Semaine du 10 au 14 novembre

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Dans une tribune au « Monde », un collectif de doctorants et de doctorantes en sciences de la Terre et du climat dénonce l’hypocrisie de politiques internationales qui prétendent mener la transition écologique mais « minent, décision après décision, les moyens d’y parvenir ».
La COP30, s’est ouverte ce lundi à Belém. Alors qu’aucune négociation d’envergure n’y est prévue, l’hôte brésilien entend saisir l’occasion pour relancer la dynamique de l’accord de Paris. La société civile organise quant à elle sa contre-COP radicale.
Estimant que leur voix est ignorée, quelque 300 militants autochtones ont tenté d’entrer dans la COP30. Reporterre a rencontré l’un d’entre eux, qui dénonce la duplicité de Lula sur la question des peuples autochtones.
L’agrobusiness exerce une forte emprise sur l’État brésilien, qu’il soit dirigé par la gauche ou la droite, sous Lula ou Bolsonaro. Il n’est donc pas surprenant que la COP de cette année s’annonce comme un immense exercice de verdissement de façade agro-industriel.
Belém moi non plus. Quelques jours après le début du 30ème sommet mondial (COP30) sur le climat, la tournure des discussions inquiète alors que l’hôte brésilien promeut des solutions jugées inefficaces voire dangereuses, avec la bénédiction des pays riches.
Les impasses coupables de la COP 30.
Dix ans après la signature de l’accord de Paris, la conférence climat au Brésil doit acter la mise en œuvre d’une transition juste.
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