GAZA : Action le mercredi 9 Juillet à 17h place du Change à Nantes

Membre de la Plateforme des ONG pour la Palestine, la LDH relaie et invite tous les mercredis à 17h aux rassemblements pour Gaza :

Les lignes rouges ont depuis longtemps été franchies à Gaza !

 Une « ligne rouge pour Gaza« sera organisée le 8 juillet à Paris, sur le modèle de ce qui a été fait aux Pays-Bas, en Belgique, en Angleterre, etc. 

A Nantes nous vous proposons le mercredi 9 Juillet à 17H au croisement Barillerie/ rue de la Paix 

Il s’agit d’un rassemblement en forme de ligne, où tout le monde est habillé en rouge, sans logos d’organisations ni de partis politiques, 
sans prises de parole
, sans pancartes, sans drapeaux
sauf le drapeau palestinien, pour symboliser le fait que les lignes rouges ont été franchies depuis longtemps à Gaza.

Le message est simple :  Alors que le génocide à Gaza se poursuit en toute impunité, la plupart des dirigeant·e·s mondiaux restent les bras croisés. L’UE elle-même reconnaît qu’Israël bafoue les droits humains mais se refuse toujours à agir. Chaque jour d’inaction est un feu vert donné à la poursuite de ce génocide.  
À tous les États de ce monde : L’INACTION VOUS REND COMPLICES.

Pour la Plateforme44 : le bureau de l’AFPS44

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Paris, 3 juillet 2025

Depuis octobre 2023, la population de la bande de Gaza subit des bombardements incessants de la part de l’armée israélienne. Le droit international est piétiné. Plus de deux millions de personnes sont actuellement au bord de la famine. En cause, l’entrave à l’acheminement de l’aide aggravant ainsi la crise humanitaire, dans le cadre d’une stratégie calculée visant à la destruction physique des Palestiniennes et Palestiniens à Gaza. Le déchainement de violence et de destruction envers la population palestinienne semble sans fin. Gaza n’a plus le temps d’attendre. L’inaction de nos gouvernements tue.

Face à cette situation, la LDH (Ligue des droits de l’Homme) se joint à la mobilisation mondiale « ligne rouge pour Gaza ».

Pour symboliser toutes les lignes rouges franchies à Gaza, formons une grande ligne rouge humaine. 

Mobilisons-nous !

Des centaines de milliers de personnes se sont déjà mobilisées à travers le monde, vêtues de rouge. Mardi 8 juillet, nous marcherons aux côtés d’Amnesty international, Action Justice Climat, CCFD, Greenpeace France, Oxfam France, Médecins du Monde, la plateforme Palestine et de nombreuses autres organisations et collectifs.

Conférence « Ukraine : enfants déportés et russifiés, identité volée » puis concert ukrainien vendredi 23 mai 18h

La section de Nantes et du pays nantais, partie prenante du Collectif Solidarité Ukraine Nantes, appelle à participer à cette conférence « Ukraine : enfants déportés et russifiés, identité volée » suivie d’un concert ukrainien vendredi 23 mai à partir de 18h Europa Nantes 90 Bd de la Prairie au Duc Nantes.  

Pétition – Non aux décisions inhumaines : soutien aux collégien-nes géorgien-nes expulsé-es

Enfants expulsés, enfants en danger

Citoyennes et citoyens indigné-es

Mais plus que jamais déterminé-es

Comme vous le savez peut-être, au cours des vacances scolaires de printemps, deux familles géorgiennes ont été expulsées de l’agglomération nantaise, direction la Géorgie, dans des conditions d’une brutalité inadmissible.

Dans la foulée, une mobilisation des associations et des syndicats s’est mise en place et une pétition a été rédigée. Vous en trouverez le lien ci-après.

Signez la pétition

https://chng.it/Pd7bjvwzwm

Pièce de théâtre militante « Simples p(r)pêcheurs » au théâtre du Point Rouge à Divatte sur Loire – la Chapelle Basse Mer (44), mardi 22 avril. Venez nombreux !

Le collectif Gigaphone présente la pièce « Simples p(r)pêcheurs » au théâtre du Point Rouge à Divatte sur Loire – la Chapelle Basse Mer, mardi 22 avril à 20h30, ouverture des portes à 20h. Tarif 10€ – cf ci-dessous.

Confrontées à la bétonisation envahissante de leur village de Sainte Sandrine, deux pêcheuses décident de se réfugier sur une île tranquille et isolée. Mais elles y sont bientôt rattrapées par la pollution inexorable des océans et un projet de Flaques Artificielles salées à Sainte Sandrine (*) pour y installer une pisciculture de thons garantis sans mercure… Mais que peuvent faire deux simples p(r)êcheuses pour sauver leur village et l’océan ? Comment agir ? Réussiront-elles ? Échapperont-elles à la répression des autorités ? Toutes ces questions et bien d’autres sont abordées dans cette pièce qui mêle l’espoir à l’écolucidité et l’humour à la révolte.
(*) NB toute similitude avec des projets de Bassines Artificielles dans le secteur de Sainte Soline serait etc etc…

La représentation sera suivie d’un échange avec des militants de la LDH – section de Nantes et pays nantais.

Rejoignez-nous nombreux à cette soirée !

Amitiés ligueuses

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Simples P(r)êcheurs

C’est l’histoire de deux pêcheuses qui ont envie de changer le monde, ou plus modestement, de sauver leur village d’un TERRIBLE fléau écologique : les Flaques Artificielles.
Le collectif Gigaphone est un collectif d’artistes ligériennes associant le théâtre, le théâtre d’objet et la radio. Leurs spectacles L’An01, Simples P(r)êcheurs, Un faible degré d’originalité sont teintés d’absurde et parsemés de blagues et de réflexions sur l’avenir des humains et de la planète. 

Lien de réservation :

https://www.helloasso.com/associations/collectif-gigaphone/evenements/simples-p-r-echeurs

Communiqué commun : Expulsion de deux collégien-nes de Rezé pendant les vacances : non aux décisions inhumaines

Communiqué

16 avril 2025

Expulsion de deux collégien-nes de Rezé pendant les vacances : non aux décisions inhumaines

Mardi 8 avril à l’aube, Aleksandre et Anastasia, deux élèves du collège Salvador Allende à Rezé et leur mère ont été arrêté-es, et expulsé-es le jour même vers la Géorgie, pays que la famille avait fui pour des raisons politiques. Le père, absent au moment de l’expulsion, a pour le moment été épargné par cette violente mesure mais se voit donc séparé de sa famille.

L’entourage social de la famille est sous le choc de cette expulsion expéditive, mise en oeuvre pendant la période des vacances scolaires, ce qui freine bien sûr les possibilités de mobilisation. Cela n’a par ailleurs pas permis aux élèves du collège de dire au revoir à leurs camarades, et cela ne tient pas compte de leur vie familiale ni de la situation humanitaire liée aux risques qu’il et elles encourent dans un contexte de fortes tensions politiques en Géorgie.

Cette expulsion brutale a été menée au mépris de leur intégration, décrite par un proche : « Ils montraient une grande volonté de s’intégrer. Les parents suivaient les cours de français au centre socioculturel. La mère faisait des ménages dans des hôtels. La fille de 13 ans et le garçon de 11 ans faisaient de la danse et du foot*. » Les enseignants de l’école Pauline-Roland, où il et elle ont suivi leur apprentissage de primaire, attestent de la qualité de leur scolarité. La maire de Rezé a fait part de son indignation. Le principal de leur établissement, dans un message adressé aux parents d’élèves, dénonce un « acte [qui] va à l’encontre des valeurs prônées au sein du collège public Salvador Allende* ».

Plusieurs expulsions de familles géorgiennes ont eu lieu dans l’Ouest de la France (Quimper, Lorient, Pontivy, Landivisiau) le même jour, suscitant également de vives réactions.

Nous dénonçons ces décisions et interventions inhumaines qui remettent en cause les droits à l’éducation, à la vie de famille, à la dignité, ainsi que le principe de Fraternité républicaine. Nous demandons à ce que cessent ces expulsions conformes aux instructions du Ministère de l’intérieur aux services préfectoraux, répondant à une politique du chiffre et à une désignation des étranger-es comme boucs-émissaires. Nous militons pour une politique d’accueil, respectueuse des droits humains et reconnaissant l’immigration comme une source d’enrichissement au sein de la société et en aucun cas comme un fardeau.

Appel à rassemblement mardi 22 avril à 18 heures devant le collège

*Ouest France, 9 avril 2025

Signataires : Confédération Générale du Travail Education 44, FCPE (Fédération des Conseils de Parents d’élèves) du collège Allende, Fédération Syndicale Unitaire 44, Gasprom, La Cimade, LDH (Ligue des droits de l’Homme), MRAP (Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples), !Collectif Enfants étrangers, Citoyens solidaires – RESF, Union syndicale Solidaires 44.

GAZA – URGENT – Appel mercredi 19 mars à 18 h – Miroir d’eau, Nantes

Après la reprise des bombardements massifs de la population civile de Gaza par Israël, faisant des centaines de morts et blessés, la LDH se joint à l’appel à manifester de l’AFPS partout en France, afin d’appeler à faire cesser ces massacres !

LDH, Paris, 18/03/2025 – 18h00

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Israël fait voler en éclats trêve et cessez-le-feu à Gaza :

A Nantes, APPEL au Miroir d’Eau

Mercredi 19 mars à 18 h

On savait que la trêve à Gaza n’était qu’une posture passagère de la part du Premier ministre israélien. À peine la cérémonie d’investiture du Président américain terminée que les signes les plus inquiétants se sont multipliés : nouvelles agressions militaires de la Cisjordanie, destruction des camps de réfugiés de Jénine et Tulkarem, déplacement forcé de 40 000 Palestinien·nes, tergiversations sur la poursuite des négociations, changements brutaux des règles du jeu concernant les libérations de prisonniers, blocage des convois d’aide humanitaire à Gaza, coupure de l’alimentation en électricité… Le génocide continuait à bas bruit depuis deux mois. Il s’agit bien d’une volonté concertée d’enterrer définitivement tout espoir d’un cessez-le-feu définitif à Gaza. Les raisons officiellement annoncées par Netanyahu et son ministre de la guerre ne tiennent pas la route une seule seconde !

Lire le Communiqué de l’AFPS de ce jour https://www.france-palestine.org/Israel-fait-voler-en-eclats-treve-et-cessez-le-feu-a-Gaza

Le bureau de l’AFPS44

Le samedi 8 mars, journée internationale de lutte pour les droits des femmes – manifestation 15h place Graslin Nantes

La LDH appelle nationalement à manifester à l’occasion du 8 mars, Journée internationale de lutte pour les droits des femmes : https://urlr.me/GWrxKt

À Nantes, nous relayons l’appel de l’intersyndicale femmes 44 repris ci-dessous et ici en pdf et appelons à manifester ce samedi 8 mars.

Rendez-vous à 15h place Graslin à Nantes.

8 mars, journée internationale des droits des femmes

Nous voulons enfin des actes !

L’égalité entre les femmes et les hommes n’est toujours pas une réalité dans nos entreprises et administrations.

L’égalité professionnelle s’inscrit dans un projet de société et nécessite une volonté à la fois politique et budgétaire. Les législations successives et la mise en place de l’index égalité pour tenter de corriger les écarts ne suffisent pas.

Ce constat que nous posons, année après année est largement admis et pourtant il n’y a aucune réelle volonté du patronat et des gouvernements successifs pour appliquer et faire appliquer la Loi et aboutir à l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes.

Les chiffres sont têtus et illustrent ces inégalités au détriment des femmes :

– Elles perçoivent des salaires de 23.5 % en moyenne inférieurs à ceux des hommes (en prenant en compte les temps partiels) ;

– Elles occupent 42.6 % des emplois de cadre alors qu’elles sont plus diplômées que les hommes,

– Elles représentent 57 % des Smicard-es

– Elles occupent près de 80 % des emplois à temps partiels dont beaucoup de temps partiels imposés ;

– Elles touchent des pensions de retraite de droits directs 38 % moins élevées en moyenne que celles de hommes ;

– Elles sont à la tête de 82 % des familles monoparentales ;

– Elles prennent 95 % des congés parentaux ;

Plafonds de verre, planchers collants, parois de verre sont autant de termes qui qualifient les carrières des femmes. Elles ont plus difficilement accès aux postes à responsabilité, elles sont plus nombreuses à être dans les bas salaires et à y rester, elles sont concentrées dans des métiers à prédominance féminine sous-valorisés et mal rémunérés.

Elles subissent aussi les carrières en accordéon qui les pénalisent sur leur rémunération durant leur vie active mais également sur leur pension de retraite.

Le poids de la parentalité, incluant la double journée et la charge mentale, le manque de structures publiques de la petite enfance, pénalisent quasi-exclusivement la carrière des mères, accentuant encore les inégalités salariales. Elles sont 30 % à réduire leur activité professionnelle à l’arrivée du 1er enfant.

Aujourd’hui, les métiers du soin et du lien sont en grande tension par manque d’effectifs et il manque plus de 200 000 places dans la petite enfance.

Malgré les scandales récents dans les crèches privées, aucune mesure solide n’a été annoncée pour renforcer le service public de la petite enfance alors même qu’il s’agit d’un facteur déterminant pour l’émancipation des femmes. Majoritaires parmi les personnels de la Fonction publique et principales usagères, les femmes seront les premières impactées par les coupes sombres envisagées dans le budget pour les services publics. Si la mobilisation intersyndicale a permis de faire reculer le gouvernement sur son projet d’imposer 3 jours de carence, il n’a pas renoncé à celui de baisser à 90% la rémunération des agent.es en cas d’arrêt maladie.

Nous combattrons cette injustice profonde qui pénalisera d’abord les femmes, leur rémunération et leur pouvoir d’achat.

Enfin, les moyens alloués à la lutte contre les violences sexistes et sexuelles sont encore très en deçà des besoins. La convention 190 de l’Organisation Internationale du Travail pour lutter contre la violence et le harcèlement au travail et la recommandation 206 associée sont appliquée à minima par la France.

Pour toutes ces raisons, partout en France, le 8 mars 2025 est l’occasion de rappeler nos revendications afin d’obtenir :

– l’égalité salariale et de carrière entre les femmes et les hommes

– la revalorisation des métiers à prédominance féminine

– la transposition ambitieuse de la directive européenne pour la transparence salariale et la

révision en profondeur de l’index Egapro.

– l’abrogation de l’âge légal de départ en retraite à 64 ans qui pénalise en premier lieu les femmes.

– des services publics de qualité répondant aux besoins notamment dans la petite enfance

– plus de moyens pour la lutte contre les violences sexistes et sexuelles

Les femmes ne veulent plus de paroles en l’air, elles veulent des actes !

Rassemblement contre les coupes budgétaires de la Région – jeudi 19 décembre – 08h – Hôtel de Région – Nantes

Les coupes budgétaires annoncées par la présidence de la Région Pays de la Loire menacent l’accès aux droits pour toutes et tous.

Comme elle l’a fait le 5 décembre, la LDH appelle à participer au rassemblement devant l’Hôtel de Région à Nantes à partir de ce jeudi 19 décembre à 08h, jour du vote du budget du Conseil Régional.

Un drapeau LDH se tiendra bien en hauteur pour celles et ceux qui voudraient rejoindre le groupe LDH.

Ci-après le communiqué du 30 novembre du comité régional de la LDH des Pays de la Loire qui « appelle à rejoindre les mobilisations pour l’abandon de ce projet funeste » : https://partage.ldh-france.org/s/bpPeZ9ABLNjje7c

Et ci-dessous le communiqué intersyndical.

Communiqué LDH PdL : Les coupes budgétaires annoncées par la présidence de la Région Pays de la Loire menacent l’accès aux droits pour toutes et tous

LDH – Comité régional Pays de la Loire

Communiqué

Les coupes budgétaires annoncées par la présidence de la Région Pays de la Loire menacent l’accès aux droits pour toutes et tous

A la suite de la volonté gouvernementale de réduire de 40 millions d’euros le financement de la Région Pays de la Loire, soit 2% de son budget, la présidence de la Région a annoncé le 17 octobre 100 millions d’économies, soit 60 millions de plus que demandé par le gouvernement. Depuis, les annonces de coupes budgétaires se succèdent, dans le domaine de la culture mais aussi celui du social, de la solidarité, de l’égalité entre les femmes et les hommes et de l’environnement. Ces amputations sont tellement importantes (-45% pour le budget consacré à l’environnement, -73 % pour la culture, -75 % pour le sport, -93 % pour l’égalité femmes-hommes, suppression des aides aux missions locales d’insertion professionnelle des jeunes…) qu’elles menacent l’existence même de nombreuses structures et évènements. Il apparaît que toutes ces annonces ont été faites sans concertation, ni dialogue.

L’accès à la culture est directement mis en péril dans toute la région. En effet ce sont les subventions publiques qui permettent aux acteurs culturels d’exister et à toutes les habitantes et tous les habitants de bénéficier d’une ouverture vers le monde ; ce sont ces aides qui permettent de proposer des tarifs accessibles dans tous les domaines, théâtre, musique, cirque, danse, cinéma, accès aux livres ou aux musées.

Derrière les pseudo-arguments budgétaires, dont on peut mesurer la vacuité quand on sait l’apport de la culture à la richesse des territoires, se profile une attaque à caractère idéologique. C’est ainsi que Christelle Morançais a dénoncé le « monopole d’associations très politisées qui vivent d’argent public », visant à la fois la liberté d’expression et le service public que constitue le secteur culturel. Le projet serait-il de cantonner le financement de la culture et des emplois associés au bon vouloir de quelques mécènes, de restreindre la liberté d’expression ? De réserver l’accès aux biens et manifestations culturels à quelques privilégiés ? Comme le proclament les acteurs de la culture, « La culture n’est pas un luxe, c’est un droit ».

La liste des annonces des coupes budgétaires faite par le conseil régional s’allonge quotidiennement. Ces coupes brutales s’attaquent aussi à l’accès aux droits sociaux comme en témoigne le choix édifiant des associations touchées, parmi lesquelles les Missions locales, le Planning Familial, le CIDFF qui aide, entre autres, les femmes victimes de violence et leurs enfants…

Cette fragilisation ou liquidation d’associations assurant des missions d’action sociale va avoir des conséquences dramatiques pour toutes les personnes éprouvées par les accidents de la vie. Elle met à mal le service public, ce fameux « patrimoine de ceux qui n’en ont pas » comme le formulait pertinemment Jaurès.

La LDH rappelle qu’une subvention est une reconnaissance de la part de la puissance publique d’un service lié à l’intérêt général.

Elle souligne que les réductions drastiques prévues par la présidence de Région et leur ciblage partial relèvent de choix idéologiques dont le caractère partisan est clairement énoncé par la présidente, Christelle Morançais.

Elle dénonce le caractère violent et dangereux de ces coupes budgétaires pour l’accès effectif aux droits économiques, sociaux et culturels et pour la cohésion sociale.

Elle appelle à rejoindre les mobilisations pour l’abandon de ce projet funeste.

novembre 2024

LDH – Comité régional Pays de la Loire

4 place de la Manu – 44000 – Nantes
regionpaysdelaloire@ldh-france.org