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Les Nations unies ont annoncé, mercredi, que plus de 114 millions de personnes sont actuellement déplacées de force dans le monde. Un nombre record qu’on doit aux multiples conflits, aux crises humanitaires ou aux épisodes de sécheresse.
Les Nations unies ont annoncé, mercredi, que plus de 114 millions de personnes sont actuellement déplacées de force dans le monde. Un nombre record qu’on doit aux multiples conflits, aux crises humanitaires ou aux épisodes de sécheresse.
Dans le cas où aucun changement majeur ne serait apporté, 920 millions de personnes sur les 4,4 milliards de personnes vivant dans des bassins fluviaux transfrontaliers vivront dans des bassins à risque de conflit très élevé à élevé d’ici à 2050.
En Afrique, ce nombre inclut les habitants de l’Érythrée, de l’Éthiopie, du Rwanda, de l’Ouganda, du Kenya, de la Somalie, du Burkina Faso, de la Mauritanie et du Niger. Il inclut également les habitants du Mozambique, du Malawi, du Bénin et du Togo.
« Une action vigoureuse en faveur des droits humains nous éloignent du chaos et des conflits, permettent de faire progresser le développement et d’instaurer la confiance », a-t-il ajouté.
Les droits de l’homme sont essentiels à chaque étape du « continuum de la paix » couvrant la prévention, les conflits et la résolution, a-t-il déclaré, citant des exemples tels que les crises actuelles en Haïti et au Soudan.
Dans le même temps, la confiance – qui sous-tend à la fois les relations humaines et le contrat social entre les personnes et les institutions de l’État – est le fondement de la prévention des conflits et d’une paix durable.
« C’est la promotion globale de tous les droits humains qui renforce la confiance ».
Le chef des droits de l’ONU a également souligné l’importance de la liberté de la presse et de la protection des journalistes.
Le HCR, l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés, appelle à une action internationale concertée pour mettre fin au conflit armé dans la région du Sahel central, qui a forcé plus de 2,5 millions de personnes à fuir leur foyer au cours de la dernière décennie.
L’arrivée de plusieurs milliers de migrants à la frontière polonaise, orchestrée par le régime d’Alexandre Loukachenko, provoque une situation humanitaire dramatique et des tensions diplomatiques entre Minsk et l’Union européenne.
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