Droit de mourir dans la dignité
Grâce à la Suisse, Alain Cocq a pu devenir maître de sa fin de vie.
/2021/06/15/phpSdchRI.jpg?w=680&ssl=1)
Alain Cocq a bénéficié d’un suicide assisté à Berne, ce mardi 15 juin 2021. Le président de l’ADMD était à ses côtés.
Lire ICI
Du 24 au 31 mai 2021, l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité investit le terrain…

Une semaine de mobilisation dans toute la France.
Lire ICI
Euthanasie : l’adoption de la proposition de loi compromise avec 3 000 amendements déposés à l’Assemblée

Malgré un large soutien, la proposition de loi ouvrant un droit à « une fin de vie libre et choisie » du député Olivier Falorni n’avait pu être adoptée début avril, face à des milliers d’amendements déposés par quelques élus Les Républicains.
Lire ICI
Yaël Braun-Pivet veut le « droit de choisir » en fin de vie

La présidente LREM de la commission des Lois à l’Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet revendique le “droit de choisir sa fin de vie”, prenant le contre-pied du gouvernement.
Lire ICI
Euthanasie. Le Sénat s’oppose au « droit à mourir dans la dignité »
Le Sénat a supprimé de l’article 1er de la proposition de loi de Marie-Pierre de La Gontrie visant « à établir le droit à mourir dans la dignité ». La sénatrice PS a annoncé le retrait de son texte.
Lire ICI
Fin de vie : lettre ouverte à Emmanuel Macron
Euthanasie : les malades demandent à avoir le choix
Rentrée parlementaire : L’ADMD interpelle les Parlementaires et la Défenseure des droits au sujet de la fin de vie

Alors que les Parlementaires français font leur rentrée, le constat du mal-mourir en France ne cesse de revenir au premier plan des débats avec l’apparition chaque jour de nouveaux drames de la fin de vie. Dans un tel contexte, il apparaît évident qu’en France, l’accompagnement actuel de la fin de vie trahit les valeurs fondamentales de notre République : la liberté, l’égalité et la fraternité.
Lire ICI
Sans réponse de l’Élysée, Alain Cocq va se laisser mourir et filmer son agonie

Alain Cocq est atteint d’une maladie orpheline incurable. © Radio France / Danielle Messager
Ce vendredi soir, il arrêtera de s’alimenter et de boire. À 57 ans, il ne veut plus de cette vie où il ne peut plus rien faire seul. Il réclame une sédation, mais il n’est pas en fin de vie, la loi ne l’autorise donc pas. Alain Cocq se veut combatif puisqu’il ne peut rien contre la maladie orpheline dont il est victime, qui endommage vaisseaux et artères et le rend totalement dépendant. Sa dernière bataille sera pour abréger cette vie dont il ne veut plus. Ses derniers jours seront filmés via Facebook.