personnes accompagnées, salariés, bénévoles, partenaires, voisins, décideurs, médias, collectivités, artistes, lycéens, associations, sportifs… les talents locaux sont sollicités pour que circule toujours plus d’humanité, de savoir-faire et d’intelligence collective.

L’éco-solidarité, enfin. Attentif à l’impact de leurs actions sur l’environnement naturel et humain, chacun, à son niveau, est solidaire à ce principe en termes de ressources matérielles, humaines, techniques, culturelles, relationnelles.

Ainsi, le Foyer Aubois s’emploie à

Collecter

Des objets issus de dons sont collectés dans des lieux prévus à cet effet ou récupérés directement chez les donateurs. 

Valoriser

Les objets collectés sont ensuite réceptionnés dans les ateliers où ils sont triés, testés et réparés en fonction de leur état. Des encadrants techniques aux salariés en insertion professionnelle tout en passant par les bénévoles, chacun fait le maximum pour donner une seconde vie à ces objets.

Vendre

Vendre est l’aboutissement de cette démarche de valorisation ! Dans une démarche qui se veut solidaire et éco-responsable, les objets sont mis en vente à prix raisonnables dans des lieux qui permettent là-encore d’aider à la réinsertion de personnes en difficulté !

Et depuis peu, il est possible de retrouver la boutique en ligne Chiner Solidaire

https://aurore.asso.fr/
https://www.aurore.asso.fr/pole-accueils-sante-precarite/le-foyer-aubois-rejoint-aurore

Communiqués

Se souvenir de la Commune et de son héritage.

Pendant deux mois, la Commune a porté les valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité à travers l’émergence du droit du travail et du droit au travail, l’école laïque, gratuite pour tous, la séparation de l’église et de l’État, la défense de l’intérêt général par l’extension des services publics, la reconnaissance de la citoyenneté aux étrangers et des avancées significatives vers l’égalité salariale des femmes et des hommes.

En 72 jours, la Commune a créé la plus authentique démocratie qui ait jamais existé à travers le monde. Une démocratie avec des élus responsables et révocables, s’ils ne tiennent pas leurs engagements. Le gouvernement du peuple par le peuple, pour le peuple.

Non l’exemple de la Commune n’est pas aujourd’hui périmé.

Ce que le peuple a voulu et réalisé en 1871 ans reste d’une grande actualité.


Nous avons vu et aimé l’admirable film diffusé sur ARTE le 23 mars dernier (encore disponible sur arte.tv du 16/03/2021 au 20/05/2021). Nous sommes heureux de le partager avec vous ci-dessous.


Du soulèvement du 18 mars 1871 à la « Semaine sanglante » qui s’acheva le 28 mai 1871, Paris fit il y a 150 ans l’expérience d’une insurrection populaire et démocratique. Raphaël Meyssan nous plonge au cœur de cette révolution singulière, grâce à un étonnant dispositif esthétique, construit autour de gravures d’époque.

Forte mobilisation pour une «vraie loi climat», à la veille de l’examen au Parlement


A Paris, une manifestation à l’appel de dizaines d’associations, organisations non gouvernementales (ONG) ou syndicats s’est élancée à 14 heures de la place de l’Opéra en direction de la place de la République. CHRISTOPHE ARCHAMBAULT / AFP



L’Assemblée nationale examine à partir de lundi le projet du gouvernement issu de la convention citoyenne pour le climat, fustigé pour son « manque d’ambition ». Des dizaines de milliers de personnes ont manifesté pour que le texte soit réécrit.


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250 personnes dans la rue à Troyes pour «une vraie loi climat»


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Birmanie : nouvelles manifestations, tollé mondial au lendemain de la journée de répression la plus sanglante depuis le putsch


Malgré la répression, les manifestations se poursuivent en Birmanie. © Crédit photo : HANDOUT / AFP


Dimanche, les Birmans sont une nouvelle fois dans la rue pour réclamer le retour à la démocratie, après la journée la plus sanglante depuis le putsch.


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Communiqués

Pour une vraie loi climat

Un toit c’est un droit !

Une personne âgée sans abri à Paris, 29 mars 2020. JOËL SAGET / AFP


On dénombre près de 300000 personnes sans abri (en novembre 2020). Dans les départements reconfinés, les rassemblements prévus ce samedi 27 mars ne pourront pas se tenir dans les conditions initialement prévues.


Aussi vous invitons-nous, pour mieux comprendre le phénomène, à lire la note de PIERRE CONCIALDI (économiste à l’IRES) : LOYERS CHERS, SPÉCULATION, VACANCE DES LOGEMENTS, EXPULSIONS EN HAUSSE, AIDES EN BAISSE (publiée par le DAL)

Nuit de la solidarité à Paris : « Le Covid-19 a tout changé » pour les sans-abris



Plusieurs centaines de bénévoles ont sillonné Paris, jeudi 25 mars 2021, à la rencontre des sans-abris pour en faire un décompte précis et échanger sur leur quotidien. (©SL / actu Paris)


La quatrième édition de la Nuit de la solidarité s’est déroulée jeudi 25 mars 2021, dans tout Paris. L’occasion de dresser le bilan d’un an de pandémie pour les plus démunis.


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Toutes et tous solidaires de la Plume noire