
Le projet de loi sur l’aide à mourir franchit un cap décisif. Derrière les débats houleux, un texte fixe noir sur blanc cinq conditions strictes. Voici lesquelles.
Fin de vie : chez les opposants à l’aide à mourir, la crainte d’euthanasies demandées faute d’accès aux soins palliatifs
Le débat sur la fin de vie revient, lundi, à l’Assemblée nationale. Des députés entendent alerter sur le risque d’un recours « par défaut » à l’aide à mourir, même si diverses dispositions visent déjà à prévenir de tels cas.
Elle promet des « happenings » dans une cinquantaine de villes. L’association Alliance Vita appelle à manifester contre la proposition de loi sur l’aide à mourir, lundi 12 mai, au premier jour de l’examen par les députés de deux textes visant à renforcer les soins palliatifs et à créer un droit à l’euthanasie ou au suicide assisté. A Paris, ses militants, porte-voix du catholicisme conservateur, se donnent rendez-vous à 19 heures à proximité de l’Assemblée nationale pour faire entendre leur slogan : « On veut des soins, pas l’euthanasie ! »
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