MALGRÉ L’ACCORD DE PAIX, LES CRIMES DE GUERRE ONT CONTINUÉ EN ÉTHIOPIE



Notre nouvelle enquête révèle que les Forces de défense érythréennes (FDE) ont commis des crimes de guerre et de potentiels crimes contre l’humanité dans la région du Tigré, immédiatement avant et après la signature d’un accord de cessation des hostilités entre le gouvernement fédéral éthiopien et le Front populaire de libération du Tigré (FPLT) en novembre 2022.  

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Éthiopie : deux ONG dénoncent un « nettoyage ethnique » et des « crimes de guerre » au Tigré

Des manifestants dénoncent les exactions dans la région éthiopienne du Tigré, le 29 mars 2022, à Washington (Etats-Unis). (BRYAN OLIN DOZIER / NURPHOTO / AFP)


Selon Human Rights Watch et Amnesty International, ces viols et meurtres ont été perpétrés « avec l’assentiment et la possible participation des forces fédérales éthiopiennes ».

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Éthiopie : Nouvelle vague d’atrocités au Tigré occidental


Des réfugiés ayant fui le conflit dans la région du Tigré en Éthiopie, en traversant la rivière Tekeze marquant la frontière entre l’Éthiopie et le Soudan, photographiés peu après leur arrivée sur le territoire soudanais, près de Hamdayet (est du Soudan), le 21 novembre 2020.  © 2020 AP Photo/Nariman El-Mofty


Des enquêtes internationales et l’accès aux détenus sont essentiels pour empêcher de nouveaux abus.

(Nairobi) – Les forces de sécurité d’Amhara ont perpétré une vague de détentions massives, de meurtres et d’expulsions forcées de Tigréens dans le territoire du Tigré occidental, dans le nord de l’Éthiopie, ont déclaré Amnesty International et Human Rights Watch aujourd’hui.

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