Avant les Jeux olympiques, 1 600 migrants ont été évacués de Paris vers d’autres régions, via un dispositif spécial lancé il y a six mois



« Le but, c’est de sortir de Paris un maximum de personnes considérées comme indésirables par l’État », proteste Médecins du monde.

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Calais: Point de non-retour


Merci à Agnès, ligueuse auboise d’avoir partagé cette vidéo édifiante.

Paris : un campement de migrants devant l’hôtel de ville évacué, plus de 200 personnes prises en charge



Il s’agit de la 24e opération de ce type en Ile-de-France depuis le début de l’année.

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Calais : quand la police municipale « vole » l’eau des exilés



C’est une vidéo qui a fait le buzz, qui choque. Publiée par « Calais Food Collective », une association d’aide aux migrants, on y voit la police municipale retirer une cuve d’eau installée par des bénévoles quelques jours auparavant.

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Loin des yeux, près du cœur


Depuis la fin de la trêve hivernale et la fin de la prise en charge systématique de toutes les familles avec enfants mineurs par la Préfecture d’Ille-et-Vilaine, un nouveau campement et de nombreux enfants sont désormais installés dans un parc, aux portes de Rennes. Pour se souvenir que les vacances n’ont pas le même charme pour tout le monde, voici les témoignages de certains d’entre eux.

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« L’errance mentale » des migrants s’aggrave : MSF de retour à Calais


Après six ans d’absence, Médecins sans frontières (MSF) est de retour à Calais pour aider les exilés dont les conditions de vie ont empiré ces derniers mois avec la politique du « zéro point de fixation ». L’ONG espère « modestement » apporter un soutien « médico-social et psychologique » aux migrants déjà confrontés à de graves traumatismes physiques et psychiques.

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« Avant nous cherchions des abris, maintenant nous cherchons des cachettes » : à Paris, les mineurs à la rue, toujours plus invisibles


Depuis le mois de décembre, à Paris, les autorités démantèlent systématiquement – et sans solution de relogement – les campements de migrants quelle que soit leur taille. Les mineurs isolés en subissent les conséquences : chaque nuit, pour ne pas se faire réveiller, confisquer leur tente ou leurs couvertures, ils cherchent des cachettes dans la capitale. Et pour ne pas se faire repérer, ils restent désormais seuls ou en petits groupes. Au risque de s’invisibiliser et de sortir des radars des associations.

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J’ai passé 18 mois dans l’enfer de Calais. Voilà ce que j’ai vu…



Pendant 18 mois, le photojournaliste Louis Witter s’est installé à Calais pour raconter le quotidien des exilés. Il raconte comment les forces de l’ordre expulsent quasi-quotidiennement les campements de fortune dans son livre La Battue.