Après les révoltes urbaines, des commentateurs ont accusé les banlieues d’engloutir les fonds publics. La réalité ce sont plutôt des services publics moins bien dotés qu’ailleurs, et des travailleurs essentiels plus nombreux dans ces quartiers.
Banlieues
Quartiers populaires : bons sentiments contre radicalité écologique
Depuis quelques années, en Seine-Saint-Denis et dans les communes avoisinantes, les habitants s’organisent de plus en plus contre l’injustice environnementale qui touche tout particulièrement leur territoire. Indépendamment d’une écologie institutionnelle verticale et en réponse à des opérations de « Clean Challenge » dépolitisantes, des mobilisations plus radicales et autonomes se sont développées.