Invitation Festival anti-CRA – samedi 27 avril 6 -ateliers de Bitche – Nantes

La Coordination COLERE Nantes CRA, ni ici, ni ailleurs dont est partie prenante la LDH Nantes et pays nantais invite à participer à un Festival anti-CRA, samedi 27 avril de 15h à 1h30, Ateliers de Bitche, 3 rue de Bitche Nantes. Ci-dessous le flyer d’appel.

15h30 – Table ronde : A l’intérieur des CRA

17h/17h30  – Entretiens : De quelle politique le CRA est-il le nom ? Dans quelles politiques s’inscrivent les CRA ? Quelles résistances ? Quelles alternatives d’accueil possible ?

Concerts à partir de 19h30

Cantine de 19h à 21h30

Buvette – Exposition – Table presse

« Centre de rétention administrative (C.R.A), ni ici, ni ailleurs » – Évènement ce samedi 13 avril – 10h-13h – place Royale – Nantes

La Coordination COLERE Nantes Centre de rétention administrative (C.R.A), ni ici, ni ailleurs, dont la LDH est partie prenante, organise un évènement ce samedi 13 avril de 10h à 13h place Royale – Nantes pour :

– échanger et informer sur les Centres de rétention administrative C.R.A ;

– exprimer notre opposition aux C.R.A !

Ci-dessous le visuel ainsi qu’un texte de présentation de la LDH expliquant pourquoi nous sommes opposés aux C.R.A.

Centres de Rétention Administrative : Enfermements aux frontières du droit

La LDH est une association généraliste qui agit pour les libertés et les droits de toutes et tous, tous les droits pour toutes et tous.

La LDH s’oppose aux Centres de Rétention Administrative (CRA). Pourquoi ? Pour des raisons de principe. Une personne ne peut être enfermée que si elle a été reconnue coupable par la justice d’avoir commis une faute. Les personnes sont mises en CRA par l’administration et non par la justice. Les personnes dans les CRA n’y sont pas parce qu’elles ont commis une faute mais au seul motif qu’elles sont migrantes. Le seul fait pour une personne de se voir refuser le séjour dans notre pays par l’administration n’est en rien une faute commise par cette personne.

Les CRA sont également emblématiques de la « double peine » puisque des personnes ayant purgé une peine de prison y sont enfermées puis sont obligées de quitter le territoire.

Les CRA sont alors des lieux de détention arbitraire et discriminatoire. On l’a vu lors de la dernière guerre dans notre pays, on le voit dans différents pays du monde aujourd’hui, il faut s’inquiéter pour les libertés quand l’État peut mettre une personne dans un centre d’enfermement sans décision de justice parce qu’elle est considérée comme « indésirable ».

Le droit de l’Union européenne a prévu que l’assignation à résidence devait être le principe pour éviter d’avoir recours à l’enfermement. Au contraire dans notre pays, la privation de liberté est devenue la norme. Les CRA alimentent un amalgame devenu de plus en plus courant entre « étranger » et « criminel », que le ministère de l’Intérieur, notamment, s’emploie à relayer. Les dispositions législatives et les pratiques administratives isolent toujours davantage les personnes migrantes pour mieux les invisibiliser, quitte à se jouer des limites de la légalité.

La loi Darmanin votée en janvier 2024 allonge les délais pour accéder au juge des libertés en zone d’attente et en CRA, allonge la durée exécutoire des obligations à quitter le territoire – OQTF – et donc la durée de l’enfermement, renforce la possibilité du placement en rétention des personnes avant l’enregistrement de leur demande d’asile.

La LDH dénonce cette criminalisation des personnes migrantes et l’utilisation de l’enfermement administratif comme variable d’ajustement de la politique migratoire.

Si la loi interdit désormais l’enfermement des mineurs en CRA, cette disposition ne s’appliquera sur le territoire de Mayotte que le 1er janvier 2027. Cette différence de traitement pour un département de notre pays est inadmissible. De plus, le ministre de l’Intérieur a déclaré que pour le reste du pays « l’un des parents peut être placé en rétention et l’autre [avec les enfants] assigné à résidence« . Cette séparation des familles dont l’enfant supporte les conséquences au motif du statut migratoire de ses parents est contraire au principe de l’intérêt supérieur de l’enfant et donc à la Convention des droits de l’enfant qui s’applique pour toutes les personnes de moins de 18 ans.

C’est pourquoi, la LDH demande depuis toujours la fermeture des CRA ici et ailleurs et participe à la Coordination contre le projet de CRA à Nantes.

Communiqué de Presse « COLERE Nantes – CRA, ni ici, ni ailleurs » – Réunion publique au bar « Mon Oncle » ce mercredi 6 mars à 20h

Communiqué de la Coordination Opposée à L’Enfermement et à la Répression des Étranger.e.s de Nantes (COLERE Nantes – CRA ni ici, ni ailleurs) dont la section LDH est partie prenante.

Communiqué de presse

Réunion publique contre le projet de CRA à Nantes

Un CRA (Centre de Rétention Administrative), c’est une prison qui ne dit pas son nom. On y enferme, sur décision administrative du préfet, des hommes et femmes « sans papiers » en attendant d’être expulsé·e·s.

A onze reprises, la France a été condamnée par la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH) pour l’enfermement d’enfants dans les CRA, dont des nourrissons.

Les conditions d’enfermement sont largement décriées par tou·te·s : nourriture insuffisante, locaux insalubres et mal entretenus, soins médicaux inadaptés…

Ce mercredi 6 mars à 20h, COLERE Nantes vous invite à sa réunion publique de lancement au bar Mon Oncle (16 rue d’Alger).

COLERE Nantes (Coordination Opposée à L’Enfermement et à la Répression des Etranger·e·s) est née à la suite de l’annonce en 2022 par le ministre de l’Intérieur de sa volonté de construire un centre de rétention administrative dans le département de la Loire-Atlantique.

En réponse, nos organisations associatives, syndicales et politiques se sont réunies sous le nom de « COLERE Nantes », qui :

• S’oppose à la construction d’un CRA en Loire-Atlantique ;

• Refuse le principe même de l’enfermement administratif des personnes étranger.e.s et revendique la fermeture de tous les CRA ;

• Dénonce le traitement pénal discriminatoire réservé aux personnes étranger.e.s qui n’ont pas obtenu de régularisation administrative, et la double peine que les personnes sortant de prison exécutent pour le simple fait d’être étranger·e·s ;

• Combat tous les racismes ;

• Revendique la solidarité internationale entre les peuples.

Aussi, COLERE Nantes organisera le samedi 13 avril 2024, une action de sensibilisation place Royale ainsi qu’une grande journée festive le samedi 27 avril aux ateliers de Bitche (3 rue de bitche).

D’autres évènements dont des manifestations, projections, s’y ajouteront.

Membres de la coordination COLERE Nantes :Syndicats : Union Syndicale Solidaires, SAF, CGT 44, FSU 44.Associations : LDH, GASPROM, Soutien exiles 44, Cimade, ATTAC 44, Les Bienveilleurs 44, DAL44, MRAP, AVEC, AFPS.Organisations politiques : Les Écologistes–EELV Nantes, GDS, Ensemble!, La France Insoumise 44, Nantes en Commun

contact@colere-nantes.fr

Manifestation Pas de CRA ni ici, ni ailleurs. Samedi 20 janvier Nantes 14h – départ parking MacDo Beaujoire

La LDH est opposée aux Centres de Rétention Administrative.

Un Collectif anticra organise ce samedi 20 janvier une manifestation en direction du lieu présumé de construction d’un Centre de Rétention Administrative (CRA) en Loire-Atlantique sur la base Pas de CRA ni ici, ni ailleurs.

Rendez-vous 14h, parking du MacDo de la Beaujoire.

Pas de centre de rétention administrative en Loire-Atlantique ou ailleurs : Rassemblement 18 février

Dans le cadre d’un appel national « Uni.e.s contre l’immigration jetable. Pour une politique migratoire d’accueil » (ci-joint et repris ci-dessous avec les signataires locaux), un rassemblement est organisé à Nantes ce samedi 18 décembre pour dénoncer les Centres de Rétention Administrative (CRA) et les Locaux de Rétention Administrative et tous les lieux de rétention administrative.

RASSEMBLEMENT

samedi 18 février, 17h, place du Bouffay – Nantes

Pas de centre de rétention administrative

en Loire-Atlantique ou ailleurs

Signataires : à la criée, association Idéelles, Attac, Cimade, Collectif Isonomia, Collectif Soutien exilés, Collectif Romeurope, Confédération Nationale du Travail, Droit au Logement, Égide Solidarités, Fédération Syndicale Unitaire, Gasprom-asti, Les Bienveilleurs, Ligue des droits de l’Homme, Maison du Peuple, Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples, Réseau Éducation Sans Frontières, Safe Migrants, Syndicat des Avocats de France, Union syndicale Solidaires…

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« Uni.e.s contre l’immigration jetable. Pour une politique migratoire d’accueil »

Nous refusons le nouveau projet de loi asile et immigration. Non à la loi Darmanin !

Le nouveau projet de loi Asile & Immigration du gouvernement conduit à une négation radicale des droits fondamentaux des migrant-es. Il a pour objectif de graver dans le marbre et de radicaliser les pratiques préfectorales arbitraires et répressives : systématisation des OQTF et des IRTF, dans la suite des instructions déjà prises pour augmenter les assignations à résidence et le nombre de Centres et Locaux de Rétention Administrative.

Le projet s’inscrit délibérément dans une vision utilitariste et répressive dont témoignent l’obsession des expulsions et l’inscription des sans-papiers au fichier des personnes recherchées. Les migrant-es sont déshumanisé-es et considéré-es uniquement comme de la main d’œuvre potentielle, qui n’a droit qu’à des propositions de régularisations précaires, limitées aux métiers dits “en tension”. Alors que la dématérialisation prive de l’accès au séjour de nombreux étranger-es, le droit du séjour et le droit d’asile vont être encore plus restreints. Le projet prévoit des moyens pour empêcher d’accéder ou de rester sur le territoire, au lieu de les utiliser pour accueillir dignement celles et ceux qui fuient la guerre, les persécutions, la misère ou les conséquences du dérèglement climatique… Les droits protégés par les conventions internationales sont de plus en plus bafoués (asile, droit de vivre en famille, accueil des femmes et des personnes LGBTIA+ victimes de violences…) y compris ceux des enfants (enfermement, non-respect de la présomption de minorité, séparation des parents…). Les droits des étranger-es sont de plus en plus précarisés.

L’attaque s’inscrit dans l’agenda global du gouvernement : chômage, retraites, logement, santé…

En 2006 déjà, nous étions uni-es contre l’immigration jetable, nous appelons donc à nous mobiliser contre cette réforme qui, si elle était adoptée, accentuerait encore le fait que les étranger-es en France sont considéré-es comme une population de seconde zone, privée de droits, précarisée et livrée à l’arbitraire du patronat, de l’administration et du pouvoir. Il est de la responsabilité de nos organisations, associations, collectifs et syndicats de réagir. Nous appelons à la mobilisation la plus large possible sur tout le territoire :

* le 18 février : contre la répression, l’enfermement et les expulsions pour dénoncer les Centres de Rétention Administrative et les Locaux de Rétention Administrative et tous les lieux de rétention administrative.

* le 4 mars : mobilisations partout en France contre la loi Darmanin !

Nous appelons à la mobilisation :

RASSEMBLEMENT

samedi 18 février, 17h, place du Bouffay – Nantes

Pas de centre de rétention administrative

en Loire-Atlantique ou ailleurs

Le 4 mars : mobilisations partout en France contre la loi Darmanin !

Signataires : à la criée, association Idéelles, Attac, Cimade, Collectif Isonomia, Collectif Soutien exilés, Collectif Romeurope, Confédération Nationale du Travail, Droit au Logement, Égide Solidarités, Fédération Syndicale Unitaire, Gasprom-asti, Les Bienveilleurs, Ligue des droits de l’Homme, Maison du Peuple, Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples, Réseau Éducation Sans Frontières, Safe Migrants, Syndicat des Avocats de France, Union syndicale Solidaires…

Manifestation Pas de centre de rétention administrative en Loire-Atlantique ou ailleurs dimanche 18 décembre

COMMUNIQUÉ

A l’occasion de la Journée internationale des migrant.e.s du 18 décembre, instituée en 2016 par les Nations Unies, un ensemble d’associations et syndicats appellent à une

MANIFESTATION

Pas de centre de rétention administrative

en Loire-Atlantique ou ailleurs

dimanche 18 décembre – 15h

Nantes Terrain Feydeau (arrêt Bouffay)

Nous ne voulons pas d’un Centre de Rétention Administrative,

ni en Loire-Atlantique ni ailleurs

Dans un communiqué du ministère de l’Intérieur du 4 octobre, Gérald Darmanin annonçait sa volonté de construire un centre de rétention administrative dans le département.

Qu’est-ce qu’un centre de rétention administrative (CRA) ?

Un CRA est un lieu de privation de liberté. Le placement en rétention est une décision administrative, prise par le Préfet, permettant d’enfermer une personne de nationalité étrangère sans titre de séjour dans l’attente de son éloignement forcé du territoire.

En réalité, c’est une prison qui ne dit pas son nom. On y enferme des hommes, des femmes et des enfants, le plus souvent en dehors de tout comportement pénalement répréhensible et sans lien avec une quelconque délinquance, mais seulement car « sans-papiers ». Il est important de rappeler que le fait d’être sans titre de séjour n’est pourtant pas une infraction depuis la loi du 31 décembre 2012.

Si vous croyez que la création d’un CRA aura un quelconque effet contre la délinquance ou la criminalité, vous vous trompez.

A neuf reprises déjà, la France a été condamnée par la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) pour l’enfermement d’enfants dans les CRA, dont des nourrissons. De plus, les conditions d’enfermement sont largement décriées par tous et toutes : nourriture insuffisante, locaux vétustes et mal entretenus, impossibilité de mettre en place des mesures de distanciation lors de la pandémie.

En réalité, la création des CRA n’a qu’un objectif : faire croire qu’il existe un lien entre immigration, insécurité et délinquance.

Enfermer des personnes, dans des conditions indignes, seulement parce qu’elles sont « sans-papiers » est inacceptable. Ériger cela comme une réponse à un sentiment d’insécurité l’est tout autant.

Attac, à la criée, Cimade, Collectif Romeurope agglomération nantaise, CNT, Collectif soutien exilés 44, DAL, FSU, Gasprom, La Libre Pensée 44, Les Bienveilleurs 44, LdH, MdP, Mrap, RESF, Safe Migrants, SAF, Union syndicale Solidaires, (liste en cours…)

Pour la fermeture des Centres de rétention administrative, les Cercles de Silence s’adaptent

Communiqué du collectif Les cercles de silence, Nantes le 26/05/2020

Pour plus d’informations : http://www.cercle-silence.org

Ne pouvant encore se réunir sur la voie publique, les cercles de silence ne peuvent interpeller par leur présence leurs concitoyennes et concitoyens.

Dès lors, l’ensemble des cercles de silence de France et des pays voisins les appelle à faire silence où qu’elles et ils soient, ce mardi 26 mai de 18h30 à 19h30.

Dénonçant la rétention des migrants comme un enfermement sans cause et indigne, une centaine de « Cercles de silence » réclament partout en France et même au-delà la fermeture des Centres de rétention administrative (CRA). Malgré la situation sanitaire, certaines préfectures ont continué à enfermer des retenus en CRA alors même que leur renvoi est impossible ; cette situation a été largement dénoncée par les associations de soutien aux migrants et par certains tribunaux. Et il est à craindre que le « déconfinement » ne soit l’occasion d’une reprise des mises en rétention.

Pour plus d’informations : http://www.cercle-silence.org

Vous pouvez aussi profiter de cette heure de silence pour consulter le site info migrant et les informations concernant les CRA :

https://www.infomigrants.net/fr/tag/centre%20de%20retention%20administrative%20cra/

Centres de Rétention Administratifs – En période de confinement, notre protestation continue !

Communiqué du collectif Les Cercles de silence de Nantes  – Nantes le 29/03/2020

Le 31 mars 2020 nous devions nous rassembler Place Royale, comme chaque dernier mardi du mois depuis maintenant 12 ans, pour composer pendant une heure un cercle de silence.

Nos motifs de rassemblement n’ont pas changé :

–    Est-il acceptable que des migrants, pour le seul fait d’être entrés en France, fuyant la violence, la misère ou les catastrophes environnementales, soient traités comme des malfaiteurs et enfermés dans des Centres de Rétention Administrative qui ont tout de véritables prisons, alors qu’ils n’ont commis aucun délit ?

–    Est-il acceptable que se multiplient les obstacles administratifs qui rendent toujours plus difficile l’obtention d’un titre de séjour et qui « illégalisent » des vies ?

–    Est-il acceptable que ces hommes et ces femmes soient les boucs émissaires de nos difficultés économiques ?  

« Les êtres humains naissent et demeurent libres et égaux en dignité et en droits » (art 1er DUDH).

Nous appelons à trouver des alternatives à l’enfermement !

Nous voulons que s’engage une réflexion collective sur le respect des droits humains en France et en Europe. Nous voulons que la France redevienne un pays où les étrangers sont respectés.

Nous invitons toutes les personnes de bonne volonté à nous rejoindre dans le silence, même quelques instants.

La rétention, déjà inadmissible en temps normal, l’est encore plus en cette période de crise sanitaire. Même dans les textes qui l’encadrent, la rétention administrative ne doit durer que le temps nécessaire à l’éloignement de la personne concernée. Or, avec les frontières qui se ferment, il n’existe plus de perspective de renvoi.

Dans ce contexte, la rétention ne peut plus trouver aucune justification. Alors, nous joignons nos voix à celles des associations  qui ont déjà tiré la sonnette d’alarme et comme elles nous demandons la libération des personnes retenues, ainsi qu’un accueil correct des personnes actuellement à la rue, leur permettant de respecter les mesures sanitaires et de protéger leur santé.

Pourtant à Rennes, il restait encore 21 hommes retenus lundi dernier (23 mars) et la cour d’appel de Rennes a rejeté 6 des 12 appels formés par la Cimade contre des refus de remise en liberté.

Ce cercle du 31 mars ne peut avoir lieu du fait des mesures de confinement, mais en témoignage de votre détermination, nous vous invitons à vous engager chacun, chacune, à rester en silence chez vous pendant une heure, et à y inviter vos proches, le mardi 31 mars de 18h30 à 19h30, et à renouveler cette initiative chaque dernier mardi du mois pendant toute la durée du confinement.

Cet appel est une invitation nationale, nous serons en lien avec les cercles de silence des autres villes de France.

 Signez et faites signer la pétition demandant la fermeture des centres de rétention

« Notre  conscience  ne  pouvait  l’accepter, et  nous  dénoncions  ces  traitements  envers  ces  personnes pour  le  seul  fait d’être  entrées  en  France pour  vivre  mieux  ou  pour  sauver  leur  vie.

Notre  Humanité est  blessée  par  de  telles  actions ».

Alain RICHARD, fondateur des cercles de silence

Le comité de pilotage du cercle de silence de Nantes.

Prochain Cercle de silence se réunira PLACE ROYALE le mardi 25 février 2020 de 18h30 à 19h30.

Communiqué du collectif « Cercle de SIlence », dont la LdH est partie prenante, Nantes le 18/02/2020

Le prochain cercle de silence se réunira

PLACE ROYALE
le mardi 25 février 2020 de 18h30 à 19h30.

« Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne » – art. 3 DUDH

Dans les cercles de silence, des  personnes se retrouvent en silence pour dénoncer la situation faite aux étrangers et plus particulièrement les violences dans les centres de rétention (CRA) et sensibiliser les passants à cette situation.

Rappel :
Pour que le cercle se tienne, la présence d’une dizaine de personnes est un minimum.
Aussi, si vous décidez de venir, nous vous proposons de vous inscrire au plus vite. Si 8 personnes au moins sont inscrites, le cercle est assuré de se tenir.
Le tableau d’inscription est là : https://lite.framacalc.org/cercle-de-silence-nantes
Le Cercle de silence de Nantes.

Notre page facebook : https://www.facebook.com/cercledesilence.nantes/
Notre blog : http://cercledesilencenantes.unblog.fr/

Prochain cercle de silence – Mardi 26 novembre – 18h30 à 19h30

Mardi 26 novembre :  Cercle de Silence 18h 30 – 19h 30 Place Graslin à Nantes
Des  personnes se retrouvent en silence pour dénoncer la situation faite aux étrangers et plus particulièrement les violences dans les centres de rétention (CRA) et sensibiliser les passants à cette situation.
Participation bienvenue, même un court instant.