Invitation à une conférence-débat – En Iran, « Femmes, Vie, Liberté » : un espoir avorté ? – Mardi 14 mai – 18h30, Cosmopolis

Conférence-débat

« Femmes, Vie, Liberté : un espoir avorté ? »

mardi 14 mai à 18h30

Espace Cosmopolis

18 rue Scribe, Nantes – Entrée libre et gratuite

Dans le cadre de l’événement de Cosmopolis « 1979-2024 : L’Iran en révolutions », vous êtes invité.es à une conférence-débat « Femmes, Vie, Liberté : un espoir avorté ? » organisée par la section LDH Nantes et pays nantais avec Maryse Artiguelong, membre du Bureau national de la LDH (Ligue des Droits de l’Homme), Vice-présidente de la FIDH (Fédération Internationale pour les Droits Humains).

Plus de 18 mois après le début du soulèvement populaire « Femmes, Vie, Liberté » de 2022 suite à la mort de Mahsa Jina Amini, arrêtée et molestée par la police pour non-respect du strict code vestimentaire iranien, les autorités iraniennes continuent de réprimer les droits à la liberté d’expression, d’association et de réunion pacifique. Elles intensifient la répression à l’encontre des femmes et des jeunes filles qui défient les lois sur le port obligatoire du voile et viennent juste de condamner à mort Toomaj Salehi, rappeur très populaire, arrêté en octobre 2022.

Pourtant Narges Mohammadi, figure de la résistance iranienne, arrêtée à douze reprises depuis 30 ans, qui n’a pas pu recevoir le Prix Nobel de la Paix qui lui a été attribué en 2023, pense que le gouvernement a perdu son autorité et que le peuple iranien retournera dans la rue et atteindra ses objectifs en poursuivant les luttes civiles…

Flyer d’invitation, ci-dessous ou cliquez sur le lien suivant : https://partage.ldh-france.org/s/nrR5yd5d8Cp2G8B

Chronique LDH de mars sur Jetfm : balade dans les coulisses du spectacle « Quand l’espoir s’en mêle »

Chronique de la section LDH Nantes et pays nantais sur JetFM en mars : https://urlz.fr/q3FB

Voici une balade dans les coulisses du spectacle : « Quand l’espoir s’en mêle », création de la LDH Nantes et pays nantais. Nous y avons attrapé quelques témoignages et croisé deux/trois protagonistes de la pièce. Assis entre deux chaises, dans la presque pénombre de la coulisse à jardin, vous y entendez sûrement des chants venus d’ailleurs.

« Quand l’espoir s’en mêle » – Spectacle SECD – jeudi 14 mars – CSC Bellevue – 20h

Pour ceux qui n’ont pas pu venir le jour de la première, le 10 février, nous vous invitons à assister au spectacle

« Quand l’espoir s’en mêle »

Jeudi 14 mars à 20h, au CSC Bellevue, 25 rue du Jamet à Nantes

Dans le cadre des SECD (Semaines d’éducation contre le racisme et toutes les formes de discrimination) organisées par la FAL – Ligue de l’enseignement

 Après « Porteurs d’espoir », la LDH met à nouveau l’espoir en scène.

Un espoir qui déjoue, dans les rires et les pleurs, les menaces qui pèsent contre les droits humains, le vivre ensemble, le vivant…

Un espoir qui aide à lutter, à résister, à désobéir… L’humour est son allié, le débat son arme, l’égalité son horizon.

La LDH se mêle de tout, de l’accueil des migrants, des retraites, du climat, du maintien de l’ordre, des violences sexistes… Partout, au marché, à la cantine, en manif !

Quand l’espoir s’en mêle, il n’y a plus qu’à réfléchir, débattre, agir en commun pour démêler les fils de la complexité de notre monde.

Venez nombreux voir le spectacle, rire et pleurer, et juste à la suite, discuter, débattre avec les comédiens et militants sur nos droits et libertés à toutes et tous.

Un spectacle créé et joué par des militantes et militants de la LDH, professionnelles et professionnels, amatrices et amateurs.

Mis en scène par Claudine Merceron avec le « Théâtre d’ici ou d’ailleurs ».

Un spectacle libre et gratuit (le chapeau circulera pour aider à financer les frais)

Avec :

les pros : Cedric Cartier, Élodie Retière, Michel Hermouet, Kristine Maerel, Claudine Merceron, Emmanuel Siret

les amatrices et amateurs : Myriam Auger, Béatrice Bachelier, Sylvie Clabecq, Marc Depriester, Fabienne Froger, Jeanne Gantier

La LDH participe à la Journée des droits des femmes, le 8 mars. A Nantes, manifestations à 11h30 et 18h30

La section LDH Nantes et pays nantais appelle aux manifestations et rassemblements prévus à Nantes le vendredi 8 mars à l’occasion de la Journée des droits des femmes :

– à 11h30 au Miroir d’eau avec l’intersyndicale CGT – FSU – Solidaires – UNSA – CFDT : https://www.grevefeministe.fr/

– à partir de 13h aux Nefs sur la Zone d’Occupation Féministe (ZOF) et

– à 17h30 discours puis 18h30 manifestation au départ de la place du Bouffay : https://nantes.indymedia.org/events/115743/nantes-greve-zone-doccupation-et-manif-feministe/

         – à 18h30 place Graslin, les chorales féministes nantaises, en chœur « Simone et les chants rouges » invitent à chanter pour la journée internationale des droits des femmes.

     Ci-dessous l’appel national de la LDH :

Journée internationale des droits des femmes
8 mars 2024

Rien que l’égalité mais toute l’égalité !
Partout dans le monde, les femmes ont su, par leurs luttes, faire reculer les inégalités de genre et cette année encore, le 8 mars doit être l’occasion de le rappeler. 
Pour autant, le combat pour l’égalité est loin d’être fini. Nos sociétés, française comprise, restent porteuses dans les rapports sociaux, le langage et les pratiques quotidiennes, de l’héritage millénaire d’une vision patriarcale et genrée des rôles masculins et féminins. Partout, dans tous les milieux, des femmes continuent d’être confrontées à des injustices et à des discriminations, à subir des violences, à ne pas être traitées à l’égal de l’homme au sein de leur famille et dans l’emploi, à ne pas avoir le même accès aux ressources naturelles et économiques, aux fonctions de pouvoir. De tels constats n’empêchent pourtant pas certains courants conservateurs, le plus souvent proches de l’extrême droite, de continuer leurs croisades pour faire obstacle à toute avancée en matière d’égalité femmes-hommes. 
En ce qui concerne les violences sexuelles et sexistes, les derniers mois resteront incontestablement marqués par l’impact du mouvement #Metoo et la façon dont celui-ci a mis en lumière les violences physiques et psychiques dont des femmes, des jeunes filles, parfois même des fillettes, ont pu faire l’objet. La LDH (Ligue des droits de l’Homme) salue le courage de toutes celles qui se sont élevées pour dénoncer l’omerta dont leurs agresseurs ont trop souvent bénéficié. L’ampleur du phénomène montre que seule une mobilisation de la société tout entière permettra que le corps des femmes cesse d’être maltraité, nié, exploité. L’école et l’ensemble des structures éducatives et sociales ont un rôle essentiel à jouer. Ce sont la prévention et l’éducation dès le plus jeune âge qui sont les meilleurs atouts pour changer les choses. Il faut en particulier promouvoir et rendre effectives la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes (Cedef ou Cedaw) adoptée en 1979 et la Convention n° 210 du Conseil de l’Europe sur la prévention et la lutte contre la violence à l’égard des femmes et la violence domestique, dite Convention d’Istanbul, adoptée en 2011.
De même, il faut que l’ensemble des droits qui, en France, permettent l’égalité entre les femmes et les hommes soient rendus effectifs. Il est inadmissible qu’aujourd’hui encore les inégalités salariales persistent, que les femmes soient massivement présentes dans les secteurs les moins rémunérés, constituent la majorité des travailleuses à temps partiel et pauvres. Il revient aux pouvoirs publics de veiller à ce que les lois garantissant l’égalité professionnelle soient réellement appliquées et de conditionner, à cet effet, les aides publiques aux entreprises à un comportement vertueux en matière d’égalité.
Au moment où l’avortement est menacé dans de nombreux pays, y compris parmi les plus riches ou ceux qui se revendiquent comme des démocraties, la LDH se félicite de voir inscrite dans la Constitution la garantie de la liberté de recourir à l’avortement. Elle estime toutefois que cela implique nécessairement l’octroi de moyens ad hoc pour permettre à toutes les femmes qui le souhaitent d’avoir accès à l’IVG.
Parce qu’elle défend une société mixte dans laquelle les femmes et les hommes sont libres et égaux en droits et que ceux-ci sont indivisibles et universels, quel que soit le genre, la LDH appelle ses adhérentes et adhérents à participer massivement aux différentes initiatives qui auront lieu le 8 mars.

Rassemblement contre les violences sexistes et sexuelles – jeudi 11 janvier – 17h30 – Palais de Justice – Nantes

A Nantes, à l’appel d’un grand nombre d’organisations, le rassemblement contre les violences sexistes et sexuelles aura lieu le jeudi 11 janvier à 17h30 devant le Palais de Justice, quai F. Mitterrand.

La LDH appelle à ce rassemblement. Ci-dessous le communiqué d’appel national.

Gardez votre vieux monde, nous en voulons un sans violence sexiste et sexuelle

Appel à  rassemblements devant toutes les préfectures ou les palais de Justice de France le jeudi 11 janvier 2024

Nous sommes féministes. Nous sommes de celles qui reçoivent les paroles des victimes chaque jour, de celles qui ne veulent plus compter les viols, les incestes, les féminicides, les agressions sexuelles et sexistes, de celles qui ne cessent de prôner la transformation de nos politiques publiques pour en finir avec toutes les violences faites aux femmes, aux enfants et aux minorités de genre.
Nous dénonçons, nous agissons, nous luttons sans relâche contre ce fléau.  Nous écoutons les paroles des victimes. Leurs drames ne sont pas des fictions. Nous sommes solidaires et déterminées face à cette réalité qui touche toutes les femmes, qu’elles soient célèbres ou non. Nous sommes fières de chacune d’entre nous, de celles qui parlent et de celles qui ne peuvent pas. Dans ce monde qui laisse les victimes dernières de cordée sans justice, nous croyons à la présomption de sincérité.
Emmanuel Macron a tranché au plus haut sommet de l’Etat, à l’image de son bilan en la matière : “il y a la présomption d’innocence“, “Gérard Depardieu rend fière la France“, dénonçant une prétendue “chasse à l’homme” exercée contre l’acteur dont il est “un grand admirateur“, dissimulant volontairement le fait qu’il est mis en examen depuis 2020 pour viol et agression sexuelle et occultant les nombreux témoignages existants sur l’attitude sexiste et dangereuse de l’acteur à l’encontre des femmes sur les plateaux de tournage.
Le président n’a pas eu un mot de solidarité à l’égard des victimes présumées et pas le moindre regard critique sur les propos et agissements répréhensibles relevant de la justice dont tout le monde a été témoin grâce au reportage de Complément d’enquête.
Ce choix assumé de se tenir du coté d’un auteur de violences, venant d’un président de la République, garant des institutions, invalide la parole des plaignantes et entrave leur recours à la justice, anéantit leurs espoirs de reconnaissance du préjudice subi, contrarie leurs tentatives de reconstruction. Autoproclamé champion de la lutte contre les violences faites aux femmes, le président Macron s’avère être, ni plus ni moins, un défenseur des agresseurs présumés. Déjà en décembre 2021 pendant l’affaire Nicolas Hulot, il discréditait les féministes en les comparant à une “société de l’Inquisition” faisant d’elles des bourreaux, là où elles sont en réalité victimes ou défenseures de ces dernières.
Relisons tous les témoignages individuels, chacune d’entre nous sait de quoi il s’agit quand nous disons #Metoo : la violence patriarcale s’exerce sur nous au quotidien, quel que soit notre âge, notre métier, notre condition sociale.  Pour rappel, les mis en cause dans ces affaires sont à 96 % des hommes, les femmes et les filles représentent 86 % des victimes de violences sexuelles. Parmi toutes les victimes, 56% sont mineures. Nous dénonçons de nouveau aujourd’hui ces chasseurs qui nous voient comme leur proie, qui nous pensent à leur disposition, qui supposent que le sexe et la violence se confondent à leur profit et pour leurs prétendus besoins. Nous voulons que cessent rapidement les laisser-faire et les passe-droits car les agresseurs n’existent pas qu’au cinéma, ils sont aussi présents dans notre quotidien. Ce quotidien dont la violence est validée et acceptée par le président de la République. Un vieux monde revendiqué par une tribune qui met un j majuscule à Justice en méprisant les victimes et en défendant un homme qui pense au clitoris d’une petite fille quand elle fait du cheval. Les signataires savent ne prendre aucun risque : seules 1% des plaintes pour viol aboutit à une condamnation. La défaillance de notre système judiciaire nourrit l’impunité. Les féministes contemporaines luttent jour après jour depuis les années 1970 contre les violences faites aux femmes, aux minorités de genre, aux enfants. Elles soutiennent celles et ceux qui les subissent dans leur long cheminement vers la reconstruction après avoir vécu l’indicible. Les victimes qui ont fait le choix de recourir à la justice, se heurtent bien souvent à un système qui refuse de les entendre, de les comprendre, de les croire et de les reconnaître. Depuis #Metoo, la tolérance sociale reculait, des progrès étaient accomplis. Ne laissons pas anéantir ces progrès par des propos irresponsables, graves et sexistes du président de la République qui a porté atteinte aux droits des victimes et aux droits de toutes les femmes et des enfants.
Le vieux monde doit disparaître ne laissons pas ceux qui ont peur de le perdre défendre ses vestiges pourrissants. 
Nous continuerons à défendre avec détermination les droits des femmes à disposer de leur corps et leur droit à une vie digne, débarrassée des violences sexistes et sexuelles, une vie dans laquelle chaque agresseur, quel que soit son statut, ne pourra se retrancher derrière une quelconque immunité.
Nous appelons toutes celles et ceux qui défendent les droits des femmes, des enfants et des minorités de genres,  et qui refusent les violences sexistes et sexuelles à des rassemblements devant toutes les préfectures ou les palais de Justice de France le jeudi 11 janvier 2024.

Premiers signataires : Amicale du Nid, Assemblée des Femmes, Association nationale des études féministes ANEF, ATTAC, CADAC, CIVG Tenon, CGT, Collectif enfantiste, Collectif Ensemble contre le sexisme, Collectif Féministe Contre le Viol , Collectif National pour les Droits des Femmes , Coordination française pour le lobby européen des femmes, Diplomatie Féministe Femmes d’Avenir, Fédération des Associations Générales Etudiantes, Fédération Nationale Solidarité Femmes, FEMEN, Femmes Egalité, Femmes Solidaires, Fondation Copernic, FSU, Las Rojas, LDH (Ligue des droits de l’Homme), Ligue des Femmes Iraniennes pour la Démocratie-LFID, Maison des Femmes de Paris, Marche Mondiale des Femmes France, Mémoire traumatique et victimologie, Mouvement des femmes kurdes en France-TJK-F, Mouvement du Nid, Osez le Féminisme !, Réseau Féministe “Ruptures”, Stop aux Violences Obstétricales et Gynécologiques France (@StopVOGfr), Union des Femmes Socialistes (SKB), Union Etudiante, Union Nationale des Familles de Féminicide, Union syndicale Solidaires, VISA Vigilance et Initiatives Syndicales Antifascistes

En soutien : Ensemble !, France Insoumise, Gauche Ecosocialiste, NPA, PCF, Parti de Gauche, Parti Socialiste, PCOF

La Gazette LDH Nantes et pays nantais – n°28 – Novembre 2023

Nous avons le plaisir de vous partager le dernier numéro de la Gazette.

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Retrouvez les gazettes des mois précédents


Le sommaire

Édito

Interview de Jeannine, autrice du livre « Invisible parmi nous »

Courrier LdH aux sénateurs du 44 : Projet de loi sur l’asile et l’immigration

La liberté d’expression sous pseudonymat sur internet fait débat

Atteinte au droit de manifester : en Loire-Atlantique aussi

Échanges autour de la guerre Israël – Hamas

Les écrits pour la Fraternité et Vive l’égalité !

Infos pratiques

Rassemblement Droit à L’avortement ! – jeudi 28 septembre

La LDH appelle au rassemblement pour le droit à l’avortement ce jeudi 28 septembre18hNantesMiroir d’eau.

Voir ici l’appel syndical local et ci-dessous l’appel national signé par un grand nombre d’organisations 

Partout, manifestons le 28 septembre pour défendre le droit à l’avortement

Le 28 septembre est la journée internationale pour le droit à l’avortement.

Il y a un an, la Cour Suprême des Etats-Unis portait un coup redoutable contre ce droit fondamental. En Europe, Malte et Andorre interdisent totalement l’IVG. En Pologne et en Hongrie, les restrictions majeures confinent à l’interdiction. En Italie et en Espagne, l’application de la loi est considérablement entravée par des professionnel-le-s, s’abritant derrière leur clause de conscience, ou par les moyens restreints alloués aux systèmes de soins.

De nombreux pays dits démocratiques, poussés par la progression des extrêmes droites, se désengagent de ce droit fondamental pour les femmes. De fait, ils désagrègent les démocraties.

Le 28 septembre, nous afficherons haut et fort  notre solidarité avec toutes les femmes du monde et en particulier celles des pays qui interdisent totalement ou partiellement le droit à l’avortement !

Nous affirmerons que les extrêmes droites sont partout un danger immédiat pour les femmes et les droits humains !

En France, le respect des droits des femmes exige de la part du gouvernement, non des discours emphatiques, des effets de manche ou des postures, mais des actes constructifs et des budgets conséquents.

Nous réclamons :

– l’inscription réellement protectrice du droit à l’avortement dans la Constitution française et dans la Charte européenne des droits fondamentaux pour que ce droit des femmes partout en Europe soient respectés et garantis ;

– la parution des décrets d’application de la loi Gaillot de février 2022 permettant aux sages-femmes de pratiquer des IVG instrumentales ;

– des choix politiques qui augmentent les budgets pour la santé.

Le 28 septembre, nous descendrons dans la rue partout en France pour exiger aussi :

– l’accès aux soins pour toutes sur tous les territoires avec la réouverture des CIVG fermés, des maternités et hôpitaux de proximité ;

– une politique publique de production des médicaments essentiels, de premier recours, incluant les produits nécessaires à l’IVG, pour éviter toute pénurie et rupture d’accès aux soins. Cela passe par la création d’établissements pharmaceutiques nationaux et européens avec financement public qui produiront, diffuseront les médicaments et géreront la constitution des stocks ainsi que leur maintien ;

– la disparition de la double clause de conscience spécifique à l’IVG ;

– la garantie pour les femmes du choix des méthodes pour l’IVG et la contraception ;

– des campagnes publiques d’informations sur les droits sexuels et reproductifs ainsi que les séances d’éducations à la vie affective et sexuelle en milieu scolaire prévues par la loi du 4 juillet 2001 relative à l’IVG et à la contraception ;

– la pénalisation des activistes anti-IVG et la dissolution de leurs associations qui vont à l’encontre des droits des femmes et fragilisent la démocratie.

Le Collectif « Avortement en Europe, les femmes décident » appelle à se mobiliser.

Meeting le samedi 30 septembre à 15h, à la Bourse du travail, 85 rue Charlot 75003 Paris.

Paris, le 13 septembre 2023

Soutenons le peuple iranien : Rassemblement « Femme Vie Liberté – 1 an après » – Samedi 16 septembre

Nous vous invitons à venir nombreuses et nombreux au rassemblement organisé le samedi 16 septembre à 16h au Miroir d’eau par l’association « Femme, Vie, Liberté » que la LDH soutient depuis sa création.

Vous trouverez ci-dessous le message d’appel.

Chers amis du Collectif Femme Vie Liberté – Nantes,

Bonjour.

Cela fera bientôt un an depuis la mort de Mahsa (Jina) Amini et le début du mouvement « Femme Vie Liberté ». L’Iran est toujours abasourdi par la violence et l’injustice et le pain des bourreaux est encore taché du sang des plus beaux et courageux des jeunes iraniens.

A cette occasion, notre collectif a décidé d’organiser un rassemblement à la mémoire des personnes victimes du régime lors des protestations. Nous vous donnons rendez-vous à Nantes au miroir d’eau le samedi 16 septembre à 16h, aux côtés de nombreux autres collectifs à travers le monde.

Nous vous demandons à tous, quelles que soient vos différentes orientations (politiques, religieuses, personnelles, etc…), de nous rejoindre pour cet hommage aux manifestants assassinés ou emprisonnés car notre participation à ces rassemblements aux quatre coins du monde encourage les manifestants en Iran.

Nous vous remercions par avance pour votre soutien et votre solidarité et nous espérons que les souffrances de notre cher Iran ne dureront pas plus longtemps.