Désobéissance civile ou écoterrorisme ?

Ecoterrorisme ? Historiquement, cette notion émerge au milieu des années 1960, lorsque des militants, constatant l’échec des mouvements traditionnels face à l’essor du capitalisme industriel, décident de se tourner vers une écologie plus radicale et vers l’action directe.

Qui sont les éco-terroristes ? – 🔴 Info Libertaire

« La dynamique de réduction de l’habitabilité de notre planète dans laquelle nous sommes peut renforcer la tentation de la violence quand on a 20 ans”.

Mais “il n’y a pas d’écoterrorisme en France pour l’instant”, dit à ce sujet Eric Denécé, directeur du think tank le Centre français de recherche sur le renseignement, et auteur de Écoterrorisme ! Altermondialisme, écologie, animalisme : de la contestation à la violence (Tallandier, 2016). “On assiste en France à de nombreuses actions : de la protestation, de la manifestation, des sit-in, des blocages, des libérations d’animaux, des occupations de site… Il s’agit d’actions qui, si elles sont légitimes, ne sont pas toujours légales, peuvent relever du trouble à l’ordre public, mais on n’est pas dans l’écoterrorisme, contrairement au Royaume-Uni ou aux Etats-Unis par exemple.”

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Si les mots ont un sens, «l’écoterrorisme», le vrai, ne serait-ce pas

-les multinationales qui dévastent la planète, et les gouvernants qui les protègent.

-les milices d’entreprises privées qui tuent des écologistes dans les pays du sud.

-la fracturation de la couche terrestre pour extraire du gaz de Schiste.

-l’ envoi des milliers d’hommes armés pour détruire une ZAD ou tirer des grenades contre celles et ceux qui défendent l’eau.

ETC…

“Respecter les droits des prisonniers corses et basques, ni plus ni moins”