L’arrestation de Pavel Durov : au delà du bruit médiatique



L’arrestation de Pavel Durov, patron de Telegram est-elle un coup porté à la liberté d’expression ? Contrairement aux apparences, ce n’est pas du tout aussi simple que cela.

Visiblement, tout le monde a un commentaire à faire sur l’arrestation à Paris du patron de Telegram, Pavel Durov. Tous les bords politiques de l’extrême-gauche à l’extrême-droite, tous les courants, complotistes, antivax, néo-nazis, ont leur opinion sur cette décision d’un magistrat français, sans rien connaître de la procédure en cours. Le parquet a listé 12 chefs d’inculpation dont certains pourraient s’appliquer à toutes les plateformes similaires à Telegram. Du coup verra-t-on Elon Musk ou Mark Zuckerberg menottes aux poings lors de leur prochain passage en France, comme le craignent certains ? C’est bien plus compliqué que cela. Enfin, il est toujours très aventureux de s’exprimer sur une procédure judiciaire en cours sans avoir accès au dossier. Les magistrats ont probablement des raisons (qui ne sont pas encore publiques) de rechercher telle ou telle responsabilité du patron de Telegram. Petite tentative d’analyse…

RD Congo : Deux activistes ayant critiqué l’état de siège ont été arrêtés



Les autorités devraient respecter les droits à la liberté d’expression et d’opinion, et mettre fin aux abus liés à l’état de siège.

Deux défenseurs des droits humains qui tenaient une conférence de presse pour critiquer l’état de siège dans deux provinces de l’est de la République démocratique du Congo sont détenus sans inculpation depuis le 1er août 2024, a déclaré Human Rights Watch.

RÉPRESSION EN RUSSIE : LES ENFANTS SONT LA NOUVELLE CIBLE DES AUTORITÉS



Les enfants de parents qui s’opposent à la guerre en Ukraine encourent le risque d’être placés en orphelinat. Voici l’une des méthodes de représailles des autorités russes pour écraser la dissidence. Une forme de répression peu documentée que nous mettons en lumière dans notre nouvelle recherche.

« Vos enfants iront en orphelinat  » c’est le titre de notre recherche qui expose comment les autorités russes instrumentalisent les enfants et leurs familles pour les dissuader de s’opposer à la guerre en Ukraine. Parmi les méthodes employées : endoctrinement via la propagande de guerre, séparation des familles, menaces de retraits des droits parentaux. En Russie, la menace est l’une des armes de répression du Kremlin.

Loi sur l’audiovisuel public : les grains de sable que Dati n’avait pas prévus



Construire un grand ensemble audiovisuel, c’est la priorité de la ministre de la Culture. Rachida Dati a commencé vite et fort, mais voilà que plusieurs embûches se dressent sur son chemin.

La route semblait toute tracée par le bulldozer Dati : la ministre de la Culture mène pied au plancher la réforme de l’audiovisuel public. Dans son schéma, France Télévisions, Radio France, France Médias Monde et l’Institut national de l’Audiovisuel seront d’abord réunis sous une holding le 1er janvier 2025, puis fusionnés le 1er janvier 2026. Un patron ou une patronne dirigera l’ensemble. Le dispositif doit être prêt au 1er septembre 2026, au moment où débutera l’année présidentielle. Mais voilà que les embûches se multiplient.



Une cinquantaine de personnalités signent une pétition contre la fusion de l’audiovisuel public


Un collectif de salariés et d’auditeurs de l’audiovisuel public demande au gouvernement, dans une pétition diffusée le mercredi 29 mai, de retirer son projet de «BBC à la française». Parmi les premiers signataires, des artistes et des intellectuels.

Alors que l’examen du projet de loi visant à fondre les médias de l’audiovisuel public dans l’entité «France Médias» a été reporté une semaine plus tôt, un collectif de «personnels et auditeurs de France Télévisions, Radio France, France Médias Monde et l’INA» a lancé une pétition afin d’empêcher cette fusion. Une cinquantaine de personnalités publiques, artistes, syndicalistes ou intellectuels y ont apporté leurs signatures. Parmi eux, le DJ Martin Solveig, les syndicalistes Sophie Binet et Laurent Berger, les interprètes Laure Calamy et Vincent Dedienne, le réalisateur François Ozon ou encore la militante Camille Etienne. La pétition a récolté plus de 5 000 signatures.



Pourquoi Radio France et France TV suppriment-ils des émissions sur l’écologie ?


Alors que l’écologie fait partie des principales préoccupations des Français·es, de nombreux contenus dédiés disparaissent des antennes du service public. Hasard des calendriers ou signe d’un désamour pour ces sujets ? On fait le point sur la question, posée par les lectrices et lecteurs de Vert.

Depuis quelques mois, c’est l’hécatombe pour les programmes dédiés à l’écologie sur le service public. Après la disparition en décembre (notre article) de média Nowu, puis l’annulation du magazine d’enquête Vert de rage en avril, plusieurs émissions des antennes de Radio France ont été menacées, voire carrément arrêtées, ces dernières semaines. Retour en arrière et explications.



France Inter : après sa blague sur Nétanyahou, le sort de Guillaume Meurice tranché ce jeudi


L’humoriste de la radio publique s’explique ce jeudi 30 mai devant une commission de discipline et risque une sanction pouvant aller jusqu’à la rupture anticipée de son contrat de travail pour «faute grave». La décision ne pourrait être connue que dans les prochains jours.

Après douze ans sur France Inter, Guillaume Meurice sera-t-il licencié pour avoir qualifié Benyamin Nétanyahou, dans un sketch, de «nazi sans prépuce» ? C’est ce jeudi, à 14h30, que l’humoriste passe devant une commission de discipline réunie par la direction de Radio France, qui lui reproche d’avoir répété sa blague malgré une première mise en garde de l’Arcom. Il risque une sanction pouvant aller jusqu’à la rupture anticipée de son contrat de travail pour «faute grave». L’issue ne devrait pas être connue immédiatement. «Aucune décision définitive de sanction» ne sera «notifiée moins de deux jours ouvrables après la tenue de la commission», avait indiqué la direction début mai. L’éventail des possibilités comprend aussi un abandon de la procédure, un blâme ou une mise à pied de plusieurs semaines avec suspension de salaire.

Menaces sur la liberté d’expression

Contre Attaque


Guillaume Meurice convoqué : fin de la liberté d’expression sur le service public ?


La liberté d’expression est-elle en danger sur le service public ? L’humoriste de France Inter Guillaume Meurice a été mis à pied par la direction de Radio France, dans l’attente d’une éventuelle sanction pouvant aller jusqu’au licenciement. Radio France reproche à l’humoriste d’avoir réitéré, dimanche 28 avril dernier, une blague déjà faite à l’antenne en fin octobre sur Benjamin Netanyahu. Il comparait le dirigeant israélien à une « sorte de nazi mais sans prépuce ».

En dépit d’une décision de justice favorable, l’humoriste est donc en passe d’être écarté et censuré par sa direction, même s’il a reçu le soutien de la rédaction de France Inter et de responsables politiques de gauche. Cette affaire apparait comme le symbole d’une période trouble où le soutien aux Palestiniens massacrés à Gaza par l’armée Israélienne, est de plus en plus réprimé.


Rachida Dati réagit à la suspension de Guillaume Meurice de France Inter


Interpellée mardi 7 mai à l’Assemblée sur la suspension de Guillaume Meurice de France Inter, la ministre de la Culture Rachida Dati a rappelé son attachement à la liberté de la presse mais a estimé que « Radio France ne pouvait pas ne pas réagir ».



Appel à la grève le 12 mai à Radio France, contre la suspension de Guillaume Meurice et les changements de grille, sur fond de crainte d’une mise au pas


Un préavis de grève intersyndical a été déposé pour le dimanche 12 mai par les syndicats de Radio France, reflet de la crise dans le groupe après la mise à pied de l’humoriste Guillaume Meurice et des aménagements de grille perçus comme politiques.

Pour protester contre la mise à pied de Guillaume Meurice, mais aussi contre un remaniement des grilles perçu comme «une casse sociale» et une menace sur des émissions emblématiques, le tout sur fond de projet de réforme de l’audiovisuel public, les six grands syndicats de Radio France (CGT, CFDT, FO SNJ, SUD, Unsa) ont appelé à une grève dimanche de minuit à minuit.



La justice ne suit pas nécessairement le mouvement général

Le Conseil d’Etat rejette la demande d’interdiction d’une conférence de Rima Hassan sur Gaza à Paris-Dauphine

La plus haute juridiction a confirmé lundi la décision du tribunal administratif de Paris, estimant que le risque de troubles à l’ordre public, tel qu’il était craint par la direction de l’université, n’était pas circonstancié.

Le Conseil d’Etat a finalement autorisé, lundi 6 mai, la tenue d’une conférence avec la militante franco-palestinienne Rima Hassan à l’université Paris-Dauphine, que la direction de l’établissement voulait voir annulée. Cette décision de la plus haute juridiction administrative confirme celle du tribunal administratif de Paris – dont l’ordonnance avait été rendue publique samedi – qui avait été saisi par deux syndicats de l’enseignement supérieur (Sud-Education et la Ferc-CGT)


Les universitaires non plus


1000 ancien·nes étudiant·es de Sciences Po pour la Palestine : « nous soutenons leur lutte »

Que nous soyons avocat·es, chercheur·ses, consultant·es, ou député·es, nous ressentons une impérieuse urgence à répondre à l’appel des étudiant·es mobilisé·es de Sciences Po et refusons de fermer les yeux sur les massacres en cours à Gaza. Nous demandons à l’administration de défendre ses étudiant·es face à l’agitation politico-médiatique insensée. Nous regrettons la nécessité de rappeler que défendre le droit international n’est pas un acte radical, mais la conclusion de notre éducation à Sciences Po.


Non à la répression policière à Sciences Po Lyon

Universitaires de Sciences Po Lyon, nous exprimons notre profonde indignation face à l’évacuation de l’amphithéâtre Pacaut par la police. Les images de nos étudiant·es aligné·es contre un mur et contrôlé·es par les forces de l’ordre sont choquantes. Nous ne saurions rester silencieux·ses devant la répression policière d’un mouvement étudiant et tenons à maintenir vivante une idée de l’Université comme sanctuaire dédié à la diffusion du savoir et à l’exercice de la discussion collective.



Gaza : notre silence n’est plus possible !

Nous, personnel de la communauté universitaire de Toulouse Jean Jaurès (UT2J) ne supportons plus la chape de plomb qui s’est abattue sur les universités, et notamment au Mirail : depuis les massacres du 7 octobre, l’offensive israélienne a fait près de 40.000 morts à Gaza dont 14.000 enfants, presque 100.000 blessé·es et deux millions de Gazaoui·es déplacé·es et chassé·es de leur domicile ; soit le plus grand nombre de déplacements forcés de Palestinien·nes depuis 1948. Nous avons la responsabilité de réagir.

Liberté d’expression à Radio France

A France Inter, journalistes et producteurs s’inquiètent pour leur liberté d’expression

Alors que plusieurs journalistes travaillant pour les programmes voient leurs collaborations diminuées ou supprimées, la direction de Radio France défend des décisions inspirées, pour certaines, par la nécessité de faire des économies. En interne, l’argument ne convainc pas.

https://www.lemonde.fr/economie/article/2024/05/03/a-france-inter-journalistes-et-producteurs-s-inquietent-pour-leur-liberte-d-expression_6231399_3234.html

Guillaume Meurice serait-il l’arbre qui cache la forêt ? Alors que l’humoriste a révélé jeudi 2 mai être convoqué à « un entretien préalable en vue d’une éventuelle sanction disciplinaire » pouvant aller jusqu’à son licenciement, plusieurs voix de France Inter ont été convoquées, ces derniers jours, pour apprendre que leurs émissions ou chroniques étaient supprimées.

« Nous refusons ce qui nous apparaît comme une atteinte grave au pluralisme de l’antenne de France Inter », revendique leur très long communiqué commun . La liste des griefs commence par « le signe très inquiétant pour la liberté d’expression » envoyé par la direction avec la convocation de Guillaume Meurice.

Critiquer la politique d’un Etat est un droit fondamental 

Cela ne saurait constituer une apologie du terrorisme 

Alors qu’Emmanuel Macron a remis le droit international au cœur de la question israélo-palestinienne, des citoyens sont poursuivis en justice lorsqu’ils s’y réfèrent dans des tracts, s’alarment, dans une tribune au « Monde », des personnalités dont le président de la Ligue des droits de l’homme, Patrick Baudouin, et le médecin Rony Brauman.

https://www.lemonde.fr/idees/article/2024/04/27/critiquer-la-politique-d-un-etat-est-un-droit-fondamental-et-ne-saurait-constituer-une-apologie-du-terrorisme

Contre une démocratie bâillonnée, défendons les libertés publiques


Contre le musellement de voix engagées sur le conflit israélo-palestinien et face à la gravité des atteintes aux libertés publiques, un large collectif de personnalités, syndicats et d’associations (où l’on retrouve le Syndicat de la Magistrature, la LDH, le Gisti, ou encore le Planning familial) dénonce « une limitation inacceptable du pluralisme démocratique ».

Ces derniers jours ont été marqués par une nette aggravation des atteintes à la liberté syndicale, aux libertés d’expression et de manifestation. L’accumulation convergente de divers moyens de répression et d’intimidation contre des acteurs du débat public, en raison de leur positionnement sur les termes du conflit israélo-palestinien, constitue une limitation inacceptable du pluralisme démocratique.


Droits humains- Actualités


Expulsion massive à Vitry : plus de 100 réfugiés à la rue



Une expulsion massive ordonnée par la préfecture de Créteil de 450 réfugiés abrités au squat 38 rue de Seine à Vitry sur Seine s’est déroulée le 17 avril dernier. 100 réfugiés « sans solution » à la rue dans un état de stupeur et de désemparement. Un réseau de solidarité citoyenne sur Vitry s’est activé pour leur venir en aide. Communiqué de la section LDH Ivry-Vitry-Charenton.



Violences des jeunes : l’internat « n’est pas la solution », affirme la représentante du Syndicat national des personnels de direction de l’Éducation nationale



Pour pouvoir accueillir des élèves en décrochage scolaire qui ont des problèmes de violence, il faudrait « des moyens humains », rappelle Dominique Gobetti, lundi sur franceinfo.

L’internat « n’est pas la solution » pour faire face aux jeunes auteurs de violences, affirme, sur franceinfo lundi 22 avril, Dominique Gobetti, elle-même proviseure d’un lycée avec un internat à Épinay-sur-Seine, en Seine-Saint-Denis, et représentante du Syndicat national des personnels de direction de l’Éducation nationale (SNPDEN). 

Non au délit d’opinion !


Ces derniers jours, la réunion publique de Jean-Luc Mélenchon prévue à Lille a été interdite sous de fallacieux prétextes.
La candidate de LFI aux élections européennes – Rima Hassan – est convoquée, à la fin du mois, par la police pour « apologie du terrorisme ».
C’est sous ce même prétexte que le secrétaire général de l’Union départementale de la CGT du Nord vient d’être condamné à un an de prison avec sursis. Nous dénonçons cette condamnation scandaleuse !

Tout cela constitue de graves atteintes à la liberté d’expression et des tentatives de criminaliser le soutien au peuple palestinien.


Le projet de loi sur la fin de vie arrive ce lundi à l’Assemblée nationale




Ce texte hautement sensible entame son marathon législatif ce lundi par le passage devant une commission spéciale. L’hémicycle ne s’emparera du projet remanié qu’à partir du 27 mai, dans une atmosphère que les députés espèrent « apaisée ».

Prélude d’un parcours qui pourrait durer jusqu’à deux ans, le projet de loi sur la fin de vie arrive ce lundi 22 avril à l’Assemblée, où la commission spéciale va mener durant un mois des auditions et éplucher le texte et ses amendements.


CHRISTIAN ESTROSI, MAIRE DE NICE, EXPOSE UN CHANDELIER SYMBOLE DU JUDAÏSME ET UN DRAPEAU ISRAÉLIEN DANS SON BUREAU




Un symbole religieux n’a rien à faire dans le bureau d’un maire, sauf dans une vitrine d’exposition avec d’autres objets décoratifs ou cadeaux faits à l’édile. Quant au drapeau israélien, que ce soit dans le bureau du maire ou en façade de mairie, il constitue un message politique contraire au principe de neutralité des services et édifices publics.

Le 13 avril 2024, dans le cadre d’une interview à la presse locale, une photo montre le maire de Nice, Christian Estrosi, afficher un drapeau israélien dans un coin de son bureau de l’hôtel de ville


À Toulouse, des milliers de personnes défilent à pied et à vélo contre l’A69 et pour «une autre voie»



Dimanche 21 avril, entre 1 600 et 7 000 personnes se sont réunies à Toulouse pour réclamer l’arrêt des travaux de l’autoroute A69. Une manifestation qui marque également l’arrivée du «Cycloretour», un convoi à bicyclette pour promouvoir les alternatives à ce projet.

«C’est le Tour de France !». Dimanche 21 avril, peu après 14h, les premiers vélos fendent la foule compacte réunie sur les Ramblas, le long des allées Jean Jaurès à Toulouse (Haute-Garonne). Applaudissements, tapes dans le dos, cris… Partis de l’Union, en banlieue toulousaine, environ 200 vélos ont rallié le centre-ville en début d’après-midi pour grossir les rangs de la manifestation contre le projet d’autoroute A69.



«Forteresse Europe» d’Emilien Bernard (Lux). 



Dans cette enquête au long cours, menée des deux côtés de la Méditerranée, le journaliste et traducteur Émilien Bernard montre la réalité des frontières européennes dressées contre ces «indésirables» qui tentent de les franchir. Extraits choisis.


« Ce type de propos nourrit un racisme » : la députée de l’Isère Cyrielle Chatelain tacle Gabriel Attal, qu’elle accuse de « reprendre les idées » du RN




La députée de l’Isère Cyrielle Chatelain a accusé, ce dimanche, Gabriel Attal de « reprendre les mots et les idées » du Rassemblement national. Elle vise notamment des propos du Premier ministre sur « des groupes plus ou moins organisés qui cherchent à faire un entrisme islamiste ».



Nouveau record des dépenses militaires mondiales en 2023 selon un récent rapport


Les dépenses militaires mondiales ont connu en 2023 leur plus forte augmentation en une décennie, atteignant 2 400 milliards de dollars en raison des conflits en cours, selon un rapport publié ce lundi 22 avril par le Sipri, un institut spécialisé.

Marche du 21 avril : le gouvernement poursuit sa dérive liberticide


Alors qu’elle était prévue depuis des mois, la marche contre le racisme du dimanche 21 avril vient d’être interdite par la préfecture de Paris. Le collectif Tsedek! dénonce cette nouvelle attaque contre la liberté d’expression et appelle à la solidarité avec les organisatrices de la marche.

Fayard éclipse en catimini un de ses ouvrages sur la Palestine


Récemment, le Que sais-je ?, Les Origines du conflit israélo-arabe (1870-1950), s’est retrouvé en tête des ventes dans la catégorie Essais et Documents, révélant la volonté des Français de comprendre les racines de la discorde. Un véritable travail universitaire face à nos bien connus éditorialistes de plateaux télévisés, ou le jour et la nuit…

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Un collège des Yvelines sous tension à cause d’un tableau de la Renaissance avec des femmes dénudées


L’équipe pédagogique du collège Jacques-Cartier à Issou, dans les Yvelines, a décidé d’exercer son droit de retrait depuis vendredi dernier. C’est une manière de soutenir une de leur collègue, accusée de racisme et d’islamophobie.

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GAZA


Patrick Baudoin, président de la Ligue des droits de l’homme: «Le génocide, c’est le crime des crimes»


« Si nous ne témoignons pas, personne ne saura ce qui se passe à Gaza » : depuis la Turquie, un photographe palestinien s’emploie à recueillir et diffuser le travail de ses collègues


Les États de l’UE n’ont pas besoin de consensus pour soutenir les sanctions et l’obligation de rendre des comptes


Défendre les libertés d’expression sur la Palestine : un enjeu académique


USAGE DE L’ÉCRITURE INCLUSIVE : QUE DIT LA LOI ?


Ce lundi 30 octobre, le Sénat a adopté en première lecture une proposition de loi pour interdire l’écriture inclusive dans « tous les cas où un document en français est exigé ». La jurisprudence l’a pourtant déjà considérée comme appartenant à la langue française.

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Niger : Les autorités mettent les droits en danger


Elles devraient libérer les personnes détenues arbitrairement, garantir la liberté d’expression et réduire la violence.

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Un projet de loi pour renforcer la censure du web : « Une perspective inquiétante pour la liberté d’expression »


Dans son projet de loi pour « sécuriser et réguler l’espace numérique », le gouvernement veut imposer aux navigateurs utilisés par chacun de censurer des sites internet. Les défenseurs du web libre craignent que cela n’ouvre un précédent dangereux.

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Mouchards partout : le contrôle à distance des appareils numériques est légalisé

Arabie saoudite : Un homme condamné à mort pour des tweets



Des critiques pacifiques exprimées sur les réseaux sociaux ont conduit à un verdict de peine de mort.

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La censure a le vent en poupe en Italie, en France, en Égypte et aux États-Unis



Le sujet de la censure touche de plus en plus de pays à travers le monde et s’est retrouvé au cœur de l’actualité ces derniers mois. Retour sur les exemples de l’Italie, la France, l’Égypte et les États-Unis.

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Outrages envers Macron : « Ce n’est pas parce que des propos sont grossiers qu’on peut les interdire »


Une femme sera jugée ce 4 juillet pour outrage envers Emmanuel Macron. Plusieurs personnes ont récemment été poursuives pour la même raison. Où est la limite entre liberté d’expression et injure ? Réponses avec Thomas Hochmann, professeur de droit.

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Dans quel monde vit-on ?


Santé : la Sécu veut transférer 500 millions de frais dentaires aux mutuelles

 

Richard Ferrand veut changer la constitution pour qu’Emmanuel Macron puisse se représenter à la présidentielle


La liberté d’expression des magistrats en danger 

 

Qui sont les vrais fraudeurs sociaux ?


Droits à l’IVG: l’Union européenne impuissante face aux tentatives de retour en arrière