Gaza : Une frappe israélienne qui a tué 106 civils était un crime de guerre apparent


Les autres gouvernements devraient suspendre les livraisons d’armes à Israël et soutenir l’enquête de la CPI.

Lire ICI


Guerre à Gaza : la polémique enfle autour des livraisons d’armes à Israël

Arié Alimi : « Le sionisme n’est pas le cœur du judaïsme »


Comment être juif et de gauche après le 7 octobre 2023 ? Comment se sentir concerné par le sort d’Israël tout en étant solidaire de la cause palestinienne ? Réponses avec l’avocat Arié Alimi, qui plaide contre l’indifférence.

Lire ICI

La FIDH rejoint le mouvement global pour la reconnaissance de l’apartheid de genre comme crime de droit international


Le 23 mars 2024, le Bureau international de la Fédération internationale pour les droits humains (FIDH) – son corps élu composé de défenseur·es des droits humains originaires de tous les continents – a adopté à la majorité une résolution alignant l’organisation au mouvement global appelant à la reconnaissance du crime d’apartheid de genre en droit international.

Lire ICI


Règles douloureuses : l’article pour créer un congé menstruel rejeté en commission à l’Assemblée nationale

Les rapports de la CPI, des outils essentiels pour soutenir la justice nationale


Des organisations non gouvernementales demandent au Procureur de la Cour pénale internationale de renforcer la communication publique de son bureau.

Lire ICI

En Guinée, le parquet demande la requalification des faits du massacre du stade en crimes contre l’humanité


Plus tôt ce mois-ci, lors du procès historique de l’ancien président guinéen et de 10 autres individus, dont des ex-ministres, accusés de responsabilité dans un massacre et des viols perpétrés dans un stade, le parquet guinéen a demandé la requalification des chefs d’accusation en crimes contre l’humanité. Le procès est actuellement suspendu jusqu’au 18 mars 2024, le temps de permettre à la défense de répondre.

Lire ICI

Des gouvernements ciblent des ressortissants vivant à l’étranger


Les meurtres, les enlèvements et d’autres abus menaçant les droits exigent une réponse politique forte de la part des autres États.

Lire ICI

Paris 2024 : que deviennent les migrants envoyés dans des sas d’accueil en région à l’approche de la compétition ?


Franceinfo a rencontré plusieurs personnes à qui a été proposé un hébergement dans l’un des dix centres créés au printemps 2023. Elles sont de nouveau à la rue aujourd’hui.

Lire ICI


Dans les Alpes, la police abuse de son pouvoir pour expulser les exilés


Protocole d’accord Italie/Albanie sur les migrations : une coopération transfrontière contraire au droit international

Rafah: «Toute la difficulté pour Israël est de faire le tri entre les civils et les combattants»


Le président américain Joe Biden réclame une pause de six semaines des combats à Gaza, alors que se tiennent ce mardi en Égypte des négociations sur une trêve militaire et la libération des otages. Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu, lui, ne renonce pas à une offensive sur Rafah, où s’entassent 1,7 million de personnes désormais menacées par une crise humanitaire majeure. Entretien avec Fabrice Balanche, maître de conférences HDR en géographie à l’Université Lyon 2 et auteur de plusieurs ouvrages sur le Moyen-Orient. 

Ecouter ICI


Guerre à Gaza: émotion mondiale après la mort «déchirante» d’une fillette et de sa famille dans les combats


« La nuit dernière, ma mère est à nouveau tombée très malade » : quelques heures à l’hôpital de Rafah


Nous sommes les branches d’un même arbre



Gaza: Israël intensifie ses frappes à Rafah, pourparlers sur une trêve


L’armée israélienne a intensifié jeudi ses frappes sur Rafah, accentuant les craintes sur le sort de plus d’un million de Palestiniens coincés dans cette ville de la bande de Gaza, sur fond de nouvelles tractations pour parvenir à une trêve entre Israël et le Hamas.

Lire ICI


Gaza: Alors que la pression monte à Rafah, l’ONU rappelle le droit concernant les «zones tampons»


Droits humains : la crise s’aggrave, les leaders mondiaux regardent ailleurs


Une « diplomatie de principes » est essentielle pour défendre le système mondial des droits humains.

Voir ci-dessus et lire ICI

Ils disent non au service militaire : « Je ne justifierai jamais ce qu’Israël fait à Gaza »


Le 26 décembre, le premier objecteur de conscience qui a refusé de faire son service militaire depuis le début de la guerre avec le Hamas a été emprisonné en Israël. Ces voix minoritaires qui refusent de participer à « l’oppression des Palestiniens », tentent de changer la donne par leur engagement politique.

Lire ICI


300 avocats appellent au respect du droit international et à la justice au Proche-Orient


MANIFESTATION »HALTE AUX MASSACRES À GAZA ET EN CISJORDANIE

 le 13 janvier 2024 à 10h30 Place Jean Jaurès.


HALTE AUX MASSACRES À GAZA ET EN CISJORDANIE !

CESSEZ-LE-FEU TOTAL ET PERMANENT, PROTECTION DU PEUPLE

PALESTINIEN !

Ce qui est en train de se passer à Gaza est un crime contre toute l’Humanité.

Les bombardements, attaques militaires par voies terrestres, aériennes et maritimes sont toujours en cours et avec toujours plus d’intensité. L’armée israélienne vise maintenant le Sud, là où des centaines de milliers de personnes ont été obligées de se réfugier. En tout, 1,9 million de personnes ont été déplacées.

C’est une guerre atroce et criminelle entreprise par l’Etat d’Israël contre la populationpalestinienne de Gaza. Les 22000 morts, dont plus de 70% de femmes et d’enfants, les 56000 blessés, les milliers de disparus, les familles anéanties, les 75 journalistes tués sont autant de vies, de personnalités, de visages dont il faut rappeler le souvenir. Nous condamnons les arrestations massives indiscriminées dans la population de Gaza, elles sont menées dans des conditions inhumaines et dégradantes.

Chaque victime israélienne comme palestinienne est à déplorer. Chaque vie compte autant qu’une autre à nos yeux.

C’est une guerre qui vise à vider Gaza de sa population par n’importe quel moyen. Les crimes commis le 7 octobre ne peuvent justifier une telle attaque contre toute une population et ses infrastructures vitales.

Des rapporteurs de l’ONU évoquent « un risque de génocide ».

Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Gutteres, a activé l’article 99 pour alerter d’une

catastrophe humanitaire « aux conséquences irréversibles pour les Palestiniens dans leurensemble et pour la paix et la sécurité dans la région ». Nous encourageons la dernière résolution du 22 décembre 2023 qui exige de toutes les parties au conflit qu’elles autorisent et facilitent l’acheminement « immédiat, sûr et sans entrave » d’une aide humanitaire à grande échelle directement à la population civile dans toute la bande de Gaza.

En Cisjordanie, sous état de siège, la population palestinienne subit les attaques conjuguées de l’armée et des colons, qui ont fait plus de 260 morts depuis le 7 octobre. Plusieurs communautés ont été chassées de leurs terres, les cultures palestiniennes sont prises pour cible. Nous dénonçons ce processus de nettoyage ethnique. Les arrestations de masse, extrêmement violentes, touchent toute la population, hommes, femmes et enfants.

Nous exigeons un cessez-le-feu total et permanent pour la Bande de Gaza, l’arrêt définitif des bombardements, des offensives terrestres et des déplacements forcés de populations.

Nous exigeons l’entrée immédiate et sans restriction de l’aide humanitaire d’urgence et la levée durable du blocus de la bande de Gaza.

Nous exigeons la libération de tous les prisonniers politiques palestiniens détenus dans les

prisons israéliennes dans des conditions inhumaines. 150 prisonniers ont été libérés pendant

la trêve. Mais depuis le 7 octobre, l’armée israélienne a procédé à plus de 3 000 arrestations en Cisjordanie occupée, y compris à Jérusalem-Est.

Nous demandons la libération des otages civils israéliens.

Nous demandons la protection de la population palestinienne de Cisjordanie y compris à

Jérusalem-Est

Nous exigeons que la France et l’Union européenne s’engagent activement et sans ambiguïté pour le cessez-le-feu, y compris par des sanctions contre l’État d’Israël et en arrêtant immédiatement toute coopération militaire et sécuritaire.

Une paix juste et durable ne sera possible que dans le cadre de la reconnaissance des droits du peuple palestinien, et notamment de son droit à l’autodétermination. Elle implique l’arrêt de la colonisation et la fin de l’occupation israélienne, ainsi que le respect de l’ensemble des

résolutions de l’ONU, y compris la résolution 194 qui prévoit le droit au retour des réfugiés.

  • Cessez-le feu total, immédiat et permanent !
  • Arrêt définitif des bombardements et des déplacements forcés de la population !
  • Levée immédiate, complète et durable du blocus de Gaza !
  • Protection du peuple palestinien à Gaza et en Cisjordanie !

À Troyes, nous appelons à une manifestation samedi 13 Janvier à 14h30 – Bourse du Travail, 54 Pl. Jean Jaurès.

Troyes, le 07 Janvier 2023

Membres du Collectif Aubois pour une Paix Juste et Durable entre Palestiniens et Israéliens signataires de l’appel :

Associations : AGUI, GREENPEACE Aube, LDH, FEDERATION DE L’AUBE DE LA LIBRE PENSEE,

MRAP

Partis politiques : GENERATION.S, PCF, POI, LFI

La famine utilisée comme arme de guerre à Gaza


Des éléments de preuve indiquent que les civils ont été délibérément privés d’accès à la nourriture et à l’eau.

Lire ICI


Halte aux massacres ! Signez la pétition en ligne

 

Cap au pire

Faudra-t-il une nouvelle guerre mondiale pour qu’il en sorte un nouvel ordre international ? Pour l’éviter, il faut d’urgence cesser de tolérer que les États, grands ou petits, puissent se délier impunément de toutes règles internationales en matière de guerre ou de droit humanitaire, quel que soit leur « camp ». Le droit international ne peut être à géométrie variable, il vaut pour tous ou il n’est rien. 

Lire ICI

Violents combats au sol à Gaza, la CPI rappelle qu’empêcher l’aide humanitaire « peut constituer un crime »


La guerre s’intensifie à Gaza où Israël multiplie les frappes et a débuté les combats au sol vendredi. Pour les civils gazaouis dont l’accès à l’aide humanitaire est limité, la situation se dégrade, au grand dam de l’ONU.

Lire ICI


Témoignages

 

Jean-François Corty, de Médecins du monde : à Gaza, «on passe peu à peu d’une prison à ciel ouvert à un charnier à ciel ouvert»


Gaza : pendant et après le blackout


« Laissez-nous entrer dans la bande de Gaza faire notre métier »



Débats et initiatives

 

POUR UN USAGE TECHNIQUE DU TERME « TERRORISME »


LOGIQUE DU GÉNOCIDE ET NÉGATION


Quand les autorités israéliennes font du révisionnisme


Les hostilités entre Israël et la Palestine affectent les droits en Europe


Israël/Gaza : cessez-le-feu immédiat pour protéger les civil·es ! 

ENTRETIEN. Trois questions à l’avocate française du Hamas : « presque tout ce qui se dit sur le Hamas est faux »


Liliane Glock est avocate depuis 1980 à Nancy en Meurthe-et-Moselle. Elle est aussi l’avocate du Hamas. Après l’attaque du 7 octobre 2023, nous lui avons posé trois questions.

Lire ICI

La France passe à côté d’une occasion de rendre la compétence universelle pleinement effective


Le projet de Loi d’orientation et de programmation de la justice 2023-2027, débattu en commission mixte paritaire, a été adopté par le Sénat et l’Assemblée nationale mercredi 11 octobre 2023. Les verrous restreignant l’application de la compétence universelle en France ont fait l’objet de débats parlementaires. Cependant, une fois encore, le législateur français, en s’alignant sur la position du gouvernement, n’a pas saisi pleinement cette opportunité pour rendre réellement effective la compétence universelle des juridictions françaises.

Lire ICI

Israël/Palestine : Lettre au Procureur de la Cour pénale internationale


13 octobre 2023

M. Karim A. A. Khan, KC
Bureau du Procureur
Cour pénale internationale
Oude Waalsdorperweg 10
2597 AK La Haye
Pays-Bas

M. le Procureur Khan,

Je vous écris pour vous demander d’émettre d’urgence une déclaration publique concernant le mandat de la Cour pénale internationale (CPI) portant sur les hostilités actuelles entre les groupes armés palestiniens et Israël, au-delà des réponses déjà apportées par votre Bureau aux questions des médias.

Nous avons connaissance de la décision du Bureau du Procureur de ne plus publier de « déclarations préventives », comme dans le passé. Néanmoins, je vous prie de prendre en compte le rôle unique que peut jouer la voix publique du Procureur de la CPI, dans le cas de cas de certaines affaires traitées par la Cour.

Les enjeux pour les civils dans les hostilités actuelles sont extrêmement élevés. Même si toute déclaration que vous feriez serait sans doute exprimée en termes généraux plutôt que spécifiques (au sujet d’incidents particuliers), il est clair que d’horribles violations du droit international humanitaire, constituant des crimes de guerre, ont déjà été perpétrées par diverses parties au conflit.

Votre déclaration pourrait servir de rappel à toutes les parties au conflit au sujet de l’enquête en cours déjà entamée par votre Bureau, de leurs obligations en vertu du droit pénal international et du droit international humanitaire, ainsi que de la compétence de la Cour en vertu de l’adhésion de la Palestine au Statut de Rome. Votre déclaration pourrait également signaler la volonté du Bureau d’élargir la portée de son enquête pour couvrir tout crime présumé relevant de cette compétence.

Au-delà de toute valeur dissuasive potentielle d’une telle déclaration, nous sommes également convaincus que la voix du Procureur de la CPI aidera à s’assurer que le soutien à la justice soit intégré et maintenu dans les réponses internationales dès cette première phase des hostilités. Cette déclaration rappellerait également à tous les gouvernements l’importance de souligner le respect du droit international humanitaire dans leurs déclarations publiques sur le conflit. Nous sommes conscients de la difficulté d’aboutir à un consensus politique en faveur d’une obligation de rendre des comptes de manière impartiale, mais aussi de l’importance d’un tel consensus afin que la Cour puisse rendre justice. Dans le passé, les déclarations publiques du Bureau du Procureur ont été efficaces pour mobiliser le soutien à ce rôle central de la CPI.

L’obligation de rendre des comptes est un élément clé de la lutte contre l’impunité qui alimente la répression et les cycles d’effusions de sang, partout dans le monde. Veiller à ce que le rôle crucial de la CPI soit reconnu enverrait un message fort non seulement aux auteurs d’abus potentiels, mais aussi, de manière importante, aux victimes et aux survivants.

Enfin, comme vous le savez, l’impunité qui perdure depuis longtemps pour les graves abus commis dans le conflit israélo-palestinien est perçue, dans de nombreux endroits du monde, comme la preuve qu’il existe deux poids, deux mesures en matière de justice internationale. Dans ce contexte aussi, nous pensons que votre Bureau a un rôle important à jouer.

Nous vous remercions de l’attention que vous voudrez bien porter à nos réflexions, et restons disponibles pour en discuter à tout moment.

Veuillez agréer, Monsieur le Procureur, l’expression de mes sentiments distingués.

Tirana Hassan
Directrice exécutive
Human Rights Watch


HRW Letter to Prosecutor Khan

Le monde laisse l’Arabie saoudite s’en tirer en toute impunité



Il y a cinq ans aujourd’hui, le célèbre journaliste saoudien et chroniqueur du Washington Post Jamal Khashoggi se rendait au consulat saoudien d’Istanbul pour obtenir les documents nécessaires à son futur mariage. 

À l’intérieur du consulat, des agents saoudiens ont assassiné M. Khashoggi et ont ensuite découpé son corps en morceaux

Lire ICI

Près de 170 migrants secourus renvoyés au Sénégal après le refus de la Mauritanie de les accueillir



Depuis le jeudi 24 août, les migrants étaient bloqués à bord d’un navire de la garde civile espagnole près des côtes mauritaniennes.

Lire ICI

Afrique de l’Ouest, la mode du putsch




Sahel : trois questions pour comprendre les enjeux du coup d’État au Niger