D’ici et d’ailleurs


Narbonne : Orano embourbé


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Réfugiés ukrainiens: la Pologne va faire payer les centres d’hébergement


Ukraine : Les forces russes ont apparemment utilisé des armes à sous-munitions contre Kherson


GUERRE EN UKRAINE


SIX MOIS APRÈS L’INVASION RUSSE, LES AUTEURS DES CRIMES DOIVENT ÊTRE POURSUIVIS

Un homme et une femme sous les décombres de leur appartement, détruit à la suite d’une attaque russe contre l’Ukraine, à Kharkiv, le 13 avril 2022 / © REUTERS – Alkis Konstantinidis


L’invasion de l’Ukraine par la Russie, le 24 février 2022, est un crime d’agression au regard du droit international, qui s’est poursuivi par des violations massives des droits humains et l’exode de millions de personnes en Ukraine ou dans d’autres pays en Europe. Nous enquêtons depuis les premiers jours de la guerre sur l’ensemble des violations du droit international et mettons ainsi en évidence des crimes de guerre commis par les forces russes. Six mois après le début du conflit nous réitérons notre appel à ce que tous les responsables de crimes de guerre rendent des comptes devant la justice.

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Armes à sous-munitions : Les attaques russes font de plus en plus de victimes civiles

Des débris de dizaines de roquettes à sous-munitions russes « Smerch » et « Uragan » récupérés par les Services d’urgence de l’État ukrainien à Kharkiv en avril 2022.   © 2022 Sergey Bobok, AFP


Le rapport « Cluster Munition Monitor 2022 » documente de nouvelles utilisations et productions de ces armes interdites.

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Ukraine : Usage répété d’armes à sous-munitions russes à Mykolaïv


Des civils ont été tués et blessés lors de multiples attaques susceptibles de constituer des crimes de guerre.

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Azerbaïdjan : Recours à des armes à sous-munitions au Haut-Karabakh

Il faut mettre fin à l’utilisation de ces armes interdites, dont les stocks devraient être sécurisés et détruits.

Un magasin brûle à Stepanakert (Haut-Karabakh) dans la nuit du 3 octobre 2020, peu après un bombardement mené contre un quartier résidentiel de cette ville.  © 2020 Union of Informed Citizens


Lire ICI l’article de Human Rights Watch