Birmanie, contrôle sur l’information et sanglante répression contre les opposants

Le régime militaire poursuit une sanglante répression contre ses opposants avec plus de 1.250 civils tués et plus de 7.000 en détention, selon l’Association d’assistance aux prisonniers politiques (AAPP), une ONG locale qui rapporte des cas de tortures, de viols et d’exécutions extra-judiciaires.

La presse est étranglée par la junte qui tente de renforcer son contrôle sur l’information, limitant l’accès à internet et annulant les licences des médias.

Plus de 100 journalistes ont été arrêtés depuis le putsch, selon Reporting ASEAN, une association de défense des droits, qui relève que 31 sont toujours en détention.

L’un des deux journalistes qui risquent 14 ans de prison pour avoir enquêté sur le massacre de dix musulmans rohingyas, Kyaw Soe Oo, escorté par la police au tribunal de Rangoon le 2 mai 2018. Myo Kyaw SOE / AFP

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Zhang Zhan, une journaliste citoyenne chinoise, entre la vie et la mort

Pour avoir révélé la vérité sur la gestion du Covid-19 en Chine, cette journaliste a été emprisonnée et torturée. Son état de santé est désormais critique.

Elle a été reconnue coupable, en Chine,  » d’avoir cherché à provoquer des conflits et troubles de l’ordre public »

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Tunisie : accusée d’exercer ses activités de façon illégale, la chaîne Nessma TV est fermée


Nabil Karoui lors de sa sortie de la prison de Tunis, le 15 juin 2021. © Anis Mili, AFP


La chaîne de télévision privée Nessma TV, fondée par l’ancien candidat à la présidentielle Nabil Karoui, a été fermée, mercredi, par la haute autorité de l’audiovisuel tunisien en raison de « suspicions de corruption financière et administrative ».

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EN CHINE, EMPRISONNÉE ET TORTURÉE POUR AVOIR RÉVÉLÉ LA VÉRITÉ SUR LA COVID-19

Zhang Zhan

Le gouvernement chinois tente de cacher les informations relatives à l’épidémie de Covid-19, faisant taire allègrement les personnes qui dénoncent la gestion du virus. Zhang Zhan, journaliste citoyenne, en a été la malheureuse victime.

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Halte au «floutage de gueule» : plusieurs mobilisations contre la loi «sécurité globale»

Manifestation à Paris contre la loi Sécurité, le 21 novembre 2020. (STEPHANE DE SAKUTIN / AFP)

Plusieurs milliers de personnes se sont rassemblées samedi en France contre le texte pénalisant la diffusion malveillante d’images des forces de l’ordre.

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LOI « SÉCURITÉ GLOBALE » : PROTÉGEZ LES DROITS FONDAMENTAUX ! INTERPELLEZ VOS DÉPUTÉS


Une fois de plus, le Parlement examine une proposition de loi présentée par des députés de la majorité gouvernementale « relative à la sécurité globale » qui s’inscrit dans le sillage sécuritaire des abondantes réformes des dernières années et des recours successifs à l’état d’urgence. Alors que cette proposition de loi porte lourdement atteinte à des libertés et droits fondamentaux, elle est l’objet d’une procédure accélérée qui évince, de fait, le rôle législatif des parlementaires.

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INTERPELLATIONS DE JOURNALISTES : GRAVES MENACES SUR LA LIBERTÉ D’INFORMER ET D’ÊTRE INFORMÉ