Les mots de la migration

En 2022, il y avait 281 millions de migrants internationaux dans le monde, c’est-à-dire 3,6% de la population mondiale. Parmi eux, on compte 48% de femmes et 14,6% d’enfants. Sur ces 281 millions de personnes, 108,4 millions sont des déplacés de force et 35,3 millions sont des réfugiés.

Selon le rapport du Haut-Commissariat aux réfugiés (HCR), sur ces quelque 108,4 millions de personnes déplacées de force dans le monde, il y a 35,3 millions de réfugiés* contre 27,1 millions en 2021. Cette forte augmentation est due à la guerre en Ukraine.

En 2022, 52% des réfugiés et migrants ayant besoin de protection internationale provenaient de Syrie, d’Ukraine et d’Afghanistan.

Quelques définitions pour bien appeler par leur nom ces personnes déplacées.

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D’ici et d’ailleurs


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Le HCR rappelle que les besoins humanitaires en Afghanistan ne doivent pas être oubliés

Environ un demi-million d’Afghans sont devenus des déplacés internes du fait des violences durant la seule année 2021.   © HCR/Edris Lutfi


Ceci est un résumé des déclarations de la porte-parole du HCR Shabia Mantoo – à qui toute citation peut être attribuée – lors de la conférence de presse du 13 août 2021 au Palais des Nations à Genève.


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Face au besoin vital d’atténuer les effets de la pandémie, près de 40 millions de déplacés sont confrontés à des risques accrus de violences, de discrimination et d’abus des droits humains

Des enfants déplacés yéménites jouent dans la vieille ville d’Amran. Juillet 2017.  © HCR
Un tout nouveau rapport fait état d’une forte diminution des efforts de la communauté internationale pour protéger les personnes les plus vulnérables au monde, qui sont confrontées à des violations des droits humains, et notamment à la hausse des violences sexistes, de la traite des êtres humains et du recrutement forcé d’enfants.

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