EN FINIR AVEC LES IDÉES FAUSSES SUR LES MIGRATIONS

60 idées fausses sur les migrations décryptées et déconstruites, pour sortir des discours qui laissent croire qu’une politique d’accueil est impossible.

A commander ICI

Communiqués

Dimanche 21 : Journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale



Le 21 mars 1960, à Sharpeville (Afrique du Sud), la police ouvre le feu et tue 69 personnes lors d’une manifestation pacifique contre les lois relatives aux laissez-passer imposées par l’apartheid.


En proclamant la Journée internationale en 1966, l’Assemblée générale de l’ONU engage la communauté internationale à redoubler d’efforts pour éliminer toutes les formes de discrimination raciale (résolution 2142 (XXI)).

En 1979, l’Assemblée générale adopte un Programme d’activités à entreprendre au cours de la seconde moitié de la Décennie de la lutte contre le racisme et la discrimination raciale (A/RES/34/24). À cette occasion, l’Assemblée générale décide qu’une semaine de solidarité avec les peuples en lutte contre le racisme et la discrimination raciale, commençant le 21 mars, sera organisée chaque année par l’ensemble des États.

En 2001, la Conférence mondiale contre le racisme produit le programme le plus autorisé et le plus complet de lutte contre le racisme, la discrimination raciale, la xénophobie et l’intolérance qui y est associée : Déclaration et Programme d’action de Durban

En septembre 2021, l’Assemblée générale des Nations Unies réunira les dirigeants du monde pour une réunion d’une journée à New York afin de marquer le vingtième anniversaire de l’adoption de la Déclaration et du Programme d’action de Durban sous le thème « Réparations, justice raciale et égalité pour Les personnes d’ascendance africaine ».


Rassemblement

Samedi 20 mars à 10h00

Place Jean Jaurès à Troyes

Demain : rassemblement contre les lois Sécurité Globale


DANS LE CADRE DU COLLECTIF STOP LOIS SECURITE GLOBALE

RASSEMBLEMENT SAMEDI 20 MARS

À 10.30

PLACE DE LA BOURSE

CORTÈGE JUSQU’À L’HÔTEL DE VILLE ET LECTURE D’UN COMMUNIQUÉ COMMUN.

CNews condamnée à 200 000 euros d’amende pour des propos d’Éric Zemmour


Éric Zemmour a déjà été condamné pour provocation à la discrimination raciale en 2011, provocation à la haine religieuse en 2018 et pour injure et provocation à la haine en 2020.
Vincent Isore/IP3


Dans l’émission “Face à l’info”, pourtant diffusée en différé, le polémiste déjà condamné à de multiples reprises avait qualifié les mineurs isolés de “violeurs” et d’“assassins”. Le CSA condamne CNews pour incitation à la haine. Le groupe de Bolloré dénonce une atteinte à la liberté d’expression.


Lire ICI

L’Affaire Dreyfus, alliés et adversaires. D’autres regards sur l’Affaire.



Après la conférence d’Alain Pagès le jeudi 11 mars, « Zola et ses amis dreyfusards » ,

JEUDI 18 MARS 2021

Conférence de Jean-Sébastien Macke, « Lectures musicales de l’affaire Dreyfus »

Ingénieur de recherches à l’Institut des Textes et des Manuscrits Modernes (ITEMCNRS), Jean-Sébastien Macke a consacré son travail de thèse à la mise en valeur d’Alfred Bruneau, compositeur ami proche de Zola, dont l’œuvre comporte des adaptations de romans de Zola pour la scène lyrique.

Dans sa conférence intitulée « Lectures musicales de l’affaire Dreyfus », il propose de réfléchir à l’implication des musiciens dans l’Affaire, tant dans leur engagement effectif que dans leur œuvre musicale. Il s’attachera à souligner combien la fracture de l’Affaire est déjà bien lisible dans le monde musical de l’après 1870.


A venir:

JEUDI 8 AVRIL 2021

Conférence de Marie Aynié, « Dreyfus et ses amis inconnus »

Agrégée d’histoire, Marie Aynié a soutenu, sous la direction de Patrick Cabanel (Université Toulouse-le Mirail), une thèse sur “les amis inconnus” du capitaine Dreyfus – ceux qui ont soutenu sa cause par leurs lettres et leurs pétitions notamment. Ses recherches portent sur l’histoire politique à la fin du XIXe siècle, notamment sur les formes de mobilisation et de manifestation de l’opinion, sur ses réactions et ses émotions face aux discours et aux représentations politiques. Elle s’intéresse principalement à la construction de l’opinion, aux modes de mobilisation et à l’expression politique à la fin du XIXe siècle.

Conditions : Les conférences ont lieu en visioconférence, via Zoom.
Tarifs : 5€ par séance. Tarif réduit pour les demandeurs d’emploi et personnes handicapées. Gratuit pour les lycéens et étudiants.

Inscription obligatoire : contact@institut-rachi-troyes.fr

Possibilité de s’inscrire et de payer en ligne via Hello Asso : https://www.helloasso.com/…/cycle-de-conferences-sur-l…

INFORMATIONS PRINCIPALES
Institut Universitaire Européen Rachi
2, rue Brunneval – 10 000 Troyes
03.10.95.30.07.
www.institut-rachi-troyes.fr
contact@institut-rachi-troyes.fr

450 organisations lancent la coalition STOP UE-MERCOSUR

Femmes auboises

Par Nicole François

Il y a un an, à l’occasion de la Journée Internationale des Droits des Femmes, la section LDH Troyes et Aube présentait une exposition « Portraits de femmes auboises ».


Retour sur ces portraits : aujourd’hui 



Marinette Pichon née le 26 novembre 1975 à Bar-sur-Aube est une footballeuse internationale française, pionnière du foot féminin.

Elle a connu une enfance difficile à cause d’un père violent et alcoolique. Elle fut aidée par le football et par l’attitude de sa mère. Son père fut condamné à 10 ans de prison en 2000 pour agression sexuelle.

Elle a pris sa première licence de football à Brienne à l’âge de cinq ans.

Après avoir joué aux États-Unis elle revient jouer en France.

Elle est la meilleure buteuse de Ligue 1 en 2005 en inscrivant un record de 38 buts.

Elle fait ses débuts chez les Bleues en 1994 contre la Belgique. Elle compte 112 sélections pour 81 buts en équipe de France.

Elle annonce sa retraite internationale à la suite de l’échec des Bleues lors des éliminatoires de la Coupe du monde 2007.

En 2011, elle est recrutée comme consultante par France Télévision pour commenter les matches du championnat de France de D1.

En 2012, elle commente, toujours pour France Télévision le tournoi de football féminin des JO de Londres .

En 2016, elle commente de nouveau les matchs des tournois de football féminin et masculin des JO de Rio et en 2017, le Championnat d’Europe de football féminin.

En 2018, elle reçoit le « Out d’or de la personnalité sportive », pour avoir été l’une des premières sportives françaises de haut niveau à avoir fait son coming out qu’elle évoque dans « Ne jamais rien lâcher », son autobiographie publiée la même année.

Elle a été la deuxième femme homosexuelle en France à obtenir un congé pour la naissance de son fils que sa compagne (Ingrid Moatti, championne de basket handisport) a mis au monde en 2012. Elles se sont mariées le 7 septembre 2013 et Marinette a pu alors adopter leur fils.

Appel à la mobilisation le 28 mars pour une vraie loi climat

Femmes auboises

Par Nicole François


Il y a un an, à l’occasion de la Journée Internationale des Droits des Femmes, la section LDH Troyes et Aube présentait une exposition « Portraits de femmes auboises ».


Retour sur ces portraits : aujourd’hui 



Paulette Blasques est née à Pont-sur-Seine en 1910 et décédée en 2007.

Son premier acte de résistance date de 1940, lorsqu’elle cache chez elle des jeunes soldats français qui s’étaient évadés. C’est à cette occasion qu’elle rencontre Corentin Cadiou qui deviendra le père de sa fille et son compagnon de résistance.

En 1943 elle effectue des missions de liaison entre Paris et l’Aube en transportant des messages, des journaux, des tracts, dans des pelotes de laine. A Paris elle distribue dans les boites à lettres des exemplaires du journal Libération et des tracts en faveur de la résistance.

Elle distribue également des faux papiers et à ce titre elle est dénoncée par une personne qui travaille avec elle.

Elle est arrêtée à Romilly par les Allemands en 1944, puis transférée à Troyes dans la prison rue Hennequin… où elle ne parlera jamais !

Puis c’est le transfert à Fresnes, et ensuite en Allemagne près de Dachau.

Sa grande fierté est de n’avoir dénoncé personne, malgré les violences et les tortures !

Libérée en avril 1945, elle a été décorée de la médaille de la Résistance en 1946.

Femmes Auboises

Par Nicole François

Il y a un an, à l’occasion de la Journée Internationale des Droits des Femmes, la section LDH Troyes et Aube présentait une exposition « Portraits de femmes auboises ».

Retour sur ces portraits : aujourd’hui 



Odette Oligny (1900-1962), née Bernot, à Troyes, journaliste franco-québécoise de l’entre-deux-guerres, femme de lettres, travailla à créer un rapprochement entre sa ville natale et sa ville d’accueil (Montréal).

Elle a été une femme très active pendant la Seconde Guerre mondiale, défendant le droit des femmes de langue française en Amérique.

Avec sa chronique « Les femmes et la guerre », Odette Oligny souhaitait « rendre hommage au dévouement féminin, qui se manifeste dans tous les domaines, depuis que la guerre a pris les proportions que l’on sait ».
Son objectif : promouvoir l’émancipation des Canadiennes françaises à travers la lutte contre le nazisme.



Elle incita les femmes à se mobiliser sur tous les fronts: au foyer, à l’usine ou dans l’armée: « Puisqu’on les attaque, elles et les enfants, pourquoi, dans leur sphère, les femmes ne combattraient-elles pas? », s’interroge-t-elle. Dans ses articles, Odette Oligny vilipenda les « anti-britanniques », qu’elle accusait de faire cause commune avec Pétain et Hitler, ennemis des femmes.

Elle comparait la condition des Canadiennes françaises à celle de leurs contemporaines Françaises sous le régime de Vichy : « Nous sommes à peu près comme le sont encore les Françaises sous Pétain: des ‘ incapables’. Vous voyez où le manque de confiance dans une bonne moitié de sa population a mené la France ».

La journaliste consacra une dizaine d’articles à l’action des résistantes françaises de la France Libre et des agentes des services secrets britanniques. Elle souligna également le courage des femmes britanniques et françaises sous les bombardements.

Rixes entre bandes rivales : Face aux faits de violences entre jeunes, privilégions l’action sociale, l’éducation et la médiation !

Femmes auboises

Par Nicole François

Il y a un an, à l’occasion de la Journée Internationale des Droits des Femmes, la section LDH Troyes et Aube présentait une exposition « Portraits de femmes auboises ».

Retour sur ces portraits, aujourd’hui Anne Bouillat.

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est 158776227_237916331343430_6731607917256040049_n.png.



Anne Bouillat, médecin, est la fondatrice du centre d’accueil du planning familial dans l’Aube. Sensibilisée par les « drames de l’avortement » lors de ses gardes à l’hôpital, elle prend contact à Paris avec la responsable du mouvement « Maternité heureuse » (qui deviendra ensuite le Planning Familial). Elle participe à la création du Mouvement français pour le planning familial et visite, dès 1961, le premier centre français à Grenoble.

Elle fonde le deuxième centre à Sainte-Savine, puis Troyes (avant Paris) , avec des enseignants, des personnes militantes, avec Antoinette Chérain, bénévole, et des médecins « bravant » le Conseil de l’Ordre. Le maire de Sainte-Savine, Gabriel Thierry, apporte son soutien et met des locaux à disposition. L’activité du planning se développe : permanences pour accueillir les femmes en détresse, informations sur la contraception, et sur l’accouchement sans douleur.

Elle accepta d’être vacataire au service de gynécologie pour les avortements, de 1980 à 1988. Anne Bouillat créa également le service de « crèches à domicile ».

Un événement mémorable: la projection du film interdit, « Histoire d’A » (réalisé par Charles Belmont et Marielle Issartel en 1973), à la salle des fêtes de l’Hôtel de ville de Sainte-Savine, devant 1500 personnes !


La police en hélicoptère, ou la surveillance militaire des citoyens.

Depuis plusieurs années, les hélicoptères de la gendarmerie sont régulièrement déployés pour des missions de surveillance de l’espace public, et ce en toute illégalité.

Lire ICI

Marche féministe ce samedi à Troyes


Le cortège bien organisé et encadré par la police a remonté la rue Émile-Zola.
Benoît SOILLY/L’EST-ECLAIR

150 personnes étaient rassemblées ce samedi après-midi à Troyes pour protester contre les violences sexistes et sexuelles.

Voir ICI

France-Algérie, poursuivre sur la voie de la vérité


La reconnaissance de l’assassinat de l’avocat nationaliste Ali Boumendjel par des militaires français en 1957 est un nouveau pas important sur le chemin de la délicate réconciliation des mémoires française et algérienne.

Lire ICI

Grèce : Koufontinas : « Je continue ! »

Condamné à la perpétuité, Dimitris Koufontinas, membre du groupe révolutionnaire du 17-Novembre , est en grève de la faim depuis le 8 janvier

Le prisonnier a appris par son fils que la demande de suspension de sa peine venait d’être rejetée. Il s’y attendait depuis le début. Il a décidé d’aller jusqu’au bout de sa grève de la faim et de la soif « pour la justice ». Mais de nouveaux obstacles viennent de surgir…

Lire ICI

Pour un 8 mars de combat

La pandémie de Covid-19 a déclenché une année de crises en matière de droits humains


Des proches se touchent la main à travers un rideau en plastique  afin d’éviter de contracter le Covid-19 au centre médical San Raffaele à Rome (Italie), le 22 décembre 2020. © 2020 Cecilia Fabiano/LaPresse via AP


Les gouvernements devraient mettre fin aux approches répressives et abusives adoptées dans plusieurs pays.


Lire ICI

Mobilisation générale du 13 au 20 mars pour nos libertés !