Notre nouvelle enquête révèle que les Forces de défense érythréennes (FDE) ont commis des crimes de guerre et de potentiels crimes contre l’humanité dans la région du Tigré, immédiatement avant et après la signature d’un accord de cessation des hostilités entre le gouvernement fédéral éthiopien et le Front populaire de libération du Tigré (FPLT) en novembre 2022.
Exécutions
ARABIE SAOUDITE : EMMANUEL MACRON DOIT INTERVENIR POUR EMPÊCHER L’EXÉCUTION DE SEPT JEUNES HOMMES
Vendredi 16 juin, le Président de la République française reçoit le Prince héritier d’Arabie Saoudite à l’Elysée. Amnesty international France demande solennellement à M. Emmanuel Macron d’intervenir auprès de Mohammed Ben Salman pour exiger de l’Arabie Saoudite qu’elle suspende l’exécution des sept jeunes hommes condamnés pour des faits commis alors qu’ils étaient mineurs.
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AFGHANISTAN : LES CRIMES DE GUERRE DES TALIBANS AU PANJSHIR
C’était le bastion historique de la résistance aux Talibans. Désormais, dans la vallée du Panjshir, les habitants vivent toujours dans la peur des talibans qui s’en prennent à la population civile dans le but de l’obliger à obéir et à se soumettre.
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Iran : exiger l’arrêt immédiat des exécutions et l’abolition universelle de la peine de mort
Iran : des visages et des noms fauchés par la répression
L’Iran condamne certains de ses manifestants à mort. Ils sont douze pour l’instant, dont deux ont déjà été exécutés.
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Mohsen Shekari, exécuté
Majid Reza Rahnavard, exécuté
Sahand Nourmohammad-Zadeh, condamné à mort
Manouchehr Mehman-Navaz, condamné à mort
Mohammad Boroughani, condamné à mort
Mohammad Ghobadlou, condamné à mort
Saman Seydi, condamné à mort
Sayed Mohammad Hosseini, condamné à mort
Hamid Ghare-Hasalou, condamné à mort
Mohammad Mehdi Karami, condamné à mort
Hossein Mohammadi, condamné à mort
Rapport de la FIDH: accélération des violations des droits humains au Mali en 2022
La Fédération internationale des droits humains (FIDH) présente une enquête intitulée « dans le centre du Mali, bourreaux et victimes vivent ensemble », sur les violations et les crimes commis contre populations civiles entre juin 2018 et juin 2022.
L’ONG parle d’une « accélération des violations graves des droits humains contre les civils depuis le début de l’année, notamment des violations sexuelles ».
La FIDH a recueilli des témoignages accablants qui visent toutes les parties au conflit: groupes jihadistes, groupes d’autodéfense, les Forces armées maliennes (Fama), forces de défense et de sécurité et leurs partenaires paramilitaires russes.
Exécutions sommaires, viols, arrestations arbitraires, pillages, ou encore mise en place d’un « centre de torture dirigé par le groupe Wagner » à Diabaly. Les populations civiles du centre du Mali « vivent un enfer ».