Journée mondiale contre la peine de mort



Chaque année, le 10 octobre, des acteurs du monde entier se réunissent pour sensibiliser à la peine de mort et en appeler à son abolition dans tous les pays. Cette année, la Fédération internationale pour les droits humains (FIDH) et les autres membres de la Coalition mondiale contre la peine de mort combattent l’idée reçue et entretenue selon laquelle la peine capitale aurait un effet dissuasif et donc bénéfique à la sécurité des personnes et des communautés.



3 choses à faire pour soutenir l’abolition universelle de la peine de mort  


Homicide volontaire et prémédité, la peine de mort est un châtiment cruel et inhumain, un assassinat orchestré par L’État. Les pays qui la maintiennent dans leur législation y recourent souvent en pensant que ce châtiment peut renforcer la sécurité de leur population et leurs communautés. Il s’agit pourtant d’une idée fausse. La peine capitale n’a pas d’effet dissuasif sur la criminalité. En 2024, elle continue d’être appliquée dans de nombreux pays, sur tous les continents. En cette journée internationale pour l’abolition de la peine de mort, agissez à nos côtés pour soutenir l’abolition universelle.  

23 juin : journée mondiale des lanceurs d’alerte – La protection des lanceurs d’alerte au cœur des préoccupations du Défenseur des droits



À l’occasion de la journée mondiale des lanceurs d’alerte, le Défenseur des droits rappelle l’importance du rôle des lanceurs d’alerte dans le fonctionnement de la démocratie ainsi que le devoir impérieux de les protéger.

Corruption, maltraitances, pollutions environnementales, risques sanitaires… autant d’atteintes à l’intérêt général qui sans le courage des lanceurs d’alerte pourraient perdurer en silence. 

Employeurs, autorités externes chargées du recueil des signalements, tous ont le devoir d’être mobilisés et à l’écoute des lanceurs d’alerte.

Dans son rapport bisannuel sur la protection des lanceurs d’alerte à paraître en septembre, le Défenseur des droits fera le point sur les progrès accomplis dans le traitement des signalements, notamment au regard des efforts déployés par les 41 autorités désignées par les pouvoirs publics, nouveaux acteurs du droit de l’alerte (voir la liste dans le Guide du lanceur d’alerte).

De plus en plus fréquemment saisi, le Défenseur des droits œuvre à la prévention des représailles en certifiant les lanceurs d’alerte, ainsi qu’en luttant, aux côtés de ces derniers contre les discriminations dont ils font l’objet (consulter le rapport d’activité 2023 du Défenseur des droits).

En ce 23 juin 2024, Journée mondiale des lanceurs d’alerte, le Défenseur des droits souhaite également mettre en lumière les travaux de l’Association des ombudsmans et médiateurs de la Francophonie (AOMF), dont il est membre.  Afin de promouvoir des mécanismes robustes de protection des lanceurs d’alerte, l’AOMF vient en effet de se doter d’un Comité pour l’intégrité publique qui permettra aux institutions des pays membres de renforcer la saine gouvernance et l’intégrité des institutions étatiques.

À l’instar des activités conduites au sein du réseau NEIWA, cette nouvelle participation du Défenseur des droits aux réflexions internationales sur les lanceurs d’alerte, est un engagement supplémentaire de l’institution aux côtés de ceux dont la liberté d’expression est encore trop souvent menacée.

10 octobre : 20ème journée mondiale contre la peine de mort


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Journée mondiale du droit à l’avortement



Le 28 septembre est célébrée la Journée mondiale pour le droit à l’avortement. À cette occasion, Vie-publique.fr vous propose une sélection de discours publics sur le sujet depuis la promulgation de la loi Veil en 1975. Cette loi a depuis connu de nombreuses évolutions.

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Journée mondiale contre l’homophobie, la transphobie et la biphobie


Les plaintes pour injures, menaces ou agressions contre des personnes LGBT+ ont doublé en cinq ans

Une personne participe à la Marche des Fiertés, à Paris, le 20 juin 2021. (FIORA GARENZI / HANS LUCAS / AFP)


En 2021, 2 170 crimes et délits contre les personnes lesbiennes, gays, bis et transgenres ont été enregistrés par la police et la gendarmerie, auxquels il faut ajouter 1 620 contraventions, à plus de 90% pour injure ou diffamation.

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« Queer Nass », l’exposition photo qui célèbre les identités LGBTQIA+ et racisées

Shaun est un chanteur qui pose pour la série « Queer Nass » de Nora Noor.
« Le courage est de savoir que les difficultés seront présentes en sachant toutefois qu’elles ne nous empêcheront jamais d’avancer ». © Nora Noor


Rendre visibles les personnes LGBTQIA+ et racisées dans une exposition photo, c’est la volonté d’une photographe française, Nora Noor. Sa série de portraits, “Queer Nass” est actuellement exposée à Mons, en Belgique. En cette journée mondiale contre l’homophobie, la transphobie et la biphobie, elle revient sur la genèse de sa démarche.

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