Parution le 7 octobre, éd. Payot
Partager la publication "« Carnets de solidarité », une enquête au cœur de la France solidaire"
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Partager la publication "Maintien de l’ordre : nouveau schéma, vieilles pratiques"
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Partager la publication "L’acharnement contre Kamel Daoudi doit prendre fin"
Cette nouvelle enquête contre le polémiste intervient une semaine après sa condamnation pour les mêmes motifs.
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Partager la publication "Préoccupations des ONG concernant l’objectif d’amener à 30% le taux d’aires protégées et l’absence de garanties pour les communautés locales et peuples autochtones"
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Il se présente à la police pour témoigner : il est interpellé, menotté, yeux bandés.
«Il doit être présenté comme un héros, il a eu un comportement héroïque», affirme l’avocate Lucie Simon au sujet de son client, «Youssef» (nom d’emprunt), sorti libre vendredi soir après avoir passé une dizaine d’heures en garde à vue auprès des enquêteurs antiterroristes. Avant d’être mis hors de cause, il avait été présenté comme le deuxième suspect de l’attaque qui a fait deux blessés grave hier à Paris.
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Selon un rapport parlementaire présenté mercredi à l’Assemblée nationale, le gouvernement peut faire mieux en terme d’intégration des réfugiés et demandeurs d’asile en France, même si des avancées notables ont été concrétisées depuis 2018. Entretien avec les deux auteurs du rapport.
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Une étudiante strasbourgeoise a été insultée et frappée au visage vendredi 18 septembre parce qu’elle portait une jupe. Elisabeth dénonce un climat de plus en plus malsain et dangereux pour les jeunes femmes à Strasbourg.
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Partager la publication "Pour que le Briançonnais reste un territoire solidaire avec les exilés"
Partager la publication "Le ministère de l’Intérieur n’a pas à mettre au pas les journalistes qui couvrent des manifestations"
En Allemagne, 5 000 personnes ont manifesté dimanche 20 septembre à Berlin, Cologne, Munich ou Leipzig pour demander au gouvernement d’accueillir davantage de réfugiés du camp de Moria, sur l’île grecque de Lesbos. Le gouvernement allemand s’est dit prêt à accueillir 1 500 personnes, en priorité des femmes et des enfants. Ce n’est pas assez pour les associations de défense des droits humains.
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AFP, publié le samedi 19 septembre 2020 à 18h52
Dans la « ligne de mire » des autorités dans la lutte contre l’épidémie de Covid-19, les plus de 60 ans ne veulent pas être « infantilisés » et encore moins « placardisés », beaucoup exprimant leurs craintes d’un clivage intergénérationnel.
« Il y a une façon protectrice d’appeler les personnes qui sont à plus grand risque à se protéger avec plus de vigilance, et une façon clivante: c’est hélas la seconde qui a été choisie. C’est une faute psychologique et humaine dramatique », déplore le psychiatre Serge Tisseron.
Depuis quelques semaines, la tonalité des discours est la même, à la mesure de la progression de l’épidémie. Le 27 août, le Premier ministre Jean Castex suggérait d’éviter « que papi et mamie aillent chercher les enfants à l’école ».
Le 10 septembre, le Pr Jean-François Delfraissy, qui préside le Conseil scientifique, indiquait que « deux populations sont sur notre ligne de mire », les personnes de plus de 60 ans qui sont « la cible de ce virus » avec les populations fragiles, et les 20-40 ans.
Jeudi, le ministre de la Santé Olivier Véran a dit « mesurer les sacrifices consentis » par les personnes âgées après « de longs mois de confinement », leur demandant néanmoins de « redoubler tous (leurs) efforts. Y compris celui, le plus difficile, de réduire encore le nombre de personnes que vous voyez chaque jour ».
Joël, fringant sexagénaire francilien, pongiste émérite, respecte les précautions sanitaires et les fait respecter dans le club de tennis de table qu’il préside. Mais il est un point sur lequel il ne transigera pas: « continuer de garder mes petits-enfants ».
Armelle Le Bigot-Macaux, présidente de l’Ecole des grands-parents européens, dénonce pour sa part « l’amalgame, l’infantilisation, la placardisation et le mépris de ce que l’on représente dans la société ».
– « Stratégie du bouc émissaire » –
« Ce qui me fait bondir c’est l’amalgame +60 ans et plus+ alors que cela recoupe deux générations », ajoute-t-elle, ulcérée également par un certain double discours. « Personne ne s’est occupé de nous cet été où on a rempli notre rôle en gardant nos petits-enfants, en leur remontant le moral. Ça arrangeait tout le monde et personne n’a rien dit parce qu’on était bien utile », fait-elle remarquer.
« On a fait de cette génération des plus âgés une catégorie qu’il fallait protéger à tout prix, qui devait être isolée du reste de la population. On a clivé », analyse la psychologue clinicienne Béatrice Copper-Royer, auteur du livre « Grands-parents, le maillon fort » (Albin Michel, 2018).
Egalement dans le viseur, la jeunesse. Pour le sociologue du CNRS Olivier Galland, davantage encore que les autres classes d’âge, « les jeunes sont plus affectés par les conséquences économiques et sociales de la crise et dans leur mode de vie ». Même si après le déconfinement, « on a eu un certain relâchement », « ce n’est pas pour autant qu’il faut les stigmatiser et en faire les grands coupables. Ce serait absurde ».
Le délégué général du Forum français de la jeunesse, Anthony Ikni, regrette le « paternalisme » de certains discours, notamment médiatiques, « toujours très stéréotypés » à l’égard des jeunes. « Il faut un peu raison garder dans ce débat et avoir en tête qu’on n’a pas énormément d’informations sur les chaînes de transmission » du virus.
« Pointer une catégorie de la population est extrêmement dangereux, surtout à l’heure des réseaux sociaux (qui) ont popularisé une culture de la dénonciation publique et de l’exacerbation des tensions entre groupes », met en garde le Dr Tisseron qui dénonce une « stratégie du bouc émissaire ».
Le pire pour Béatrice Copper-Royer serait d’ériger « deux mondes avec une frontière qu’on voudrait de plus en plus étanche. Alors que cela fait un bien fou de se mélanger entre générations, cela maintient la bonne santé psychique aussi bien des jeunes que des plus âgés ».
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En voulant abroger le règlement de Dublin, qui impose la responsabilité des demandeurs d’asile au premier pays d’entrée dans l’Union européenne, Bruxelles reconnaît des dysfonctionnements dans l’accueil des migrants. Mais les Vingt-Sept, plus que jamais divisés sur cette question, sont-ils prêts à une refonte du texte ? Éléments de réponses.
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Alors que les Parlementaires français font leur rentrée, le constat du mal-mourir en France ne cesse de revenir au premier plan des débats avec l’apparition chaque jour de nouveaux drames de la fin de vie. Dans un tel contexte, il apparaît évident qu’en France, l’accompagnement actuel de la fin de vie trahit les valeurs fondamentales de notre République : la liberté, l’égalité et la fraternité.
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Nous avons récemment été informés par le siège national de la LDH d’une nouvelle adhésion à notre section depuis la Finlande. En effet, Julien D. y vit actuellement, mais Troyen d’origine (ses parents vivent encore ici), il a choisi de soutenir notre section par son adhésion. Il nous écrit : « Je me suis inscrit principalement en tant que donneur afin de soutenir l’association car ce que vous faites est important. »
C’est une situation originale et, avec les adhésions récentes ou à venir, voilà qui nous encourage dans nos actions !
Au nom de tous les membres de la section Troyes et Aube, bienvenue Julien et merci pour le sisu* que tu nous apportes de là-haut.
* Le sisu (prononcer [si-zou ]) est en Finlande « la détermination inflexible, la résistance à l’épreuve, le courage, l’intrépidité, la ferme volonté, la ténacité et l’énergie endurante. » « C’est un état d’esprit qui tend à l’action. » Par ailleurs, on ne se vante pas d’avoir du sisu : on se contente de « laisser parler ses actes. »
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