« LE TERME “APARTHEID” PERMET DE PENSER DANS LA DURÉE L’ASYMÉTRIE DES RELATIONS ISRAÉLO-PALESTINIENNES »

Trésors de Mésopotamie

Des archéologues face à Daech, un documentaire on ne peut plus d’actualité.


Ce soir sur ARTE à 20h50

Guinée : coup d’Etat surprise mais pas « étonnant »


Scènes de liesse hier dans les rues de Conakry, où des Guinéens ont envahi les rues pour dire leur joie de voir le Président Alpha Condé renversé• Crédits : CELLOU BINANI – AFP


Le Président Guinéen Alpha Condé fait prisonnier par des putschistes hier. Pour quelles raisons, et qui est le chef des putschistes ? Réponse dans la presse guinéenne.

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« Les politiques internationales sont inaptes à prendre en compte la complexité des sociétés sahéliennes »


La mise en œuvre de programmes sécuritaires ou de développement échoue le plus souvent car ces derniers favorisent l’instauration d’institutions inspirées du « modèle légal rationnel occidental », explique la politiste Niagalé Bagayoko dans une tribune au « Monde ».

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Afghanistan


Zarifa Ghafari, plus jeune maire d’Afghanistan : « La communauté internationale nous a abandonnés »


Depuis 2018, Zarifa Ghafari était maire de Maidan Shar, 50 000 habitants, non loin de Kaboul. Elle est aujourd’hui réfugiée en Allemagne. © Radio France


EXCLUSIF – Obligée de fuir l’Afghanistan par crainte d’être tuée par les talibans, cette militante féministe et plus jeune maire d’Afghanistan demande à la communauté internationale de dialoguer avec les talibans pour faire pression sur eux et les obliger à garantir le respect des droits de l’homme.

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Quel accueil pour les Afghans en Europe?


Un camp de réfugiés de fortune à la base militaire américaine de Ramstein, en Allemagne, le 1er septembre 2021. AP – Markus Schreiber


Depuis la chute de Kaboul à la mi-août les américains et leurs alliés ont évacué selon le pentagone plus de 123.000 Afghans. Beaucoup de pays de l’UE ont participé à ces évacuations, la France à hauteur de 2.600 personnes, de 4.800 pour l’Italie,  5.200 pour l’Allemagne parmi les principaux. Avec le retour des talibans au pouvoir l’ONU s’attend à ce qu’un demi-million d’Afghans quittent leur pays ; c’est l’estimation haute de l’organisation mais quel que soit leur nombre seront-ils accueillis ? 

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La Grèce se ferme aux réfugiés afghans


Manifestation de soutien organisée par des réfugiés afghans déjà présents en Grèce, le 28 août 2021 à Athènes. Crédit : AP

La prise de Kaboul par les Taliban a coïncidé à quelques jours près avec la finalisation, en Grèce, de l’extension d’un mur de 40 kilomètres le long de sa frontière terrestre avec la Turquie, doublé d’un système de surveillance électronique.

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En Afghanistan, les musiciens déjà condamnés au silence


Zarifa Adiba, de l’orchestre Zohra, le seul orchestre uniquement féminin d’Afghanistan, et son alto © Zarifa Adiba


Les talibans sont entrés à Kaboul le 15 août et ils répriment déjà violemment toute activité ayant rapport à la musique. Les stations de radio et de télévision du pays ont cessé d’en diffuser, les magasins vendant des instruments ont été détruits. Des musiciens afghans témoignent.

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Le Conseil de sécurité de l’ONU devrait renouveler la mission en Afghanistan


Des combattants talibans, l’arme au poing, surveillaient une rue dans le quartier de Wazir Akbar Khan à Kaboul, en Afghanistan, le 22 août 2021. © 2021 Rahmat Gul/AP Images


Il faut renforcer la surveillance des droits humains et s’assurer que les sanctions n’entravent pas l’aide humanitaire

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Bitter Lake, le chef d’œuvre méconnu qui annonçait la débâcle américaine en Afghanistan

En 2015, quelques jours après les attentats de Charlie Hebdo, la BBC diffusait le film documentaire Bitter Lake, une œuvre magistrale et sidérante décryptant les rouages historiques et politiques qui ont conduit l’Afghanistan vers les Talibans et l’apparition de l’État Islamique. Derrière cette histoire omniprésente dans l’actualité mais pourtant si mal racontée à la télévision ou au cinéma, c’est toute celle de l’Occident, d’Est en Ouest, qui est illustrée, dans un récit dénudant l’arrogance et l’ignorance des plus grandes nations du XXème siècle.

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Afghanistan

La défaite des États-Unis en Afghanistan : un désastre annoncé


Un combattant taliban monte la garde sur les lieux de l’attentat suicide du 26 août à l’aéroport de Kaboul, qui a tué 13 militaires américains et plus d’une centaine d’Afghans. © AFP – WAKIL KOHSAR


Pressés de quitter l’Afghanistan, les États-Unis ont fini par négocier avec les Taliban et marginaliser leurs alliés locaux. Pour beaucoup, considérer les Taliban comme un interlocuteur fiable ou dénigrer l’armée nationale afghane ressemble à un storytelling bien opportun à l’heure d’un départ précipité.

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Entre Moscou et les talibans, un échange de bons intérêts

Des chefs talibans, à Moscou, le 9 juillet. (Dimitar Dilkoff/AFP)


Le Kremlin a assisté de loin à la débâcle du retrait américain après vingt ans de présence en Afghanistan, et tient sa ligne diplomatique habituelle : parler à toutes les parties et reconnaître la réalité du terrain.

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Retrait d’Afghanistan : « La leçon, c’est qu’on ne combat pas le terrorisme en voulant recréer un État à partir de zéro », pour le politologue Olivier Roy


Evacuation d’Afghan à Kaboul (MICHAEL REYNOLDS / MAXPPP)


Olivier Roy estime que le retrait des troupes américaines d’Afghanistan montre qu' »on ne combat pas le terrorisme international en voulant recréer à partir de zéro un État moderne ».

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Cette militante a choisi de rester en Afghanistan pour aider les femmes



Elle vit cachée depuis la conquête du pays par les talibans. Mais cette militante a choisi de rester en Afghanistan pour s’assurer que les femmes aient accès à l’éducation… Pashtana Durrani raconte.

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Les cartes qui ont changé le monde: Arno Peters, le rêve de la carte juste


La projection Gall-Peters Dario Ingiusto / L’Express


Avec la pandémie de Covid-19, graphiques et cartes abondent dans les médias. L’afflux des représentations visuelles synthétisant les données nous offre l’occasion de revenir sur des images novatrices qui ont fait débat et parfois l’Histoire.


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En Tunisie, l’état d’exception prolongé « jusqu’à nouvel ordre »


Le président tunisien, Kaïs Saïed, le 1er août 2021 sur l’avenue Bourguiba à Tunis. SLIM ABID / AP


Le chef de l’Etat tunisien, Kaïs Saïed, avait décrété la suspension du Parlement le 25 juillet pour un mois.


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Gaza : Enquête sur les frappes aériennes israéliennes contre des tours d’habitation en mai


Des habitants de Gaza contemplaient les décombres dans une rue, peu après l’effondrement de la « Tour al-Shorouk », qui abritait plusieurs bureaux, à la suite d’une frappe aérienne israélienne menée le 12 mai 2021. L’effondrement d’une partie de la tour sur l’immeuble « al-Sousi », à proximité, a détruit d’autres commerces et forcé le déplacement de plusieurs familles.   © 2021 Mohammed Talatene/AP Images


Ces attaques apparemment illégales ont causé des dommages importants et durables.


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Jair Bolsonaro demande la destitution du juge de la Cour suprême qui a ouvert une enquête contre lui



Le président brésilien est visé par une procédure pour diffusion de fausses informations sur le système de vote électronique.


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Afghanistan : les femmes et le fils du commandant Massoud mènent la résistance aux talibans


Des Afghans manifestent dans les rues de Kaboul, jeudi 19 août, à l’occasion du 102ème anniversaire de l’indépendance du pays.
AFP


Passée l’onde de choc, ces Afghans sont bien décidés à s’opposer aux mollahs. Certains ont brandi le drapeau national dans les rues de Kaboul ce jeudi 19 août, jour du 102e anniversaire de l’indépendance du pays. De son côté, le fils du commandant Massoud tente d’organiser la résistance.


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Afghanistan : les évacuations se poursuivent dans le chaos à l’aéroport de Kaboul


Six jours après la prise de pouvoir par les Taliban, des milliers de personnes tentent toujours, samedi, de quitter l’Afghanistan par l’intermédiaire du pont aérien mis en place à l’aéroport de Kaboul.


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Le peuple afghan ne semble pas prêt à plier


La vallée du Panshir, cœur de la résistance aux talibans

Le commandant Massoud avait fait de la vallée du Panshir un camp de base, une forteresse imprenable © Wikipedia / Master Sgt. Michael O’Connor


C’est dans cette vallée, située au nord-est de Kaboul, que le fils du commandant Massoud, Ahmad Massoud, et l’ex vice-président afghan, Amrullah Saleh entendent organiser la résistance. Ce territoire, que les talibans n’ont jamais réussi à conquérir, était déjà le fief du commandant Massoud.


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À Kaboul, cette manifestation de femmes montre le courage des Afghanes

© Twitter


Les talibans ont pris le pouvoir en Afghanistan mi-août 2021. Cette organisation est synonyme de recul des droits pour les femmes. À Kaboul, les Afghanes témoignent de leurs inquiétudes mais aussi, de leur courage.


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Les Afghans, sacrifiés au nom de la paix

Une femme dans la région du Wardak, domaine des Talibans en Afghanistan (© Véronique de Viguerie)


Pour mieux comprendre, un documentaire à revoir ICI



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Emmanuel Macron veut « protéger l’Europe des flux migratoires » venus d’Afghanistan : une déclaration « complètement indigne », s’emporte François Gemenne


François Gemenne, chercheur en science politique à l’université de Liège et à l’université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines. (FRANCEINFO)

« Demander l’asile, c’est un droit fondamental », martèle le directeur de l’observatoire Hugo à l’Université de Liège en Belgique.

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Rapport mondial sur les déplacements forcés en 2020


Yémen . Shaker Ali, 52 ans, est assis devant ce qui était autrefois un marché à Aden. 
« J’habite ici depuis plus de 15 ans, et voir mon quartier comme ça me bouleverse et me rend triste. La guerre nous a obligés à partir et à déménager. 
Nous avons déménagé dans la ville d’Inma’a lorsque les choses se sont réchauffées et maintenant je suis de retour chez moi. Nous manquons de nombreux services de base, comme l’électricité. © HCR/Saleh Bahulais


L’année 2020 restera dans les mémoires comme aucune autre. La pandémie de COVID-19 a bouleversé toutes les facettes de la vie, causant des millions de morts dans le monde et entraînant des souffrances humaines, une récession économique, des restrictions à la mobilité humaine et de graves limitations de la vie quotidienne.

Plus d’un pour cent de la population mondiale – soit 1 personne sur 95 – est désormais déplacée de force. 



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Elie Tenenbaum : « Il y a une élite [afghane] qui a sa responsabilité dans la débâcle »


Après la prise du pouvoir à Kaboul par les talibans : Elie Tenenbaum, directeur du centre des études de sécurité à l’Ifri (institut français des relations internationales), spécialiste de l’Afghanistan et Solène Chalvon Fioriti, grand reporter.


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Alors que les talibans progressent, la Chine prépare le terrain pour accepter une réalité difficile


Le conseiller d’Etat chinois et ministre des Affaires étrangères Wang Yi rencontre le mollah Abdul Ghani Baradar, chef politique des talibans afghans, à Tianjin, Chine, le 28 juillet 2021. Li Ran/Xinhua via REUTERS


BEIJING, 14 août (Reuters) – Une série de photos publiées le mois dernier par les médias d’Etat chinois du ministre des Affaires étrangères Wang Yi se tenant côte à côte avec un responsable taliban en visite vêtu d’une tunique traditionnelle et d’un turban a levé les sourcils sur les réseaux sociaux du pays.

Depuis lors, la machine de propagande chinoise a tranquillement commencé à préparer son peuple à accepter un scénario de plus en plus probable selon lequel Pékin pourrait devoir reconnaître les talibans, le mouvement islamiste de ligne dure qui gagne rapidement du territoire en Afghanistan , comme un régime légitime.

« Même s’ils ne peuvent pas contrôler l’ensemble du pays, ils seraient toujours une force importante avec laquelle il faut compter », a écrit jeudi un commentateur influent des médias sociaux connu pour être familier avec la pensée de la politique étrangère de la Chine. Le commentateur, qui porte le pseudonyme de Niutanqin, ou « Vache jouant de la cithare », a fait ces remarques sur sa chaîne WeChat.

Vendredi, le Global Times, un grand tabloïd soutenu par l’État, a publié une interview avec le chef d’un parti d’opposition afghan qui a déclaré que « le gouvernement de transition doit inclure les talibans ».

L’élan des talibans alors que les forces américaines se retirent est gênant pour la Chine, qui a accusé l’extrémisme religieux de force déstabilisatrice dans sa région occidentale du Xinjiang et craint depuis longtemps que le territoire contrôlé par les talibans ne soit utilisé pour abriter des forces séparatistes.

Mais la Chine respecte également une politique de non-ingérence dans les affaires intérieures des autres pays.

Il a également considérablement renforcé la sécurité au Xinjiang, durcissant ses frontières et plaçant ce que les experts de l’ONU et les groupes de défense des droits estiment être au moins un million d’Ouïghours et d’autres musulmans dans des centres de détention que la Chine décrit comme des centres de formation professionnelle pour aider à éradiquer l’extrémisme et le séparatisme islamistes.

La réunion du mois dernier à Tianjin, dans le nord de la Chine, faisait suite à une visite similaire d’une délégation talibane en 2019, mais intervient alors que le groupe est beaucoup plus puissant, Wang affirmant qu’il espérait que l’Afghanistan puisse avoir une « politique islamiste modérée ».

« N’est-ce pas le même taliban qui a fait exploser les bouddhas de Bamiyan devant les médias mondiaux ? Ne devrions-nous pas avoir un bilan ? un internaute chinois a commenté Weibo, semblable à Twitter, sous un clip d’actualité montrant Wang debout à côté d’un responsable taliban.

LA CHINE PRAGMATIQUE

Face aux talibans, une Chine de plus en plus puissante pourrait tirer parti du fait que, contrairement à la Russie ou aux États-Unis, elle ne les a jamais combattus.

Lorsque les talibans étaient au pouvoir pour la dernière fois entre 1996 et 2001, la Chine avait déjà suspendu ses relations avec l’Afghanistan, ayant retiré ses diplomates en 1993 suite au déclenchement de la guerre civile.

« C’est nous qui sommes pragmatiques. La façon dont vous voulez gouverner votre pays est en grande partie votre propre affaire, mais ne laissez pas cela affecter la Chine », a déclaré Lin Minwang, expert en Asie du Sud à l’Université Fudan de Shanghai.

« Quand une grande puissance asiatique comme la Chine montre qu’elle reconnaît la légitimité politique des talibans en les rencontrant si ouvertement, cela donne aux talibans une grande victoire diplomatique », a déclaré Lin.

Les médias d’État ont publié cette semaine au moins deux articles analytiques soulignant que l’Afghanistan avait été le « cimetière des empires » et mettant en garde la Chine de ne pas s’embourber dans le « Grand Jeu », renforçant le message selon lequel la Chine n’a ni l’intention d’envoyer des troupes en Afghanistan ni l’illusion qu’il peut combler le vide de pouvoir laissé par les États-Unis.

Après leur rencontre avec Wang, les talibans ont déclaré qu’ils espéraient que la Chine pourrait jouer un rôle économique plus important.

« Cela montre que la Chine pourrait avoir fait miroiter des promesses d’aide économique et d’investissement à un Afghanistan d’après-guerre comme une carotte pour encourager les deux parties à arrêter les combats et à parvenir à un règlement politique », a déclaré Zhang Li, professeur d’études sud-asiatiques à l’Université du Sichuan. .

Les risques d’instabilité régionale pour la Chine ont été mis en évidence le mois dernier lorsque 13 personnes, dont neuf travailleurs chinois, ont été tuées au Pakistan dans un attentat suicide dans un bus. La Chine construit d’énormes projets d’infrastructure au Pakistan dans le cadre de son initiative Belt & Road.

« La priorité numéro un de la Chine est l’arrêt des combats, car le chaos engendre l’extrémisme religieux et le terrorisme », a déclaré Zhang.


Reportage par Yew Lun Tian Montage par Tony Munroe et Kim Coghill


(Traduction automatique)

Le HCR est vivement préoccupé par les violences sexuelles systématiques dans la province du Tanganyika en RDC


Les femmes et les jeunes filles déplacées internes souffrent de manière disproportionnée de la violence sexuelle et sexiste en République démocratique du Congo.   © HCR/Olivia Acland


Ceci est un résumé des déclarations de la porte-parole du HCR Shabia Mantoo – à qui toute citation peut être attribuée – lors de la conférence de presse du 13 août 2021 au Palais des Nations à Genève.


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La France boycotte pour la troisième fois la Conférence de l’ONU sur le racisme


Le président français Emmanuel Macron, le 11 août 2021. © AFP


Paris se range aux côtés de plusieurs pays occidentaux qui ont décidé de boycotter la Conférence de l’ONU sur le racisme dite Durban IV, créée en 2001. La France a annoncé, vendredi, qu’elle n’assisterait pas à ce quatrième sommet en Afrique du Sud, en signe de dénonciation des propos antisémites prononcés lors d’une précédente édition.


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