Fable cruelle à l’assemblée
dénichée par Jean Camus
dénichée par Jean Camus
La rhétorique de Moscou incite à la destruction du groupe national ukrainien, et légitime les exactions (viols, meurtres de masse…) commises par les soldats russes, selon les experts interrogés.
Reporters sans frontières (RSF) a recensé plus de 50 attaques, qualifiables de crimes de guerre, visant les journalistes et les médias depuis le début du conflit en Ukraine. Des crimes qui démontrent que l’armée russe mène une véritable guerre contre l’information. RSF dépose une cinquième plainte auprès du procureur de la Cour pénale internationale et de la procureure générale d’Ukraine.
Le groupe est soupçonné d’avoir versé en 2013 et 2014, via une filiale, plusieurs millions d’euros à des groupes terroristes, dont l’organisation Etat islamique.
La Ligue des droits de l’Homme (LDH) a saisi le procureur de la République d’une plainte à l’encontre d’Éric Zemmour à la suite des écrits contenus dans son livre, La France n’a pas dit son dernier mot, paru au mois de septembre 2021 aux éditions Rubempré.
Dans son ouvrage, il est en effet possible de lire : « La déportation en France d’homosexuels en raison de leur orientation sexuelle, comme on dit aujourd’hui, est une légende ».
Ces écrits, par eux-mêmes et du fait de leur diffusion, sont constitutifs du délit de contestation de crime contre l’humanité visé à l’article 24 bis de la loi du 29 juillet 1881 modifiée.
Pour l’ancien chef de l’Office central de lutte contre les crimes contre l’humanité, le travail d’enquête sur les violences de la Russie envers l’Ukraine doit faire l’objet d’une coopération internationale.
En Éthiopie, depuis novembre 2020, un conflit armé oppose les forces du gouvernement fédéral d’Addis-Abeba au Front de libération du peuple du Tigré (TPLF selon le sigle en anglais). Viols, exécutions sommaires, pillages généralisés… Notre dernier rapport montre que les forces tigréennes se sont rendues coupables de crimes de guerre et de possibles crimes contre l’humanité.
Le tribunal doit examiner le rôle d’un médecin militaire dans des actes de torture cautionnés par l’État syrien.
(Berlin) – Les juges d’un tribunal de Francfort, en Allemagne, entament ce 19 janvier les audiences dans le cadre d’un procès portant sur des allégations d’actes de torture et de meurtres commis par des représentants de l’État au cours du conflit armé violent qui frappe la Syrie depuis une décennie, a déclaré Human Rights Watch aujourd’hui. L’ouverture de ce deuxième procès, en Allemagne, pour crimes contre l’humanité commis en Syrie démontre que les efforts déployés pour juger ces atrocités sont en train de prendre de l’ampleur.
L’ONU pour les droits de l’Homme en Birmanie a accusé vendredi la junte birmane de « masser des dizaines de milliers de troupes et des armes lourdes » dans le nord du pays. L’organisation dit craindre de « probables crimes contre l’humanité et crimes de guerre ».
En Chine, des centaines de milliers de personnes musulmanes sont internées, torturées et persécutées dans des camps dits de « transformation par l’éducation ». Le but ? L’assimilation à une nation laïque et homogène par l’élimination de leurs traditions religieuses et culturelles.
Nous avons enquêté sur les crimes contre l’humanité qui pourraient avoir été commis dans la région autonome ouïghoure du Xinjiang, en Chine. Parmi ces potentiels crimes figurent les disparitions forcées de personnes.