LIBERTÉS / DÉMOCRATIE RACISME ET ANTISÉMITISME DISCRIMINATIONS DROITS DES FEMMES DROITS DES ÉTRANGERS ETAT D’URGENCE COVID-19 DROIT PARTOUT DANS LE MONDE DROITS ÉCONOMIQUES, SOCIAUX ET CULTURELS OBS. DE LA LIBERTÉ DE CRÉATION ENVIRONNEMENT OBS. DES LIBERTÉS ET DES PRATIQUES POLICIÈRES DÉFENDRE VOS DROITS STOP LOI SÉCURITÉ GLOBALE…
Dans une tribune publiée sur franceinfo, une dizaine d’auteurs du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) critiquent la stratégie du groupe pétrolier, qui a récemment utilisé leurs travaux pour justifier la poursuite de ses investissements dans les énergies fossiles.
Partager la publication "« TotalEnergies est très loin de prendre en compte les conclusions du Giec » : des scientifiques dénoncent l’instrumentalisation de leurs rapports par le géant pétrolier"
En ce début d’année 2023, un énième projet de loi « asile et immigration » sera proposé par le gouvernement français. Depuis 30 ans, les textes relatifs à la politique migratoire de la France stigmatisent toujours davantage les personnes exilées en les présentant comme un problème à régler. Jean-Claude Samouiller, le président d’Amnesty Intrernational, prend la parole sur le sujet.
Une pédiatre joue avec un enfant victime de violences à la Cellule d’accueil spécialisé de l’enfance en danger (Cased), à Rennes (Ille-et-Vilaine), le 7 juin 2021. (SEBASTIEN SALOM-GOMIS / AFP)
A l’approche de l’élection présidentielle, les signataires de cette tribune appellent les candidats à réformer la protection de l’enfance et la justice pénale des mineurs, face à une situation « alarmante ».
Partager la publication "« La société ne peut être le témoin impuissant de la dégradation de la justice des enfants et de la protection de l’enfance »"
Selon notre chroniqueuse, le passe vaccinal peut servir à brider la contestation politique, comme dans une commune du sud-ouest. Le passe est une mesure de police administrative. Or, écrit le Conseil d’État, «la police administrative porte en elle les germes de la tyrannie».
Le président béninois Patrice Talon au stade Charles-de-Gaulle à Porto-Novo, le 23 mai 2021. YANICK FOLLY / AFP
L’universitaire Laurence Burgorgue-Larsen s’inquiète du tournant autoritaire de ce pays d’Afrique de l’Ouest après les lourdes peines infligées à deux opposants.
Tribune. Dix ans et vingt ans de prison ! Telles sont les peines auxquelles ont été condamnés, au Bénin, le professeur de droit constitutionnel Joël Aïvo et l’ancienne garde des sceaux Reckya Madougou, les 6 et 10 décembre.
L’inquiétude sur la dérive autoritaire du président Kaïs Saïed est fondée, mais le refus et la condamnation de l’ingérence étrangère constituent un thème fédérateur tant l’hégémonie de l’Euro-Amérique suscite des réactions hostiles, souligne, dans une tribune au « Monde », l’universitaire Michel Camau.
Les principales associations de l’économie sociale et solidaire (Emmaus, Coorace, etc.) qui ont créé 40 000 emplois non délocalisables sur le marché de la seconde main, demandent, dans une tribune au « Monde » à l’Etat, de ne pas abandonner la gestion des déchets, au secteur privé et commercial.
La question de l’abstention est maintenant au cœur de la problématique démocratique et républicaine. Chaque dimanche électoral, après 20 heures sur les plateaux télé, les responsables politiques se succèdent pour déplorer la faible participation et s’interroger sur les moyens d’y remédier. Faut-il croire à leur sincérité ? Pour certains d’entre eux, je ne crains pas de répondre par la négative. Pour comprendre l’analyse qui me permet d’aboutir à cette prise de position que d’aucuns jugeront surprenante, il est nécessaire de resituer la question du suffrage universel dans une perspective historique.
En 2020, 90 femmes sont décédées sous les coups de leur conjoint ou ex-conjoint. (Gent Shkullaku/AFP)
Il est nécessaire de garantir un accompagnement médical et psychologique à long terme pour les enfants dont la mère a été tuée par son conjoint, selon un collectif de députés.
Alors que la marche des fiertés se tient aujourd’hui de Pantin à Paris, Flora Bolter, co-directrice de l’Observatoire LGBT+ de la Fondation, revient sur la situation en Hongrie où le gouvernement Orbán a fait voter une loi interdisant toute information jugée positive envers l’homosexualité en direction des moins de 18 ans. Une loi qui s’inscrit dans une offensive plus large – qui se retrouve en Pologne et en Roumanie notamment – contre les droits des personnes LGBT+. Dans ce contexte, l’Union européenne doit réagir car il en va de l’État de droit et des valeurs en termes de droits fondamentaux sur lesquels elle s’est construite.